Commentaires sur ses livres

C'est juste complètement.. cute.

Le scénario est pas ultra poussé, mais les personnages sont tellement attachant, le design de totoro et surtout du chabus sont super inspiré.
Les éléments dramatique sont traité avec une certaines légèreté sans pour autant être niais.

La phrase d'intro de pwachevski résume plutôt bien au final : c'est le film le plus mignon du monde !

Le premier Miyazaki que j'ai regardé, celui qui m'a emporté dans l'univers de ce maître du genre.
La cité de Laputa est magnifique et je ne me lasse jamais de revoir ce film.

Ce nouveau film de Miyazaki a été une jolie surprise ; je pensais comme beaucoup que Le vent se lève serait sa dernière œuvre.

Grand bien lui fasse, il a finalement remis le couvert avec ce film poétique et étrange, que j'ai perçu comme le cousin japonais de Alice au pays des merveilles. On y retrouve en effet le topos des enfants passant dans un autre monde étrange et inquiétant, où ils évoluent jusqu'à en ressortir grandis.

Des thèmes comme la maternité, l'accouchement ou le deuil guident nos pas auprès du hero principal (une originalité pour un réalisateur qui préfère les héroïnes !). Je l'ai vu en VF, ce que je ne vous conseille pas si vous n'avez pas d'enfants avec vous, étant donné les étranges choix de doublages effectués.

Certains passages du Garçon et le héron sont surprenants- surtout dans la première partie. Mais ce film possède également de très bonnes trouvailles (les perruches !) et reste à la fois touchant et merveilleusement bien animé.

Un film dense dans ce qu'il évoque et sa façon d'évoquer ces thèmes. Ce film ne perd pas son temps à expliquer clairement ce qu'il se passe, on suit l'histoire et c'est à nous de comprendre - ou pas - ce qu'on voit. L'univers développé ici est assez dense, délirant, avec ses propre règles, mais honnêtement, pas incompréhensible si on suit attentivement le film.
On est plongé dans cet autre monde exactement comme Mahito (le personnage principal) et on doit en comprendre les mécaniques et règles comme lui et sans longues explications comme lui. C'est très bien réalisé.

Je l'ai visionné au moins quatre fois, et je dois dire qu'il est superbe !

C'est le premier Myazaki que je regarde et même si je ne suis pas du tout fan de dessins animés, j'ai plutôt bien aimé.
C'est effectivement très mignon, il s'adresse tout autant aux adultes avec une tendresse et une poésie palpable. Les images sont très belles. Et le regarder en version originale a ajouté un charme incroyable, vraiment, à ce film.
Je suis agréablement surprise !

Une histoire très particulière. A la fois futuriste par la cause qu'elle défend (environnementale) et en même temps un petit arrière-goût de.. pas médiéval mais presque, au travers de l'ambiance et des personnages (pourtant il y a aussi des vaisseaux !). Il faut aimer ce mélange très particulier et comprendre aussi le pourquoi du comment (pourquoi la pollution, comment Nausicaa influt-elle dessus) et aller jusqu'à la fin du générique pour voir qu'il y a eu un résultat à tout ceci.
Finalement c'est assez perturbant, mais toujours superbement maîtrisé.

Je suis immédiatement tombé sous le charme de ce dessin-animé rafraîchissant et poétique qui raconte l'initiation d'un jeune sorcière dans une ville qu'elle ne connaît. C'est un dessin-animé qui fait rêver.

Un retour aux bases du studio Ghibli. J'ai retrouvé la touche d'étrange qui me plaisait tant dans ces studios et que je retrouvais dans Chihiro ou encore le château ambulant!!

Franchement, je le recommande chaudement.

Triste de se dire que c'est le dernier Film de Miazaki ! Magnifique même si je n'ai pas totalement tout compris dans le masseage que laisse le film.

Je n'ai pas tout compris... Enfin il y a quand-même une histoire et une morale mais beaucoup de choses de sont pas expliquées. Pas trop pour moi.

