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Avatar : la voie de l'eau
Titanic
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Pour cette suite les principaux acteurs du 1er opus sont là. Vient se joindre à eux sans maladresse, des personnages aux profils séduisants et variables.
Les combats sont innovants par leur mise en place et leur dynamisme.
Cette partie est une suite bien construite mais pas surprenante.
La mise en scène, quant à elle, souffre parfois de lourdeur qui affecte l'admiration du spectateur: des scènes sont exagérées ou incohérentes (la baleine qui disparaît après le combat final..., des longueurs de découverte des lieux, etc)...
... mais tout ça n'est qu'une introduction à la suite qui s'avère des plus désirée!
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Le scénario en soi ne va pas très loin, mais j'en ai pris plein les yeux, et c'était ce que j'attendais de ce film.
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Dès les premières minutes, on retrouve cette émotion intacte, celle que nous avait offert ce premier opus révolutionnaire, on retrouve cet univers, celui qui a marqué toute une génération, un univers hors du commun, de science-fiction pure, cet univers qui possède une identité unique, qui n’existe nulle part ailleurs. Plus encore, c’est cette relation unique avec la nature, cette symbiose extraordinaire avec cet environnement merveilleux, cette connexion avec tous les éléments qui nous entourent, ce monde du vivant, que nous ressentons dans toutes les fibres de notre être. Alors, si on le retrouve inévitablement, c’est dans un autre milieu que nous allons évoluer cette fois, on quitte les forêts de Pandora, pour se plonger littéralement, dans sa vie aquatique, au cœur d’un nouveau peuple, celui qui partage son quotidien avec l’océan, vivant en osmose complète avec lui. Nous allons découvrir ce nouvel écosystème avec des étoiles pleins les yeux, une faune, une flore, uniques encore une fois, qui saura nous faire frissonner par sa beauté, par son côté sauvage qu’il faut préserver à tout prix et par ce respect immuable, qui règne toujours, celui de vies qui cohabitent au quotidien. Évidemment, il n’y a plus rien à dire sur le talent incontestable de James Cameron, bien qu’il ait pris son temps, il l’a fait pour de très bonnes raisons, mettant en scène un véritable chef-d’œuvre, à la hauteur des attentes que nous avions tous et sans aucun sans faute. Visuellement, c’est tout simplement un petit bijou, évidemment, la technologie y est pour beaucoup, les effets spéciaux sont parmi les meilleurs jamais vus, tout est parfaitement maitrisé, les paysages, les créatures, tout prend vie de la plus admirable des manières, pour nous en mettre plein les yeux. En ce qui concerne le scénario, on reprend les choses où nous les avions arrêtées, quelques années après, des années de paix relative, où la vie a repris ses droits, jusqu’à ce que l’Homme décide une fois de plus, de faire valoir ses droits sur cette nouvelle planète. On pourrait avoir la sensation d’un éternel recommencement, si c’est vrai dans une certaine mesure, les faits sont tout autres, les conséquences également et c’est un récit bien différent qui nous est offert, avec de nouveaux enjeux, qui nous feront une fois de plus vibrer. Notre espèce fait de nouveau, montre de toute sa cruauté, de sa cupidité, de sa monstruosité, lorsqu’il est question d’argent, il est capable de piller, de tuer, de détruire, pour récupérer ce qui l’intéresse, pour profiter des trésors qui peuvent exister, sans jamais penser aux ravages qu’ils laissent derrière eux. Alors, émotionnellement, c’est un récit qui nous prend une nouvelle fois dans ses filets, plus intense encore je pense, parce que les liens sont plus forts, parce que la famille est plus présente que jamais et évidemment, parce que les enjeux sont plus grands, pouvoir protéger ceux que l’on aime, sans que ce soit toujours possible. Quant au casting, il est toujours aussi exceptionnel, Sam Worthington y est plus touchant que jamais, idem pour Zoe Saldana et bien sûr, Stephen Lang vient clôturer ce trio avec tout son talent.
En bref : Une suite que nous avons tous attendu avec plus ou moins de patience, patience pleinement récompensée, par ce spectacle extraordinaire qui nous est livré, par l’univers toujours plus merveilleux dans lequel nous allons plonger, il nous offrira mille trésors, pour nous toucher en plein cœur, d’une intensité émotionnelle bouleversante, aux messages humainement universel, nous ne sortirons pas indemnes de cette aventure de tous les instants !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2022/12/27/avatar-la-voie-de-leau/
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Du rire au stress aux larmes, on passe par cinquante émotions différentes et on vibre avec l’histoire et les personnages !
