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Jonathan Trager, éminent réalisateur à la chaîne des sports ESPN est décédé hier soir, terrassé par la perte de son âme sœur et de sa fiancée. Il avait 35 ans. Cet homme à la voix douce et à la nature obsessionnelle n'a jamais eu le physique du romantique désespéré mais dans les derniers jours de sa vie il dévoila une facette inconnue de son psychisme. Cette personnalité cachée quasi jungienne s'est manifestée à l'occasion d'une enquête digne d'Agatha Christie, sur la piste de son âme sœur longtemps présumée. Une jeune femme avec qui il n'avait passé que quelques heures inoubliables. Hélas son inlassable quête s'est achevée dans la nuit de samedi sur un échec total et absolu. Pourtant même devant ce fiasco indiscutable, le courageux Trager, restait secrètement convaincu que la vie n'est pas qu'une suite de coïncidences ou de hasards fortuits. Oh non ! C'est plutôt un entrelacs d’événements qui mène à un dénouement magnifique et sublime. Interrogé sur la disparition de son meilleur ami, Dikansky, lauréat du prix Pulitzer et rédacteur en chef du New-York Times, parle d'un homme métamorphosé dans les derniers jours de sa vie. Les choses étaient plus claires pour lui. Jonathan était arrivé à la conclusion que si nous voulons vivre en harmonie avec l'univers nous devons tous avoir une foi inébranlable en ce que les anciens nommaient Fatum: le destin.
" God... if there is a God... if you're a man or a woman... if you're listening, I'd really, really like a family. My dad says that will only happen if the Angels win the pennant. The baseball team, I mean. So, maybe you can help them win a little. Amen. Oh, A-woman, too. "
" Mais pourquoi est-ce qu'ils ne voulaient plus de moi ? " - " Parce que ... parce qu'ils sont stupides ! Les gens qui t'ont laissé étaient les gens les plus stupides de tout l'univers. Stupides au point de ne pas voir à quel point tu es formidable. J'ignore comment ils ont fait pour ne pas s'en rendre compte. Comment ne pas voir ton grand cœur ? Je suis pas si intelligent que ça et je l'ai vu tout de suite ! C'était tellement évident ! C'est vrai t'es sûrement l'enfant le plus facile à aimer. En tout cas à mes yeux. Tu sais ce que je crois ? Je crois que tu m'aimes toi aussi. Je crois que t'es rempli à rabord. Et qu'un jour tout cet amour va sortir d'un coup. Denis, tu es mon fils, tu es mon grand espoir, pour toujours. Et je te jure, de ne jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais t'abandonner ! "
" Il y a toujours un moment vous savez ... ce moment de profond bouleversement dans la vie qui nous envoie au tapis et nous rappelle où se trouve l'essentiel. Mais ce qu'il y à c'est que ces moments qui vont et viennent et bien parfois ils arrivent trop tard "