- Ecoute, comprends, ne tombe pas amoureuse, je suis un Rajadi, ton ennemi !

- Ennemi ? Pas étonnant que nos yeux se battaient.

- Waouah ! Tu est aussi sexy que dangereuse...

- Et toi, aussi arrogant que dangereux !

- C'est pour ça que j'ai une idée géniale, échangeons nos noms de famille ! Comme ça, je ne serais plus un Rajadi et toi, plus une Sanera. C'est simple. Le problème est résolu.

- Tu mangerais une rose si elle s'appelle "riz" ?

- Par ailleurs, Karsan, que faites-vous ?

- Je suis archéologue.

- Ce qui veut dire ?

- Cela veut dire, nous déterrons de vieilles structures et les étudions...

- Vraiment ?

- Etudier, creuser, restaurer, vous voyez ce que je veux dire. Hmm... Mais quel est le business de votre famille ?

- Tirer, trafiquer, tuer... Vous voyez ce que je veux dire... Bienvenue dans les affaires de la famille !

- Personne ne vous à demandée d'avoir des rêves au-dessus de vos moyens.

- J'aurais du t'obliger à enfiler au moins deux capotes. Bon d'accord, on aurait surtout du s'abstenir, mais si jamais tu le refait, faveur que tu ne devrais plus faire à aucune femme, où qu'elle soit, mais si jamais ça t'arrive, pense à mettre deux capotes l'une sur l'autre et enveloppe le tout dans du ruban isolant. Tu devrais d'ailleurs toujours te déplacer dans une capote géante parce que t'est qu'une merde !

- Ok.

- Tu devrais te tenir à distance de tout le monde vu que t'est qu'une merde.

- T'a jamais entendu l'expression "Faut être deux pour danser le tango" ?

- Va te faire foutre.

- Alors je pourrais te dire qu'on parlera de tout cela lorsque tu sera moins en colère, mais est-ce que tu peux me dire... Tu peux me dire... Quand tu sera prête ?

- Va te faire foutre.

- Je ne sais pas.

- Tu sais pas si il est de moi ?

- Non, comment veut-tu que je le sache ?!

- Tu veux dire que c'est peut-être Jim.

- Oui, qu'est-ce que t'est con !

- Mais, euh... T'en veux pas, de toute manière, pour être clair ?

- Pour être clair, connard, enfoiré de connard, j'aimerais vraiment beaucoup le garder si il était de Jim. C'est ce que je voudrais, mais comme j'en sais rien, non seulement tu à tout fait foiré en me baisant et me mettant peut-être enceinte, mais même si c'est pas le tien, je peux pas le savoir, donc je dois me débarrasser de ce qui aurait pu être un magnifique bébé, un bébé que je voulais, parce que tout ce que tu touche se transforme en merde ! Comme le frère débile du roi Midas.

- Merci pour le boucan, sale connard.

- Je me gèle, est-ce qu'on peut discuter ?

- Ici, non, va te faire foutre !

- J'ai pas compris... Pas ici où va te faire foutre ?

- Troy Nelson, comment va-tu ?

- Enchanté, Llewyn Davis.

- Oh, salut ! J'ai entendu ta musique. Et entendu pleins de chouettes compliments sur toi, venant de Jim et Jean, et d'autres personnes.

- Tu n'a rien entendu de gentil sur moi venant de Jean, jamais. N'est-ce pas, Troy ?

- Je ne veux pas de vôtre argent. C'est votre femme que je voulais.

Doug : Tu sais si tout se passe bien... . Il va peut-être falloir que tu te barre aussi.

Jem : Ouais, c'est ça. Qu'est-ce que tu veux que je fasse, hein Duggy ? Que j'aille à Margarita Ville, que je boive un 50 centimètres et que je tombe devant le tabouret ?

Doug : Fais-moi plaisir. Vu l'importance de ce coup, prévois au moins une sortie de secours.

Jem : Tu sais le truc le plus marrant quand t'est en prison ? Les mecs qui font semblant d'avoir envie d'en sortir. Moi je veux pas y retourner Duggy. Alors si on se fait coincer... On règle ça dans la rue.

"C'est comme le mec qui est assis au bar, et y'a un prêtre qui rentre et prend une chaise, le mec dit :

- Eh attendez un peu, je suis désolée de vous dire ça mais perdez pas votre temps, je suis sûre et certain que dieu n'existe pas.

Le prêtre dit :

- Ah oui, comment ça ?

Le mec dit :

- Bah, j'étais explorateur au pôle nord, j'ai été pris dans une tempête de neige une fois, je me gelais, j'y voyais rien, j'étais mort de froid et j'ai prié "Si dieu existe, qu'il me sauve". Et dieu n'est pas venu.

Et le prêtre dit :

- Dis donc, comment ça se fait, vous êtes vivant, il vous à forcément sauvé !

- Non, dieu s'est jamais pointé, un Eskimo est passé. Il m'a ramené à son camp et il m'a sauvé. C'est Janice. C'est ma femme, et elle assise juste là. C'est elle mon Eskimo.

Jem : Sur leur formulaire 302, les fédéraux ont dit que j'avais buté Brendan ici. Je l'ai descendu sur Tippets. Cet enfoiré à piqué un 100 mètres une balle dans le coeur, putain cet enfoiré ouais... Il aurait du faire de l'athlète, tu crois pas ?

Doug : Je t'avais pas demandé de faire ça.

Jem : Ouais, bah t'a pas eu besoin de me demander. On m'a dit que Brendan Leahey venait pour te fumer avec un Glock 21, alors je me suis pointée et je l'ai envoyé six pieds sous terre. J'ai tiré 9 ans pour ça. Alors t'a pas à me dire merci... mais tu te barreras pas.

Roy : Ecoutez-moi, il n'y à aucune raison de paniquer... Oui, je gère la situation.

June : La situation ?

Roy : Oui, on à perdu les... les deux pilotes.

June : Ils ont quitté l'avion ?

Roy : Non, ils sont morts.

June : Les pilotes sont morts ?

Roy : Ils ont été tués, c'est...

June : Ils ont été tués... Mais tués par qui ?

Roy : Par... moi. Non en fait j'ai tué le commandant, qui lui à tué le co-pilote par accident. C'est des choses qui arrivent...

Roy : Je suis pas le genre de mec à dire "Je vous l'avais dis" mais je vous l'avais dit qu'il fallait pas prendre ce vol.

June : Mais quand ?

Roy : Je vous ait averti, j'ai dit "Parfois les choses arrivent pour une raison".

June : C'est pas un avertissement. Roy, ça c'est pas un avertissement ! C'est un de ses trucs qu'on brode sur un coussin, où un proverbe sur un pare choc,la prochaine fois essayé "June, si tu monte dans ce putain d'avion tu crèves !".

"Tarte pour tout le monde, tarte pour tout le monde, tout le monde mange sa petite tarte, ok sans crème glacée ni chantilly parce que ça ramolli les jambes, ça fait grossir les maigres, ça les rends obèse. Et on ne nous suit pas ! Sinon je me butte et après je la flingue !"