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Tous les films de Agnès Varda

Le corps sans vie de Mona, une jeune vagabonde, est retrouvé un matin d'hiver dans un fossé. Personne ne sait qui elle était, et le puzzle incomplet de son passé se reconstitue au fur et à mesure des témoignages de ceux qui ont croisé sa route.

Un peu partout en France, Agnès a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupéreurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessité, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. On est loin des glaneuses d'autrefois qui ramassaient les épis de blé après la moisson. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Agnès est aussi la glaneuse du titre et son documentaire est subjectif.

Le film est un portrait-en-cinéma où l'on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d'autres Jane... d'Arc, Calamity Jane, et la Jane de Tarzan et la Jane de Gainsbourg. C'est la feme-au-miroir-mouvant. Elle change de tête et de rôle pour s'amuser avec Agnès qui tourne autour d'elle, la déguisant, lui proposant des fictions ou des hommages comme celui à Marilyn... Celui de Laurel maladroit de " Laurel et Hardy ". Le film est un portrait semé de mini-fictions, le film est une fiction semée de mini-confidences de Jane B., au mieux de sa forme dans un libre dialogue avec celle qui la filme, Agnès V.

Au cours d'un printemps pluvieux, une femme de presque 40 ans, Mary-Jane, tombe amoureuse ou plutôt glisse amoureuse d'un garçon de presque 15 ans, Julien, camarade de classe de sa fille Lucy. Lui, il essaie de faire partager à Mary-Jane sa passion pour les jeux vidéo, surtout pour " Kung-Fu Master ", un jeu où un karatéka sautillant doit supprimer tous ses adversaires pour délivrer " Sylvia ". Au retour d'une escapade dans une île, tout sera remis en ordre par les familles et les proviseurs. Mary-Jane ne reverra plus Julien. Elle souffre de son silence. L'a-t-il aimée ? S'est-il moqué d'elle ?

Monsieur Cinéma est presque centenaire. Il perd la boule, embrouille tout. Il se prend pour l'un puis l'autre des grands noms du 7ème art. Il habite dans un château-musée dont le gardien est aussi son majordome, Firmin. Une jeune cinéphile, Camille, est payée pour mettre de l'ordre et un peu de vérité dans ses souvenirs. Elle assiste aux visites que lui font quelques acteurs célèbres. Pour le public qui les aime à l'écran, les acteurs sont le cinéma. Pour Camille et pour le groupe de jeunes qui l'entourent, c'est faire du cinéma qui a un sens. Son petit ami Mica propose un rôle au "Vieux", ce qui les aidera à réaliser un court-métrage. Ils essayent aussi de récupérer l'héritage de Monsieur Cinéma en infiltrant l'un deux, Vincent pour remplacer son héritier, un arrière petit-fils disparu. Avec l'héritage, ils pourraient produire "leur" premier long métrage. Mais Monsieur Cinéma ne veut pas mourir.

Il était une fois un garçon, élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C'était en 1939, il avait 8 ans, il aimait les marionnettes et les opérettes. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C'est de Jacques DEMY qu'il s' agit et de ses souvenirs. C'est une enfance heureuse qui nous est contée, malgré les évènements de la guerre et de l'après-guerre.

Deux jeunes filles vivent à Paris en 1962. Pauline (17 ans), étudiante, rêve de quitter sa famille pour devenir chanteuse. Suzanne (22 ans) s'occupe de ses deux enfants et fait face au suicide de leur père. La vie les sépare ; chacune vit son combat de femme. Pauline est devenue chanteuse dans un groupe militant et itinérant après avoir vécu une union difficile en Iran. Suzanne est sortie de sa misère et travaille au Planning familial. Dix ans plus tard, elles se retrouvent au cours d'une manifestation féministe.

Cléo, jeune chanteuse de petit renom, attend le résultat d'un examen médical qui doit révéler si oui ou non elle est atteinte d'un cancer. Pendant les quelques heures qui la séparent du diagnostic, Cléo va chercher le réconfort parmi ses amis et consulte même une voyante, Irma. Mais elle ne trouve pas l'aide et la compréhension tant espérées et part seule se promener au parc Montsouris, où elle rencontre Antoine, un jeune militaire attentif à ses craintes et prêt à l'accompagner à l'hôpital...

Quatre ans après l’arrivée de Fidel Castro, Agnès Varda a ramené de Cuba 1800 photos et en fait un documentaire didactique et divertissant.

François, jeune menuisier, mène une vie heureuse et simple avec sa femme Thérèse, couturière, et leurs deux jeunes enfants. Un jour, il rencontre Émilie, une employée de la poste locale.

En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Varda invente une forme d’autodocumentaire.

Agnès se met en scène au milieu d’extraits de ses films, d’images et de reportages.

Elle nous fait partager avec humour et émotion ses débuts de photographe de théâtre puis de cinéaste novatrice dans les années cinquante, sa vie avec Jacques Demy, son engagement féministe, ses voyages à Cuba, en Chine et aux USA, son parcours de productrice indépendante, sa vie de famille et son amour des plages.

Une femme libre et curieuse !

Source: Première

Documentaire tourné à Oakland (Californie) au cours des manifestations autour du procès de Huey Newton, leader des activistes noirs... Au temps où les Black Panthers avaient un programme et des projets, avec entraînement des troupes, meetings, danses et déclarations, au temps où les Black Panthers inquiétaient les USA...

Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer.

Agnès a choisi le cinéma.

JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air.

Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR.

Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés.

Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant des différences.

Source : AlloCiné

Un couple sur le point de se séparer, se questionne dans les lieux que la femme découvre, là où l'homme a été élevé, un petit village de pêcheurs près de Sète, La Pointe Courte. Des pêcheurs de coquillages s'organisent pour défendre leurs droits, les familles ont des tracas et des histoires de voisinage. Le couple est en crise : ils dialoguent. Ceux de La Pointe Courte se réunissent pour les Joutes. C'est une double chronique - un couple et un groupe, dans la lumière éblouissante de l‘été.

Source : Allociné

1974-1975 à Paris : instants de vie et témoignages des habitants et commerçants d'un « morceau de la rue Daguerre, entre les numéros 70 et 90, à moins de 50 mètres de la porte d'Agnès-la-Daguerréotypesse.

Source : Wikipédia

Un jeune homme voit la vie en noir quand il porte des lunettes noires. Il lui suffit de les ôter pour que les choses s'arrangent.

Un mini film burlesque sans paroles issu de Cléo de 5 à 7... et complété ! On y voit Jean-Luc Godard sans lunettes et avec un canotier...

Dans cette éblouissante leçon de cinéma, la réalisatrice revisitait avec son inventivité coutumière ses inspirations et sa filmographie, livrant au passage un touchant autoportrait.

Ce documentaire autobiographique se décompose en deux causeries :

La première partie couvre la période 1954-2000, où Agnès Varda se consacre au cinéma, entre fiction et documentaire – et parfois les deux en même temps, comme lorsqu'un bateleur s'invite devant la caméra dans Cléo de 5 à 7. Filmer la majorité silencieuse (les commerçants de Daguerréotypes) ou une minorité en révolte (les Black Panthers), raconter le combat féministe (L'une chante, l'autre pas) comme l'errance d'une jeune fille dans Sans toit ni loi : la cinéaste commente ses inspirations, ses choix d'écriture et de tournage, et l'irruption, parfois tragique, du cours de son existence dans sa filmographie. La maladie de son compagnon Jacques Demy l'amènera ainsi à tourner le poétique Jacquot de Nantes.

Dans la seconde causerie, après un préambule narrant ses débuts comme photographe, Agnès Varda fait un saut temporel et technologique, pour raconter comment, à l'aube du XXIe siècle, elle a "réinventé son travail". L'arrivée des discrètes petites caméras numériques lui permet de renouer avec le documentaire, et d'aborder plus facilement les personnes en situation précaire des Glaneurs et la glaneuse. Chemin faisant, elle se découvre une vocation d'artiste visuelle et élabore d'ingénieuses installations vidéo. Autre événement marquant, le compagnonnage avec l'artiste JR, avec qui elle réalise Visages villages, road-movie de rencontres dans les campagnes françaises.

Court-métrage - 13 minutes

Femmes statues, colonnes humaines, les cariatides de Paris se sont multipliées. A l'époque où Baudelaire était devenu aphasique, Agnès nous dit ses poèmes.

Source : UniFrance

rencontre d'Agnès Varda et de son amie, Gwen Deglise, devenue programmatrice de l'institution américaine

Comment parler d'amour, en levant les yeux vers les mosquées ou parler d'architecture au creux de l'oreiller. Ce court-métrage est une variation sur les émois amoureux de Pomme et Ali Darius (dans L' UNE CHANTE L' AUTRE PAS). Mais il peut être aussi la rêverie de n'importe quel couple d'amoureux dans les lieux aussi parfaits que la Grande Mosquée du Roi à Ispahan, point de jonction de l'art sacré et de l'art profane.

Deux ans après, c'est ce qui est arrivé après la sortie du film Les Glaneurs et la glaneuse : ce que sont devenus ceux rencontrés et filmés en 2000 ; les effets du film ; les courriers reçus par Agnès Varda et comment elle a réagi ; les nouvelles rencontres dont les glaneurs originaux.

Ce film raconte une double histoire : la vie d'un couple et la naissance d'un roman. Edgar et Milène vivent comme des reclus, ils ne peuvent pas dialoguer, mais ils s'aiment, et leur amour va donner la vie à un enfant. Quant au roman d'Edgar, il naît de rien, à première vue, car Edgar se promène seul dans l'île de Noirmoutier. Au hasard de ses promenades, il rencontre des personnages quotidiens, qui deviennent, transformés ou imaginés, les " créatures " de son roman, les pions d'un jeu de l'échec qu'il invente. Les " créatures " prennent vie au cours d'une partie serrée dans laquelle Edgar défend non seulement ses convictions, mais aussi son amour (Allocine).

À Rochefort, en 1966, Jacques Demy a tourné Les Demoiselles de Rochefort avec les sœurs Deneuve-Dorléac. En 1992, la Ville a fait une grande fête pour célébrer les 25 ans des Demoiselles.

“Après avoir fait un film de fiction sur l’enfance de Jacques (Jacquot de Nantes), mon intention a été de faire avec L’Univers de Jacques Demy un documentaire – relativement objectif – sur Jacques Demy, adulte et cinéaste. J’ai recueilli des témoignages et suscité des réactions. J’ai moi-même apporté des souvenirs et des documents sur lui mais j’ai souvent passé le relais à ses amis, à ses proches, aux acteurs et actrices qui ont travaillé avec lui, à des « fans » et à trois demoiselles qui ne l’ont pas connu mais qui circulent naturellement dans son univers.”

-Agnès Varda-

Au bord de la mer, une chèvre, un enfant et un homme. C’est une photographie faite par Agnès Varda en 1954. À partir de cette image fixe, le film explore l’imaginaire et le réel.

À la question « Qu'est-ce qu'une femme ? » posée par une chaîne de télévision, quelques femmes cinéastes ont répondu, dont Agnès.

À l'écran, une femme enceinte et nue, dansant et riant à pleine gorge, a suscité des réclamations écrites à Antenne 2.

D'autres disent le désir, ou pas, d'avoir des enfants.

Visite touristique et documentaire le long de la Riviera L’exotisme, les couleurs du tourisme, celle du Carnaval et de l’Eden. Une île. Des parasols qui se ferment à la fin sur une jolie chanson de Delerue.

Sept façons différentes de présenter les armées nord-vietnamiennes en pleine guerre contre les États-Unis.

Un conflit opposant les riches aux pauvres sur fond d'indignation ou parfois d'indifférence de la part de l'opinion publique mondiale.

Trois acteurs - Viva, Jim, Jerry sur le chemin de la " staricité " et sur celui non moins difficile de la maturité - vivent dans une maison louée sur une colline de Hollywood. Ils ont tous les trois des crinières de lion. Ils vont vivre à leur façon l'assassinat de Robert Kennedy à travers ce que la télévision en montre, alors que leurs amis ont d'autres problèmes. Le poste de télévision est aussi une star du film.

Documenteur raconte l’histoire d’une Française à Los Angeles, Émilie, séparée de l’homme qu’elle aime, qui cherche un logement pour elle et son fils de 8 ans, Martin. Elle en trouve un, y installe des meubles récupérés dans les déchets jetés à la rue. Son désarroi est plus exprimé par les autres qu’elle observe que par elle-même, vivant silencieusement un exil démultiplié. Elle tape à la machine face à l’océan. Quelques flashes de sa passion passée la troublent et elle consacre à son fils toute son affection.

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