Je suis sortie de la séance perplexe. C’était vraiment le sentiment qui dominait chez moi tant je ne savais pas quoi penser de ce que je venais de voir. Quelque temps plus tard, je peux dire que j’ai été déçue.
Le Garçon et le héron, c’était un des films que j’attendais le plus parce que, comme énormément de gens, j’aime beaucoup le studio Ghibli et j’ai toujours envie de découvrir/revoir les œuvres de Miyazaki. Il y a des films de lui que j’adore absolument (Princesse Mononoké en tête, Nausicaa, Chihiro…), d’autres qui ne m’ont pas convaincue (Le Château dans le ciel, Porco Rosso, Le Vent se lève…), alors je partais plutôt confiante pour Le Garçon et le héron même si je n’avais aucune idée de ce qu’allait être le film (je ne me suis spoilé qu’une affiche, c’est pour dire). Très vite, on comprend que ça va être un voyage initiatique et ce bien différent de Chihiro, ce qui est une très bonne chose, mais, comme les trois quarts des spectateurs je pense, la seconde moitié du film m’a perdue.
La première partie,

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jusqu’à ce que Mahito parte avec le héron voir le « forgeron », est géniale et magnifique, j’ai adoré : c’est lent, ça laisse à l’histoire le temps de poser ses fondements et de se dérouler tranquillement, avec le Japon en guerre en toile de fond. Mahito m’a immédiatement fait penser à Ashitaka, alors forcément, je l’ai tout de suite bien aimé et j’ai eu de l’empathie pour lui : le film s’ouvre sur

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l’incendie de l’hôpital où se trouve sa mère, ce qui en fait une scène très forte et marquante, ponctuée par une très belle animation d’une superbe fluidité. Cependant, pour revenir sur l’animation, j’ai été déçue de ce côté-là parce que j’avais imaginé qu’on aurait droit à une animation, comment dire, évoluée, tout en gardant l’ADN de Miyazaki/Ghibli. Là, je n’ai vu aucune évolution notable alors qu’on est en 2023 : on reste sur les bases, qui sont de très bonnes bases, mais on ne voit rien de nouveau,

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sauf peut-être les scènes de l’incendie, où il y a une explosion de l’animation. Hormis ces scènes, on ne sort pas des sentiers battus, et si on ne connaissait pas la date de sortie du film, on aurait pu aisément croire qu’il date de l’époque de Mononoké. Ce n’est pas un défaut en soi que je pointe, simplement une donnée qui aurait pu apporter autre chose, quelque chose d’innovant. Je comprends parfaitement que Miyazaki n’ait pas cherché à adapter son animation, mais ça aurait vraiment pu ajouter une autre dimension à son film à ce niveau-là. Est-ce que c’est dommage ? Je ne sais pas, en tout cas, ça reste très joli à regarder, mais il n’y a rien de transcendant, et les décors sont également jolis, mais j’aurais aimé qu’ils soient encore plus travaillés. Ah, et la musique est splendide.
Bref, pour revenir au scénario, la première partie est limpide, clairement définie, et on la suit avec intérêt pour ma part. Je me répète, mais il y a vraiment des scènes que j’ai trouvé marquantes, à la fois dérangeantes et belles, qui instaurent une ambiance unique, comme effectivement

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l’incendie au tout début du film, quand le héron prend la première fois la parole, quand Mahito est recouvert de crapauds, quand Mahito se frappe le crâne à l’aide d’une pierre, quand la maman de Mahito sur le canapé dans la tour fond et se transforme en eau/matière visqueuse, vraiment, c’était un réel plaisir de la regarder, que ce soit du point de vue de l’histoire ou du visuel. Mais une fois dans le monde d’en bas, je vais l’appeler comme ça, commence un étrange voyage qui a un but,

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retrouver Natsuko, jusque-là, tout va bien, mais ensuite, on se perd dans un délire presque mystique

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avec le « grand maître », le monde qu’il a créé, le roi perruche…
Personnellement, c’est ce que je disais au début, en sortant de la séance, je n’ai rien compris. Pour moi, la seule métaphore compréhensible, que j’ai perçue, c’est celle

