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Déjà je trouve dommage le fait que le film soit principalement porté par le jeu des acteurs et non par le scénario, ensuite je ne suis pas du tout fan de la caméra portée qui donne un effet saccadé et amateur, mais c'est un goût personnel. Ensuite je n'aime pas du tout ce genre de décors "cheap", enfin les seules scnènes dont j'ai apprécié le décors sont celles dans le théâtre et celles dans l'hôtel de Minskov.
Il y a tout de même une chose que j'ai apprécié, c'est le jeu des langues avec Miao Lin, c'est quelque chose que je trouve assez plaisant, et qu'on retrouve bien sûr de façon beaucoup plus marquée dans Dheepan.
Je vais beaucoup étudié ce film en classe pour le bac, et peut être que cette étude va me faire changer d'avis, mais pour l'instant je ne suis pas du tout convaincue... En attente également de voir le prémake.
De battre mon cœur s'est arrêté
De Rouille et d'Os
Les Frères Sisters
Celui-ci, si j y retrouve la noirceur mêlée d espoir, les gens qui tentent de s en sortir dans leur environnement, n est pas mon préféré.
Je l ai trouvé plus dur que d autre, majoritairement parce que les deux comédiens principaux, par leur rôle, sont plus renfermés, moins communicatifs, et j ai eu plus de mal à avoir de l empathie pour eux
L ensemble reste bien sûr excellent ! Audiard est un somptueux réalisateur qui nous embarque dans son montage et ses images ; les comédiens sont impeccables ; l histoire est prenante
Bref, réussi.
De Rouille et d'Os
Les Frères Sisters
Les Frères Sisters
De Rouille et d'Os
L'espace de 2 heures, on rejoint l'épopée de ces 4 héros ordinaires dans le grand ouest américain. On ne sait pas d'où ils viennent, on ne sait pas où ils vont, mais après tout, est ce que ce n'est pas aussi ça la beauté de ce film ? :)
Les Frères Sisters
Sur mes lèvres
Voilà un film français, qui a tout des grands américains, un western dans la plus pure tradition, plus vrai que nature, qui a su préserver l’identité forte de ce genre si typique, pour en faire un magnifique classique. Grande fan depuis longtemps, je peux dire qu’il fait partie des plus beaux que j’ai pu voir, de ceux qui parviennent à se démarquer, parce qu’il cache finalement beaucoup plus, une profondeur assez exceptionnelle. Alors que le contexte est évidemment propre à ce style de film, la ruée vers l’or, les hors-la-loi et les chasseurs de prime qui vont avec, il sera vecteur de quelque chose de beaucoup plus grand. C’est le portrait d’une histoire de frères absolument sublime, de celle qui vous emmène plus loin que ce vous vouliez, pour le protéger, pour oublier un passé trop douloureux et un présent qui n’est pas celui rêvé. Une relation très forte, qui s’est construite sur un drame, faite de ressentis, de non-dits, qui vous rongent, mais qui n’effacent pourtant pas l’amour qui vous soude. C’est le témoignage d’un certain idéalisme, d’une société violente, capitaliste, où il devient difficile de survivre, où un certain besoin de liberté, de renouveau se fait fortement sentir. Jacques Audiard a fait un travail extraordinaire, des vues typiques du Far West, dans tes tons orangés et rouges littéralement époustouflantes, pour nous livrer des paysages bluffants. Très peu d’effets spéciaux sont utilisés, histoire de coller au mieux au naturel de l’époque, en revanche, il faut tout de même souligner la violence inhérente à ce milieu. Je ne vous cache pas que certaines scènes sont particulièrement sanglantes, âmes sensibles s’abstenir, ça peut effectivement être assez choquant. En ce qui concerne le scénario, il est très bien ficelé, il y a une certaine lenteur dans l’intrigue, mais elle est voulue, elle est étudiée, elle est agréable et surtout, elle est absolument parfaite lorsqu’il s’agit de mettre en place ces événements. Pour autant, le rythme maintenu est captivant, on ne s’ennuie pas une seconde, fasciné par les quelques scènes d’action, par les dialogues d’excellentes qualités et par cette ambiance bien particulière, délicieusement sombre. Émotionnellement, là aussi c’est une véritable claque, cette histoire saura vous prendre aux tripes, vous faire réfléchir sur la notion de famille, de sacrifice, c’est bouleversant et d’une tendresse certaine. Quant au casting, il est extraordinaire, le duo Joaquin Phoenix/John C. Reilly est tout simplement hallucinant et Jake Gyllenhaal est l’incarnation parfaite de son personnage.
En bref : Bien plus qu’un simple western, c’est le témoignage d’une époque, d’un idéalisme paradoxal à ce contexte pourtant si violent et qui nous livrera une magnifique histoire !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2018/10/25/les-freres-sisters/
Les Frères Sisters
Si la relation des deux frères ne m'a pas toujours particulièrement touchée (en tous cas pas avant le dernier quart du film), j'ai beaucoup aimé la relation entre Hermann Warm et John Morris, qui m'ont beaucoup ému. Le casting était vraiment parfait, chacun des acteurs dégageait vraiment une essence propre de leur personnage, c'était très beau à voir.
En bref, j'ai beaucoup aimé!
Les Frères Sisters
En revanche le film est bien réalisé, la musique est super, les acteurs sont très talentueux, les plans sont extrêmement beaux et on ne s'ennuie pas du tout !
Les Frères Sisters
J’avais lu quelques chapitres du bouquin, je savais à quoi m’attendre et, disons-le, j’y allais pour Audiard dont j’ai aimé plusieurs films.
J’ai mis longtemps à entrer dedans parce que dans ses autres films, j’étais happé. Il y avait une ambiance lourde, forte, et dans chacun, on s’inquiète pour les personnages en se disant qu’à tout moment il peut leur arriver quelque chose.
Là, je n’ai jamais été inquiet un instant pour les frères Sisters. Je n’ai pas été happé par une ambiance forte.
J’ai regardé l’histoire défiler, les personnages s’animer, comme j’aurais regardé par la fenêtre ce qui se passait dehors.
Je suis rentré dans l’histoire un peu après le milieu mais même là, j’ai trouvé ça intéressant, pas hypnotisant.
Paraît qu’Audiard s’est laissé convaincre, ne voulant pas faire de western au départ. Je n’ai pas le sentiment qu’il était pleinement convaincu…
Les Frères Sisters
On retiendra quelques plan marquant et surtout une excellente performance des acteurs, ce casting prestigieux s'en sort à merveille.
Deuxième gros Western de cette année avec Hostiles, je trouve intéressant la manière que les deux films ont de traité la figure du cowboy, a mille lieu de la figure bad-ass et testostéroné qu'on peut se faire. Dans ces deux films on suit des personnages empli de doute, de failles, de défauts, et pas moindre. Grande prestation de Joachim Phoenix et John C. Reilly qui excellent à faire transparaitre la fragilité de ces deux frères pourtant As de la gâchette.
Les Frères Sisters
Si durant 1h45 il doit se passer un an, que l’on suit avec intérêt, qui se développe tranquillement, les deux dernières minutes doivent faire bien plus d’un an et ressemblent à un coup de baguette magique, à un autre film, à une séquence « flûte, on s’est trompé, je sais pas qui l’a mise là, c’était pour Dhepan 2 »…
Parce que tout le reste est excellent et c’est bien dommage qu’on reste sur une mauvaise impression.
L’introduction est très belle malgré sa dureté, l’arrivée en France, la difficulté d’intégration, l’apprentissage de la langue, l’insertion dans l’immeuble, la relation entre le couple et la fille…
Tout est très réussi, avec pas mal de finesse.
Mais si l’intégration m’a fait penser à « La Tête Haute », si l’histoire entre l’homme et la femme m’a fait penser à « Le Mal de Pierre », si ce final m’a rappelé « A History of Violence », ces trois films se concentraient sur UNE trame.
Là, on en a trois et c’est presque trop…
L’intégration, vivre ensemble alors qu’on ne se connaît pas, ça aurait suffi, sans que ce film glisse lentement dans une surréaliste bagarre…
Et ç’aurait été excellent sans cette fin qui apporte mille fois plus de questions que de satisfactions.
Bien, mais.
Dheepan