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J’ai soudain le sentiment étrange d’être en harmonie avec moi-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, ce petit parfum dans l’air, la rumeur tranquille de la ville. J’inspire profondément car la vie me parait alors si simple, qu’un élan d’amour me donne tout à coup envie d’aider l’humanité tout entière.
Je ne veux plus attendre ton coup de téléphone, je ne veux pas m’empêcher de tomber amoureuse, j’veux pouvoir coucher avec qui je veux quand je veux et sans scrupules. J’ai réfléchi, puisque ce que nous vivons n’est pas réel, c’est un jeu. Puisque c’est un jeu, il faut des règles. Nous nous verrons le plus loin possible. Quand tu sauras où tu vas, tu m’écriras chez ma sœur à Londres, elle saura où faire suivre le courrier. Ne te donne pas la peine d’écrire des mots gentils, préviens moi juste suffisamment tôt. Dis à quel hôtel tu descends, et où, et quand. Si j’peux j’me libèrerai, sinon tant pis. Ne cherche pas à m’appeler ni à savoir où je suis ni comment je vis. Je crois que ce n’est plus le problème. Je pense que c’est la meilleure solution. Faire comme toi : vivre de mon côté, en t’aimant, mais de loin. Je ne voyais pas les choses comme ça, mais pourquoi pas. Après tout, ce sera un jeu, spécial, excitant. Quand tu descendras à l’hôtel parfois j’y serai, parfois non. Parfois je te rejoindrai au milieu de la nuit et nous nous perdrons l’un dans l’autre, sans un mot. Tu vois, j’suis prête à essayer, parce que c’est toi qui as raison : la vie sans scrupules, c’est...
Je pensais à lui tout le temps, toute la journée. Je savais qu’il était là quelque part sur la planète. J’attendais, je préférais ne pas l’appeler et je ne voulais pas. J’attendais juste un signe, alors j’attendais.
Si les chevaux nous portent c’est qu’ils sont gentils. Ils ont la gentillesse de nous supporter. Ils nous supportent et ont parfois la bonté de nous faire don d’une toute petite part de leur grâce. Nous n’avons rien inventé, rien.
Pourtant on ne s’ennuie jamais car l’ennui vient quand on ne se regarde plus. Et on ne peut pas ne pas regarder un cheval. Regardez l’autre. Regardez-le vraiment et jamais, jamais, vous ne vous ennuierez. C’est ça le sentiment équestre et ça n’est rien d’autre que de l’amour.