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du deuil. J’ai lu des explications sur Internet qui disent que ce serait une métaphore du studio Ghibli, qui cherche un successeur à Miyazaki, du process artistique de Miyazaki, sa manière de faire de l’art, de le créer

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(comme Natsuko qui va accoucher d’un enfant, lui, il accouche de l’art, en gros), et donc qu’il y a une très grande part autobiographique dans ce film, mais ça ne m’a pas du tout parlé. Pour moi, j’ai juste vu quelque chose de décousu, un autre monde dont on tarde à comprendre sa nature, et encore, on ne sait pas si on a bien compris les tenants et aboutissants à la fin avec les explications, des personnages qui sont introduits sans qu’on sache ce qu’ils viennent faire là

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(le roi perruche en première ligne, mais Himi et le grand maître ne sont pas mieux), et un dilemme dont on ne comprend pas la finalité.

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Le grand maître veut que Mahito devienne son successeur, et Mahito a la présence d’esprit de refuser. OK, et alors ? Est-ce que ça nous émeut ? Est-ce que ça provoque une quelconque réaction si ce n’est de l’étonnement ? En tout cas, j’y ai été hermétique. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir ouvert mes chakras et d’avoir cherché à comprendre pendant tout le film ce que je regardais

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(peut-être que j’ai échappé au pire, parce que rappelez-vous : « Ceux qui cherchent à comprendre périront »). De manière totalement surprenante et sûrement erronée, j’ai eu la mauvaise impression d’être passée du visionnage d’un Miyazaki à celui d’un Terrence Malik. Par ailleurs, il y a beaucoup de scènes/clins d’œil qui rappellent les autres films du réalisateur

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(les petites créatures blanches ressemblent aux esprits de la forêt dans Mononoké, une des mamies ressemble à Yubaba dans Chihiro, la scène où l’escalier s’effondre m’a fait penser à Chihiro, et on pourrait continuer longtemps comme ça). C’est à la fois rigolo et en même temps, ça fait très « je recycle mes propres films ». Je ne crois pas du tout que ce soit la volonté du réalisateur, mais peut-être que c’est quand même un poil exagéré.
En somme, je ne suis pas certaine que ce film soit à destination d’un public d’enfants (à moins que les enfants aient d’autres chakras qui leur permettent de mieux comprendre les choses, c'est possible), et je pense qu’il faut connaître un minimum l’histoire de Miyazaki et du studio pour bien appréhender le film, ses niveaux de lectures et ses références. Et c’est là que ça me pose problème : on perd le côté universel que j’attends d’un Miyazaki, où tout le monde peut s’y retrouver d’une manière ou d’une autre. Après tout, pourquoi pas, mais je trouve ça très dommage. La qualité est indéniable, mais le fond ne m’a pas convaincue.
PS : le film s’appelle Le Garçon et le héron en français, et c’est une traduction bien loin du titre original japonais que je ne cautionne absolument pas,

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parce qu’il laisse à penser que la relation Mahito/le héron est le cœur du film, alors que pas du tout, même si tout commence avec le héron qui parle à Mahito. Et donc ça m’a biaisée et j’ai aussi été déçue par cet aspect, car je m’attendais à suivre tout le long une certaine dynamique, mais ça n’a pas été le cas.

L'animation est belle et maîtrisée, et la musique du film est très belle, mais en dehors de ça je n'ai pas bien suivi l'histoire... Je pense que c'est très imagé et je n'ai pas les références requises pour tout comprendre, ce serait intéressant d'avoir une petite explication de fond ! Le héron m'a mise mal à l'aise, mais on retrouve bien la patte du studio Ghibli dans ce film !

Je dois réfléchir à mon opinion. J'ai pas compris je crois 😵‍💫.
A voir plusieurs fois il me semble, avec explications 😂

Rythme lent, scénario difficile à suivre, héro peu attachant, un peu trop perché pour moi... Sans doute des références qui m'échappent aussi. Bref je me suis endormi malgrès de belles annimations (Hayao Miyazaki style) et une belle musique.