Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 584
Membres
42 515

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Commentaires

Her



Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Camille83500 2015-05-04T15:28:38+02:00
Diamant

Je viens de le regarder et en suis encore bouleversée. C'est un film magnifique, plein de poésie, qui m'a extrêmement touchée. La voix de Scarlett Johansson est magnifique. Ce qui m'a surtout plu dans ce film, c'est qu'il n'est pas question de livrer une vision défaitiste de l'humanité rivée sur son écran, mais au contraire, il s'agit d'un film sur les relations humaines, les rapports humains.Spoiler(cliquez pour révéler) Paradoxalement, bien que Theodore tombe amoureux de Samantha qui n'est qu'un OS, il n'est question que des sentiments, des sensations et le film ne tombe jamais, j'ai trouvé, dans une critique de la société-écran. Je recommande vivement ce film magnifique.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par py_trngly 2015-10-04T22:20:08+02:00
Or

Je n'ai que très rarement eu de réels coup de cœurs pour des films du répertoire romantique, et celui-ci fait à présent parti de mes favoris. Doux, sensible, émouvant mais également drôle, je pense que les prestations de Phoenix et Johansson sont tout simplement grandioses. Magnifique.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Rayathea 2015-10-16T14:26:56+02:00
Or

J'ai vraiment adoré ce film, parfaitement maîtrisé. Les acteurs jouent à merveille, surtout Joaquin Phoenix qui porte à merveille le film. Et la voix de Scarlet (Samantha) est vraiment merveilleuse, j'avais l'impression de la voir, de la sentir tout près du héros ! Film vivement recommandé !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par sylvains7 2016-01-22T15:14:44+01:00
Argent

Il faut savoir se laisser envouter par la force et la beauté de ce film. Une réalisation parfaite, une photographie sublime, un acteur idéal. Oublions quelques longueurs, il faut se laisser prendre au jeu, arrêter de penser à son quotidien et se laisser aller...La magie opère et fait le reste...Une véritable expérience sensorielle d'une grande douceur qui fait un bien fou. Et terrifiante à la fois.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par zarg 2016-02-02T18:47:54+01:00
Or

Un vrai petit ovni qui fait du bien. Au final très optimiste. Un bon casting.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Ouyu 2014-04-12T13:39:58+02:00
Bronze

Un petit ovni. Ce film regorge d'émotions, de messages, de critiques sur l'évolution de notre société également. L'univers, l'ambiance et les personnages sont d'une crédibilité saisissante. Joaquin Phoenix nous captive dès le premier plan.

MAIS !

Je l'ai trouvé trop long. Beaucoup trop long. J'ai décroché bon nombre de fois pour prendre sagement le temps de me répéter que je n'avais pas le droit de m'ennuyer au cinéma... Surtout devant un film aussi plébiscité par mon entourage.

C'est quand même un film à voir une fois. Pour l'originalité du concept. Et la performance des acteurs.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Jazzmen 2014-04-16T23:39:36+02:00
Argent

Je l'ai trouvé bien mais beaucoup moins que ce que j'espérais. Et moi qui adore les films très longs d'habitude, j'ai trouvé que celui-ci n'aurait pas été desservi avec un quart d'heure en moins.

Sinon, ça reste une très belle histoire, des acteurs sublimes et des images magnifique. Un très bon film.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Sashiko 2014-04-23T22:45:27+02:00
Argent

Spike Jonze fait partie de ces cinéastes atypiques qui nous laissent sans voix et marque nos esprits avec une ironie rarement égalée. Après avoir exploré le labyrinthe de l’esprit humain « Dans la peau de John Malkovich », questionner la problématique de la retranscription d’une œuvre d’un support à un autre avec l’« Adaptation » et entreprit un voyage aller simple pour l’enfance et l’imaginaire dans « Max et les Maximonstres » ; Mister Jonze nous propose pour son quatrième long métrage une romance entre humanité et virtualité. L’intrigue de « Her » nous plonge dans un futur pas si lointain, où le quotidien des hommes serait synchronisé en permanence à leur ordinateur et où le pantalon taille haute serait de nouveaux la pièce maîtresse des dressings masculins.

Faire un pas de mini pouce pour nous projeter dans un futur familier est sans nul doute l’initiative la plus sensée du genre de science-fiction. Jonze veut nous dépayser mais sans en faire trop. Nous voilà donc plongé dans la cité des anges, un Los Angeles ressemblant à s’y méprendre à une de ces mégalopoles asiatiques toute en verticalité et luminosité. Le cadre est idéal pour vivre, tout y est calme, sécurisant et sans pollution. Jonze ne s’est pas laissé prendre comme ses compères dans un futur imaginaire et improbable où les voitures voleraient. Non, le concept futuriste est trop connoté pour lui. Et le spectateur accueil avec joie ce choix qui lui permet de s’ancrer plus facilement dans l’intrigue et lui donne plus de crédit. On est loin aussi des intrigues futuristes à la Terminator et autres I robot dans lesquels les machines chercheraient à supprimer l’humanité pour y régner en maître ; le film de Spike Jonze exploite l’idée d’une love Story émouvante un poil perturbant. Malgré cela, on garde une certaine distance vis-à-vis de ce monde presque trop parfait où les individus semblent indifférents voire absents du monde coloré et graphique qui les entoure. L’absence de débauche technologique ne nous empêche pas d’angoisser sur cet avenir proche. Confinés dans leur bulle, les Hommes avancent sans se toucher ni jauger. C’est en compagnie de Theodore Twombley, un quarantenaire moustachu, que l’on entre dans cette séduisante mais insensée histoire. Le jeune homme demeure seul au sommet de sa tour d’ivoire, et consacre la majorité de son temps à son travail d’écrivain de l’ombre où il déploie sa plume au service d’autrui. Alors que son hygiène de vie semble impeccable, ces dossiers virtuels et professionnels laissent à désirer. Dans un tel chaos, rien de mieux qu’un de ses logiciels à la mode, dont les publicités vantent les mérites, pour faire de l’ordre à votre place. C’est là qu’entre enjeux la divine OS à la voix suave et chaleureuse, répondant au doux nom de Samantha.

