Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré
sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités
pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous
limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez
également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du
cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités
spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le
bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers
cinématographique.
Son premier film fut un documentaire sur le cirque : Jolly, clown da circo (1923), puis il réalisa l'un des derniers Maciste muets et une œuvre exaltant la présence italienne en Libye, Kiff Tebbi. Il s'affirmera dans des comédies sentimentales, mais point dénuées d'humour et de distanciation. De ce point de vue, il est considéré par les historiens du cinéma, comme le meilleur représentant - avec Alessandro Blasetti - du cinéma italien de l'ère mussolinienne1.
En soi, le film est bon, il est même assez bon. Le truc, c'est qu'il commence à dater un peu alors autant l'histoire reste particulièrement intéressante, autant le film peut-être d'une qualité moindre comparer à ce à quoi on est habitué maintenant.
Biographie
Son premier film fut un documentaire sur le cirque : Jolly, clown da circo (1923), puis il réalisa l'un des derniers Maciste muets et une œuvre exaltant la présence italienne en Libye, Kiff Tebbi. Il s'affirmera dans des comédies sentimentales, mais point dénuées d'humour et de distanciation. De ce point de vue, il est considéré par les historiens du cinéma, comme le meilleur représentant - avec Alessandro Blasetti - du cinéma italien de l'ère mussolinienne1.
Afficher en entier