Eh, la bombasse, tu veux t'amuser ? On y va, toi et moi !

-Vous avez vu ?
-Oui.
-Eh bah, c'était rien.

T'aime pas jouer avec le feu ? Pourtant, t'as l'air d'une chaudasse.

-On en est là : un piège ringard et une blague loudingue ?
-Mon coeur, t'as trouvé le titre de mon auto-biographie.

On est comme ça les p'tits génies. On assure toujours nos arrières.

Harley : Admet-le, t'as besoin de moi. On est lié, Tony.
Tony : J'ai surtout besoin que tu retourne auprès de ta mère, que tu ne parles à personne, que tu surveilles l'armure et que tu restes à côté du téléphone au cas où je t'appelle. D'accord ? T'as imprimé ? Aurevoir. Bouge de là où j'vais t'écraser. Salut p'tit... Ah, j'oubliais, t'as fait fort.
Harley : Mais tu t'en vas et tu m'abandonne comme mon père.
Tony : Oui. [pause] T'essairais pas de me culpabiliser ?
Harley [miséreux]: J'ai froid.
Tony [moqueur]: ça, je l'sais. Tu sais comment je le sais ? Je le sais parce qu'on est lié !

Ni votre armée, ni votre berger allemand patriot ne vous sauveront.

Tony : T'as déjà eu une fille à califourchon sur toi qui se met à s'illuminer de l'interrieur comme un fruit incandescend ?
Rody : Oui, à chaque fois. Je parle à qui ?

Tony : Harley, fais-moi un rapport. Dis-moi ce qui se passe.
Harley : Bah, là, je mange des bonbons. Alors, tu veux que... tu veux que je continu ?
Tony : A combien t'en est ?
Harley : Deux ou trois bols.
Tony : Tu vois toujours clairs ?
Harley : Oui, j'crois.
Tony : Tu vas très bien.

-Jarvis, comment tu vas ?
-Bien monsieur, je tiens quelque temps. Même si il m'arrive de terminer mes phrases par la mauvaise myrtilles.

Le mandarin [en prenant une voix grave] : Prêt pour une autre leçon ? Bla bla bla

Vous vouliez aider les autres. Regardez où vous en êtes.

Kilian : Eh bien disons que j'ai songé à prendre comme un raccourcis jusqu'en bas. Si vous voyez ce que je veux dire.
Tony : J'essaie encore de comprendre pourquoi la première souris n'a pas eu le fromage.

Tony : Tu casse, tu paye !
Un sbire : J'l'ai cassé. Pas d'bol !
Tony : C'était pas à moi, ça appartenait à la sœur de mon pote et c'est la raison pour laquelle je vais te tuer d'abord.

Rody : Vous crachez du feu. Super.

Sincèrement, j'en peux plus de cette boite. Ils sont tous tarés.

Plus qu'un gros singe à attraper !

-Cher Jarvis, je crois que l'heure a sonné.
-Pour le protocole "fête à domicile", monsieur ?

Tony à Rody : Tu les vois ?

Rody : Je serais prêt à tuer pour une armure.

Jarvis : A vos ordres monsieur.

NE T'AVISE PLUS JAMAIS DE FAIRE CA !

Et oui, c'est bien moi !

-T'es d'la bombe !
-Ouah, de la bombe ? C'est vrai, j'm'éclate.

Ce n'est pas à moi de dire que le monde connait sa plus longue période de paix uniquement grâce à moi.
Ce n'est pas à moi de dire que renaître des cendres de la captivité m'a permit d'incarner le plus merveilleux comics de l'histoire de l'humanité.
Ce n'est pas à moi de dire que l'Oncle Sam peut se la jouer pénard dans un transat en buvant un thé glacé parce que je n'ai encore croisé personne qui ait suffisamment de tripes pour un corps à corps avec moi sur mon propre terrain.
Je vous en prie, il ne s'agit pas de moi.

-Qu'est-ce que vous avez là ?
-Une sitation à comparaître.
-Aïe !