Dans ce récit qui reprend les grosses lignes du mythe de la création, Jonze expose, sans pointer du doigt, la dissolution de la notion du couple et la relation à l’autre. Dans un discours teinté de misogynie, il dépeint sa vision du « sexe faible ». La Femme, c’est la bonne copine sans fard sur qui vous n’avez aucune vue (Amy Adams), c’est l’objet que l’on désir sans avoir à s’engager durablement (Olivia Wilde), c’est l’amante avec qui tout semble parfait mais pas assez (Rooney Mara). « Il n’est pas bon que l’homme soit seul », le réalisateur donne de la compagnie Theodore Twombley, mais pas n’importe laquelle. C’est du rêve qui lui vend ; la Femme parfaite selon ses besoins à lui. En additionnant la mère qui n’a jamais pris le temps de l’écouter, l’amie confidente, l’objet sexuel et l’amante vous obtenez Samantha « celle qui écoute ». La gente masculine en prend aussi pour son grade. L’homme serait un éternel enfant égoïste qui se retrancherait inconsciemment dans son imaginaire, préférant jouer les supers héros avec un personnage de jeu vidéo ou déambuler seul ou presque dans un parc d’attraction. Mais lorsque les choses deviennent réelle comme une lettre de divorce ou le corps d’empreint de Samantha, la peur et la maladresse reviennent au grand galop. Alors le virtuel serait-il le meilleur moyen de combler la mélancolie et la solitude des hommes ?

La force de ce film expérimental, repose en grande partie sur une mise en scène poétique et surréaliste. La dissociation du son et de l’image ne jure pas sur la narration ; bien au contraire elle renforce le propos que tient Jonze. Parler à un écran n’a rien d’anodin, à l’époque qui est là notre. Les relations humaines sont déjà perverties par la virtualité. La réussite du film tient en parti à savant calcul ; sorti dix ans plutôt il n’aurait pas eu le même impacte. Comme Samantha comble le désert affectif de Théodore, l’utilisation intelligente du montage comble les vides, laissant aux spectateurs des moments oniriques et sublime où humanité et virtualité peuvent s’unirent dans un noir totale et ou notre cécité visuelle nous laisse imaginer cette improbable rencontre. L’emploi discret du son, combinant les mélodies signées par le groupe Arcade fire et les silences, accompagnent subtilement l’intrigue. Bien que l’on soit sensible à l’interprétation de Joaquim Phœnix, qui s’octroie le plus gros du travail à l’image et de Scarlett Johansson, qui brille par son absence, on ne peut s’empêcher noter un léger désagrément. Joaquim Phœnix crève l’écran et nous impose sa présence, alors que la voix de Scarlett Johansson, bien qu’agréable, est omniprésente dans le subconscient des spectateurs, nous empêchons de vivre totalement l’expérience voulue. C’est sans nul doute le choix de cette voix qui fait perdre l’objectif du réalisateur. Comme Samantha, on réclame un corps. Notre souhait est entendu, mais la réponse n’est qu’une simple copie qui n’est pas à la hauteur.

Her exprime avec beauté et simplicité les étapes d’une relation amoureuse. Le bonheur d’aimé et d’être aimé, la peur de l’engagement, la jalousie ou encore le deuil d’une relation. La question n’est pas de savoir si une idylle est possible entre un être de chair et de sang et un logiciel d’intelligence artificiel, mais plutôt ce que l’on en fait. Le film de Spike Jonze aborde sans critiquer les bienfaits et les travers de la technologie. De quoi faire réfléchir sur notre manière d’utilisé ces nouveautés.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Snake 2014-05-01T10:29:54+02:00
Bronze

Un beau film, une histoire assez intéressante, mais j'ai tout de même trouvé que c'était assez long. Si il avait été un peu moins long ça aurait été parfait. Les acteurs sont vraiment géniaux et j'ai beaucoup aimé la fin.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Rowan 2014-05-04T10:16:42+02:00
Argent

Un scénario et un univers d'une originalité foisonnante (Oscar bien mérité), qui parle d'un amour unique, qui prend une forme inattendue mais qui n'en est pas moins réel. Un film qui interroge sur la manière d'aimer et de vivre un amour, baigné par des images et une musique splendides. Quelques petits passages à vide pour moi sur la fin, mais pour le reste, une grande émotion et un attachement profond aux personnages de Joaquin Phoenix et de Scarlett Johansson.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode