Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 646
Membres
42 671

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Callliope 2023-09-13T17:01:53+02:00
Diamant

Excellent film qui a tenu en apnée toute la salle dans laquelle je me trouvais. De magnifiques images de ma région par ailleurs, dans un film avec des acteurs très convaincants et un scénario crédible.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par pwachevski 2024-01-28T14:54:51+01:00
Or

Ce film tombe dans la catégorie des films qui me sèchent un peu sur place (coucou Breaking the waves). Quand ils se terminent je sais que j'ai aimé, mais je sais aussi qu'il va falloir les laisser décanter, y repenser plus tard, pour vraiment percevoir toutes les subtilités. Anatomie d'une chute est vraiment un film et un scénario extrêmement fins, très écrits, qui abordent de nombreux sujets et viennent remuer des sentiments qu'on cherche souvent plutôt à enfouir. Franchement, je commence sérieusement à y croire à l'Oscar du meilleur scénario. Et dans tous les cas, victorieux ou non, c'est une expérience que je n'oublierai pas de sitôt.

C'est aussi, je pense, le plus abouti des films de Justine Triet que j'ai vus (je n'ai pas vu La bataille de Solférino). Et également un film assez surprenant dans son œuvre, car on est à la fois très proche et très éloigné de ce qu'elle a déjà fait.

Proche parce qu'on retrouve Sandra Hüller à qui elle a déjà fait confiance dans Sibyl, et par des thématiques ou situations qu'on a déjà vues et qu'on peut repartir en 3 sphères :

- Le métier d'écrivain, à quel point on peut s'inspirer de sa vraie vie, à qui appartient réellement la bonne idée, la gestion du succès, par soi et par les autres (surtout vu dans Sibyl, mais aussi un peu présent dans Victoria) ;

- L'univers judiciaire, avec le procès, les avocats, le chien important dans la procédure (vu dans Victoria) ;

- La vie de couple, mais plutôt sous l'angle des défis qu'elle représente, savoir construire quelque chose avec quelqu'un, lui accorder du temps et de l'intérêt sans s'oublier soi-même, savoir tenir sur la durée, traverser une épreuve, être confronté à l'infidélité, etc (vu dans les deux).

Éloigné car on abandonne ici toute envie d'inclure des touches humoristiques dans l'histoire. On reste purement dans le drame sur toute la longueur du film, jusque dans la construction de son personnage principal. Victoria ou Sibyl, malgré leurs défauts, avaient ce côté pétillant qui les rendait éminemment sympathiques, on se projetait aisément dans l'histoire. Le personnage de Sandra n'est absolument pas comparable. On assume son côté froid, autoritaire, qui met instantanément une barrière entre elle et nous, spectateur. On n'est pas du tout dans la projection, on ne voit pas le film à travers son prisme, on reste spectateur extérieur et objectif de la situation.

On notera aussi que le film a une durée respectable de 2h30, là où les précédents films de la réalisatrice faisaient 1h de moins. Et pour le coup, j'ai trouvé ça très bien pensé au regard de sa thématique. Ça rejoint ce regard extérieur dont je parlais juste avant. On est finalement comme un juré, on éprouve la longueur du film comme on éprouverait la longueur du procès. On a le temps de se perdre en conjectures, de faire des hypothèses, de changer d'avis, de croire puis de ne plus croire. Pendant une bonne partie du film j'étais même persuadée qu'on allait nous laisser sur une fin ouverte, finir le film avant le verdict, seul avec notre intime conviction.

Bon, petit spoiler, il y aura bien un verdict au final, mais qui ne sera pas une révélation, la fin reste assez ambiguë et ouverte. Ça ne sera pas pouf, flashback, c'est comme ça que cela s'est passé, voici la vérité. Comme dans un vrai procès, une hypothèse a été validée par la cour, mais un doute est toujours possible. Il y a un côté un peu frustrant dans cette fin. Mais attention ce n'est pas négatif quand je dis ça, au contraire. Je trouve vraiment qu'on a réussi à capter et faire ressentir une réalité de la justice, qui est que quelque soit le verdict, il n'y a pas d'issue heureuse quand le point de départ est la mort de quelqu'un.

