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Le garde du corps
Dersou Ouzala
Rashômon
« Double Etoile », livre de Heinlein, est cent mille fois plus prenant sur le même thème.
Là, ça s étire en longueur pour une histoire qui ne se révèle même pas si intéressante au final
En plus, le principe étant la ressemblance, je mélangeais parfois les personnages
Poussif et beaucoup trop long.
Kagemusha, l'Ombre du guerrier
Ran
Dersou Ouzala
Rashômon
Ran
Par contre on m'avait promis un super plot, je n'ai pas été vraiment époustouflée.
Rashômon
Très peu de combats mais beaucoup de belles manières de penser et de vérités sur la liberté et ce qu'elle peut coûter. A voir.
Après la pluie
Ce n'est sûrement pas l'un des meilleurs films du cinéaste, mais il mérite le coup d’œil.
Chien enragé
Les sept samouraïs
C'est sur ce long cri déchirant que je commence ma critique.
Je suis fan du travail d'Akira Kurosawa d'habitude. Il sait très bien mettre en valeur ses personnages, les rendre attachants et surtout il maîtrise sa caméra. La nature est toujours mise en valeur en général dans ses films. Avec ce film-ci, cette part du contrat est réussie : la toundra est impitoyable avec les hommes mais qu'est-ce que ses plans sont magnifiques !
Cependant, c'est avec regret que je classe Dersou en "vu aussi" (bronze auparavant) parce qu'honnêtement, j'ai eu pas mal de fou rire devant le film. Si dans d'autres films de Kurosawa les personnages sont un poil trop parfaits (Barberousse, le médecin idéal, à l'écoute de ses patients par exemple) ou trop clichés, il y a d'autres aspects qui contrebalancent cela (le scénario, la photographie, etc.)
Alors qu'ici, bien que Dersou soit attachant au départ, par la suite il est juste drôle ! Son sort a beau être dramatique car il se retrouve loin de sa forêt chérie, mais les derniers passages du film m'ont difficilement émue. C'est sans doute aussi la faute au fait que la première partie du film est palpitante car elle se déroule dans la nature, et du coup le passage en ville est assez violent (tu vois que je comprends ta douleur Dersou)
Comme quoi même avec ses réalisateurs préférés on n'est jamais à l'abris d'une déception.
Dersou Ouzala
Pourtant je trouve les films contemporains de Kurosawa plus intéressants que ceux traitant des guerres féodales. Il critique son époque mais pas de façon ennuyeuse. Avec la relation professeur/anciens élèves au centre du film, on a droit à plusieurs répliques drôles et cinglantes et on comprend aisément pourquoi ses anciens élèves sont aussi attachés à ce prof d'allemand farfelu.
Les images aussi contribuent à l'intérêt du film ; ce film est en couleur et Kurosawa a su en tirer parti. On retrouvera selon les ambiances des couleurs précises. Il y a aussi toujours un élément en mouvement dans chaque plan : la pluie, le vent, la fumée des cigarettes, un chat qui passe...
Le film peut paraître moins palpitant qu'un film de samouraï mais les plans sont magnifiques - notamment la scène du début où le prof est au tableau, et on filme les élèves assis de dos, mais légèrement de côté (regardez le film, je n'arrive pas à expliquer mais je trouve ce plan génial).
Les seuls éléments qui m'empêchent de mettre le film en liste de diamant sont la longueur de l'épisode du chat (loin de m'émouvoir, j'étais plutôt impatiente qu'on passe à autre chose) et les chansons (surtout celle où le prof chante à propos du Dieu des Moissons). L'épisode du chat est un peu trop long, on a bien saisi son chagrin donc ce n'est pas la peine d'en tartiner pendant des heures. Et pour les chansons, certaines sont amusantes mais celle que le prof chante est là aussi un peu trop longue. Trop de longueur tue l'émotion.
Enfin, je terminerai sur un aspect original qui m'a plu : bien que le film se situe à l'époque de la Seconde Guerre Mondiale, la guerre en elle-même y est peu présente, ou du moins n'est pas présentée de manière habituelle (pas de batailles, pas de blessés filmés).
Madadayo
J'ai eu un goût de pas assez en voyant ce film, et c'est normal. Les différents intrigues du scénario s'enchaînent maladroitement, ou plutôt à l'écran s'affiche un texte qui explique une partie de l'histoire. C'est pourquoi je ne vois pas l'intérêt de commenter ce film qui n'est pas complet. Je préfère voir le remake produit par Kurosawa et on en reparlera de Sugata Sanshiro.
Mais heureusement que Kurosawa sait tenir sa caméra, car malgré les coupures il y a de très belles scènes.
La légende du grand judo