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D'une part, l'univers est évidemment toujours aussi magnifique et envoûtant mais cet univers de l'eau est un transposition de celui de la forêt, ils ne sont pas allés chercher très loin.
D'une autre part, si le premier film a été retentissant par son originalité, celui-ci sert clairement de machine à fric et c'est ce qui est assez dommage. On ne retrouve plus la volonté de faire kiffer les gens mais on veut qu'ils en aient pour leur argent et rembourser tous les effets spéciaux. On est un peu entre un disney féérique et un film de guerre.
Ce qui est aussi dommage c'est que si les Na'vi étaient très proches de la nature, ici, la famille de Sully fait très américaine, sa femme perd sa fonction de guerrière féroce. On nous montre un père sans sentiments et une mère trop émotive.
Cependant même si j'avais peur de la durée du film, les 3h sont passées à une vitesse !
Evidemment, on sait tous que les numéros 2 ont toujours du mal à être reçus par le public, la déception est présente donc c'est normal. Mais on notera l'évidente présence d'un numéro 3, avec
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Pour l'époque c'était révolutionnaire (visuellement parlant) et je n'ai aucun reproche à faire là dessus. Mais je ne pense pas être fan un jour de cet univers. La faiblesse scénaristique est vraiment un problème à mes yeux (même si ça traite de problématiques intéressantes). Je trouve que c'est inquiétant venant d'un grand réalisateur comme James Cameron, dans le sens où parce qu'il a de beaux visuels son film est un chef-d'œuvre alors que le scénario est "remplie de facilités". Je n'accroche pas à ça, quand des gens avec des films plus "abouties" et prometteurs au niveau de l'écriture ne peuvent atteindre l'argent engendré par le "projet Avatar" floqué James Cameron.
Bien joué à lui cependant, mais mon avis ne changera pas à ce sujet. Même si j'ai pu passer un bon moment devant le film, je n'en ferais pas l'éloge. Pour moi ce n'est pas un chef-d'œuvre, c'est un film de science-fiction correct.
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Enorme pompe à fric !
Le premier film détenant le record all-time au box-office était un parfait tremplin pour se faire de l'argent.
Tout ce qui a été semé dans le premier film (: lutte contre l'impérialisme américain, nature puissante et envoutante... ; tout cela est détourné, puis broyé dans l'industrie du soft power américain.
Nuance importante, ce film est signé James Cameron mais il est coréalisé par Amanda Silver : productrice de films qui sont tous moulé dans la même pâte stérile : l'immonde Disney avec Mulan ( le film récent ), la planète des singes ( le dernier) ou Jurassic World.
Elle n'en n'est pas à son coup d'essai, la récupération commerciale de Blockbuster est son métier.
Sans être révolutionnaire le premier film rendait justice à l'Histoire en montrant des américains colonisateurs et destructeurs.
Dans celui-ci, les américains ne sont plus présents, il n'y a que des coquilles vides méchantes. Pire les naavis sont américanisés. Leurs dialogues se réduisent à la l'édification sans fin des clichés désirables selon les normes souhaités : homme protéger famille, vraiment raisonnable, femme émotive et à peu près inutile. Enfant spécial pas comme les autres cherche bonheur chez son marchand de journaux.
Quant à la nature, c'est simplement une mocheté. Tout est produit à l'ordinateur ce qui donne une lumière artificielle enfermant tout le monde dans un bocal, de l'eau mal animée, des animaux anthropomorphisés : vas-y qu'on se regarde dans le blanc des yeux, amis pour la vie...
Bref aucune création, seulement une longue destruction moderne. Caché derrière une façade protestataire, Amanda Silver et James Cameron creusent et vident la coquille de toute sa moelle et nous recrachent les os à la gueule.
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J'ai trouvé l'intrigue creuse et fade, marquée par le retour du vilain créé dans le précédent film. Il n'y avait pas d'originalité à ce niveau et le fait que le spectateur ait été familiarisé avec le cadre de Pandora a atténué l'effet de surprise qui a été salué par la critique en 2009.
On retrouve les mêmes thématiques abordées au commencement auxquelles s'ajoute l'acceptation de la différence introduit par les enfants de Jack, des métisses qui ont eu du mal à se faire accepter par le peuple des récifs, la relation père-fils, et l'accueil des réfugiés de guerre, on-ne-peut-plus d'actualité.
On sentait bien l'attachement du réalisateur d'en mettre plein la vue avec ce nouveau milieu dans lequel la famille Sully trouve exil au point que j'ai trouvé cela insistant et long ce qui fait traîner l'histoire.
Les effets spéciaux sont au rendez-vous mais au bout de 3h de film ont tendance à devenir étourdissants plus qu'impressionnants.
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