Sans transition, l'interprétation est globalement d'un beau niveau. J'ai eu un peu de mal au départ à apprécier à sa juste valeur Sandra Hüller, du fait du côté froid du personnage. Mais quand elle fait tomber la façade et se laisse aller à sa tristesse, sa frustration, sa colère face à la situation, ça dédouble les émotions, car on est d'autant plus surpris que ça arrive. Ça ne mérite pas l'Oscar à mon sens (surtout vu les queens qui sont nommées en face), mais ça reste une belle prestation.

J'ai beaucoup aimé Swann Arlaud, pour deux raisons. De 1, parce qu'il compense bien la froideur de Sandra, avec une approche qui sera bien plus dans l'empathie, l'émotion, une certaine tendresse. De 2, parce qu'il nous montre qu'on peut jouer un avocat, être crédible, sans pour autant adopter ce ton grandiloquent et pédant que prennent 99% des acteurs jouant un avocat.

Dans les seconds rôles, Milo Machado Graner, jouant le fils, Daniel, propose un jeu étonnamment sérieux et construit pour son âge. Antoine Reinartz campe, lui, un procureur assez crédible, là encore, ne tombant pas dans la caricature ; même si le côté très codifié du rôle ne provoque pas d'effet waouh. Samuel Theis m'a par contre semblé un peu insignifiant. On le voit presque pas en fait, il a qu'une seule vraie scène finalement. Un peu court pour marquer les esprits. Un bisou à Messi, jouant le chien Snoop ; ça m'a fait sourire de le voir crédité au générique comme un vrai acteur, mais en même temps, il fournit une vraie prestation (oui, je lis les génériques, me jugez pas).

Une toute petite déception peut-être pour la réalisation. Une déception toute relative : non je ne dis pas que le film est mal réalisé. Mais compte tenu du fait que la réalisatrice concourt désormais pour l'Oscar du meilleur réalisateur, je m'attendais vraiment à du très haut niveau. Bah non en fait. Franchement, j'ai trouvé Sibyl mieux réalisé ! La réalisation est indéniablement propre, le montage est brillant, il y a quelques bonnes idées de mise en scène, la direction d'acteurs est précise, mais on n'est pas sur un film avec un cachet de folie et un regard de cinéaste absolument unique. La photographie m'a semblé complètement quelconque. On n'a pas du tout exploité la beauté des montagnes environnantes. Donc je reste circonspecte concernant cette nomination.

Malgré tout, vous l'aurez compris, c'est un film que j'ai beaucoup aimé et qui m'a marqué. Bref, un film à voir sans aucun doute.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MissFantastique 2024-02-16T14:24:32+01:00
Or

Minimaliste dans sa réalisation, on s’engouffre dans une enquête policière prenante, honnête et humaine.

Une famille, la mère en coupable toute trouvée, un père les deux pieds dans la tombe, retrouvé sans vie devant le chalet, et leur enfant bouleversé.

Rien n’est enjolivé, on assiste au procès d’une femme, et par extension de son couple, sans artifices, le spectre planant, dérangeant et douloureux du meurtre du père, à moins qu’il ne s’agisse d’une chute ?

Mais de la chute de qui est-il vraiment question ? Ou plutôt de quoi ?

En tant que spectateur, on prend un malin plaisir à s’immiscer ainsi dans l’intimité de ce couple jetée en pâture devant un tribunal, la vie, leur vie, étalée là sous nos yeux.

Le procès s’anime progressivement, entre avocats véhéments, fashbacks choisis et regards interloqués, le cadre est dressé, nous nous prenons au jeu et cherchons à notre tour à comprendre.

L’écriture est incisive, d’une précision chirurgicale, servie par des jeux d’acteurs justes et sensibles, elle analyse, décortique, et passe au crible les dessous d’une relation en chute libre.

Sans jamais se complaire dans le pathos ou le voyeurisme malsain, on découvre un couple en perdition, deux êtres troublants et troublés, dévorés par l’ambition et la culpabilité.

De la passion ne subsiste que le plus laid, la jalousie, les obsessions, les reproches, tout ce qui ronge de l’intérieur et la sentence tombe, implacable : le faire couple tue à petit feu.

Vision désenchantée du couple ou portrait sans concession des relations conjugales, anatomie d’une chute propose dans une réalisation dépouillée finement écrite un drame tragiquement banal.

(Mention spéciale à Sandra Hüller, stupéfiante dans son interprétation, à la fois mystérieuse et rayonnante)

Afficher en entier
Commentaire ajouté par lalaye69 2023-09-13T21:28:23+02:00
Diamant

Ce film mérite la Palme d'Or haut la main.

Les images, la bande originale, le casting, les décors, le scénario, les dialogues, le chien...tout est bluffant. Grand bravo !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Camille45 2023-10-22T15:28:20+02:00
Diamant

Ce film est la pépite de l'année, il mérite amplement sa palme d'or !

Déjà les paysages sont magnifiques, on est plongé dans une ambiance très hivernale, presque celle d'un roman.

Les acteurs sont très précis ! Chacun dans leur rôle ils réussissent à nous faire douter de nos certitudes.

J'ai aussi été très intriguéé par ce choix de la vérité, ce choix qui est même imposé aux spectateurices. Les scènes au tribunal sont les plus intenses, elles représentent très bien les injonctions et projections que la société fait sur un couple hétérosexuel. On snet la manipulation que subit Sandra.

Bref ce film raconte des choses, il est beau, il est bien filmé, et c'est une réalisatrice qui l'a fait, que demander de plus ?

Afficher en entier
Commentaire ajouté par let-it-go 2024-02-25T17:23:14+01:00
Bronze

j'ai beaucoup aimé mais je pense que j'en attendais un petit peu trop suite aux différents avis que j'ai lu, ainsi que la réception du film par le public en général c'est un très bon film, avec de très bons acteurs et j'ai apprécié cet aspect un peu "documentaire"

mais globalement il me manque quelque chose et je n'arrive pas à savoir quoi, je ne suis pas ressortie du film en me disant que c'était le film de l'année mais je pense qu'il vaut vraiment le coup d'œil

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lyran 2023-09-16T23:24:55+02:00
Argent

J’ai apprécié la délicatesse de ce film, qui préfère montrer plutôt que dire, mais n’en montre jamais plus que nécessaire. Le handicap de Daniel, bien que central à l’histoire, est ainsi amené par petites touches : ce n’est que lors de son premier entretien avec la police qu’on nous confirme qu’il est malvoyant. Les relations entre les personnages sont également dépeintes tout en subtilité, notamment celle entre Sandra est son avocat, qui est celle d’une tendresse mi-avouée.

Comme c’est généralement le cas pour les films de procès, le film repose beaucoup sur ses dialogues. L’enjeu, c’est de les rendre pertinents, intéressants, et de ne pas les faire exister au détriment de la mise en scène. Un défi qu’Anatomie d’une chute relève avec brio, en nous gardant captivés par cette affaire somme toute assez simple grâce à des tirades percutantes et une direction d’acteur maîtrisée. La théâtralité de l’avocat général dynamise le procès, et fait le contrepoids efficace d’une Sandra mesurée et contenue. L’absence de musique extradiégétique confère un ton naturaliste au film, appuyé par certains choix visuels qui font très documentaire : la caméra épaule, les zooms brusques, ou les interventions de la presse télévisée.

Durant le film, on suit souvent le point de vue de l'enfant, Daniel, qui fait écho à celui du spectateur. C’est avec lui qu’on découvre le corps de Samuel, avec lui que l’on doute de Sandra, avec lui qu’on est dans le noir – littéralement.

Étant donné le manque de preuves pouvant confirmer les deux hypothèses défendues lors du procès – le suicide de Samuel ou son meurtre par Sandra –, la vérité semble être du côté de celui qui parle le mieux, et on a du mal à faire notre choix.

Spoiler(cliquez pour révéler)C’est finalement Daniel qui remporte ce concours d’éloquence, avec un monologue final qui tranche la question pour le spectateur : Sandra est innocente. Il s’en fait à la fois l’avocat et le juge (et à l’instar de ces deux professionnels, il arbore désormais la couleur rouge). Sa décision est suffisante pour nous apporter une forme d’apaisement, bien que l’on n’ait pas de preuves formelles de ce qu’il avance, car au fond, on sent bien qu’il n’a pas vraiment le choix. Après la perte de son père, pourrait-il supporter celle de sa mère ? On comprend qu’il puisse être prêt à tout pour sauvegarder ce qu’il lui reste de famille : empoisonner son chien, témoigner à nouveau… voire même, mentir ? On peut se demander si son anecdote sur le discours de son père qui lui disait de se préparer à la mort de son chien, et trahissait ainsi des pensées suicidaires, n’est pas une pure invention, une inspiration de dernière minute. Après tout, c’est la voix de Daniel qu’on entend sur le visage de Samuel ; c’est l’enfant qui place les mots dans la bouche de son père.

Anatomie d’une chute, en plus de disséquer la chute très littérale de Samuel, explore la chute de l’amour dans un couple qui ne se comprend plus, et celle de Sandra dans l’opinion publique. Par manque de preuves concrètes, l’avocat général détaille sa vie de manière anatomique pour s’attaquer à sa personne morale : Sandra est infidèle, castratrice, froide, manipulatrice... Ces chutes qui se succèdent comme un jeu de dominos commencent et finissent avec Daniel. Spoiler(cliquez pour révéler)C’est son accident qui fait naitre des tensions mortifères dans le couple, et c’est son choix final qui rattrape et sauve Sandra.

J’ai cependant trouvé l’opposition entre Sandra et Samuel un peu manichéenne. Les prises de positions de Sandra apparaissent assez sensées et légitimes, et je n’ai pas eu de mal à la croire lorsqu’elle affirmait qu’il était lui-même à l’origine de sa propre souffrance, bien qu’elle apparaisse alors presque insensible au mal-être de son mari.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Vampilou 2023-09-21T10:58:40+02:00
Or

Un thriller dramatique ultra prenant !

Tout commence par un drame, au milieu de nulle part, un mari, un père de famille, que l’on retrouve mort, au pied de son chalet, aucun témoin, personne ne sait ce qu’il s’est passé, alors se pose la question de savoir si c’est une chute accidentelle, un suicide ou un meurtre, tout l’intérêt du film est dans cette situation. Mais lorsque personne ne peut témoigner, il faut décrypter, chercher les preuves, faire parler le corps, les expertises, seulement, lorsque ce n’est pas concluant ou que les avis divergent, il faut aller plus loin, il faut se pencher sur la vie de ce couple, de cette famille et c’est en cela, que ce métrage sort clairement du lot. Plus que le drame en lui-même, c’est de mettre cette histoire d’amour au microscope qui fait toute la force de ce film, de la décortiquer dans ses défaillances, dans ses blessures, dans ses secrets, comment des liens si intenses, si symbiotiques, peuvent se détendre, jusqu’au point de non-retour. C’est ce cheminement qui sera des plus passionnants, cette enquête psychologique, plus que scientifique, qui saura nous fasciner du début à la fin, cet acharnement à trouver le coupable, à trouver la vérité et peu importe s’il faut fouiller, s’il faut blesser pour y arriver, s’il faut mettre au jour les plus sombres recoins d’une relation, ceux que personne ne devraient voir. La réalisation de Justine Triet est absolument sublime, maîtrisée d’un bout à l’autre, étudiée au millimètre près, son talent est incontestable, véritable art de la mise en scène, c’est une plongée intimiste, extrêmement réaliste qu’elle nous fait partager, presque chirurgicale, mais d’une intensité remarquable. Visuellement, bien que sans fioriture, c’est sa vision des évènements qui fait toute la différence, son utilisation des gros plans est extraordinaire, toujours dans cette volonté de mettre les faits au microscope, c’est terriblement efficace, elle installe une atmosphère extrêmement pesante, où les silences parlent plus que les mots, c’est percutant. En ce qui concerne le scénario, là encore, d’une grande qualité, il peut paraître extrêmement simple ou tout du moins assez classique du genre, si effectivement, il n’invente rien, c’est dans sa façon de faire, dans son déroulement, qu’il fait toute la différence, nous présentant un récit à cœur ouvert, celle d’une dissection presque, dans tout ce qu’elle a de plus détaillée. Ici, il n’est même pas question de trouver la vérité, en cela, chacun pourra même se faire son propre avis, rien n’est totalement décisif, l’intérêt suprême, c’est justement tout ce qui a pu mener à ce drame, de comprendre comment ce couple a pu en arriver là, parce que parfois, les épreuves que l’on traverse sont trop difficiles, malgré les sentiments les plus forts, on peut en venir à ne plus supporter l’autre, ses fautes, ses succès, ses défauts et même ses qualités. Quant au casting, il est d’une qualité exceptionnelle, chacun y tient une place primordiale, Sandra Hüller est bien sûr absolument bluffante, mais le jeune Milo Machado Graner est tout aussi incroyable et j’ai beaucoup apprécié le rôle de Swann Arlaud.

En bref : Un film d’une efficacité redoutable, bien plus que l’enquête scientifique à laquelle nous pourrions prétendre, c’est celle plus psychologique d’un couple au cœur de la tourmente dont nous serons témoins, une relation mise au microscope, décortiquer de la plus chirurgicale des manières, ce n’est pas la vérité que l’on cherche, c’est comprendre comment tout cela a pu arriver, la façon dont cette histoire d’amour si forte, a pu se déliter, jusqu’à en arriver à ce point de non-retour !

Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/09/21/anatomie-dune-chute/

Afficher en entier
Commentaire ajouté par EMIlou 2023-11-04T00:28:34+01:00
Diamant

Un film très prenant qui m’a énormément plu !

Les prises sont percutantes, le jeu des acteurs splendides… et le sujet est traité avec beaucoup de justesse.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Cellophane 2024-01-30T13:57:07+01:00
Bronze

Je suis clairement allé voir la Palme d’Or, sans réfléchir, sans savoir de quoi ça parlait ni avoir lu le résumé – au point d’avoir été surpris du sujet dans un premier temps…

Bon, après Sans Filtre et divers Goncourt, je me disais que je mettais la barre trop haut pour ce genre de prix.

Ça se confirme ici…

C’est pas mal en soi, j’ai pas vu le temps passer, c’est très bien joué, très bien filmé (j’ai adoré le premier passage de Daniel à la barre, filmé de son point de vue et sans qu’on voit qui parle, pour nous mettre dans son champ de vision)…

Le gamin est très bon…

Mais c’est la mode ; j’ai vu 20 000 espèces d’abeilles un peu avant et la gamine est tout aussi excellente.

Donc très bien fait.

Mais le côté froid de la femme, de l’ensemble, ne m’a pas permis de m’attacher aux personnages…

Et le manque d’enjeux rapproche le film d’un documentaire qu’il n’est pas… Si c’est pour faire un doc, j’ai largement préféré un Coupable Idéal ; si c’est pour faire un film, j’ai largement plus kiffé 12 Hommes en Colère ou Sleepers, qui ont de la forme en plus du fond…

Bref, oui, c’est bien fait, mais j’ai vu mieux…

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode