Ridley Scott
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Note moyenne : 7.47/10Nombre d'évaluations : 2 640
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Les derniers commentaires sur ses films

Plus de deux décennies après la sortie de Gladiator, le film culte de Ridley Scott, les fans attendaient avec impatience Gladiator II. Annoncé comme un hommage à l’original et une exploration de nouveaux récits, cette suite devait relever le défi colossal de succéder à une œuvre qui a marqué l’histoire du cinéma. Mais Gladiator II tient-il ses promesses ?
Le film reprend des années après la mort de Maximus (Russell Crowe), en centrant l’histoire sur Lucius (Paul Mescal), le neveu de Commode. Désormais adulte, Lucius lutte pour trouver sa place dans un empire en pleine déliquescence. Entre intrigues politiques, soif de vengeance, et une quête personnelle de rédemption, le scénario cherche à capturer la grandeur épique de son prédécesseur.
Cependant, malgré son ambition, le récit peine à atteindre la profondeur émotionnelle du premier opus. Certains choix narratifs, notamment des flashbacks sur Maximus ou l’insertion d’éléments surnaturels divisent.
Bien que ces moments soient visuellement impressionnants, ils manquent parfois de subtilité et s’éloignent de l’intensité tragique qui faisait la force de Gladiator.
Ce qui est indéniable, c’est que Ridley Scott n’a rien perdu de sa maîtrise visuelle. Les décors sont somptueux, les scènes de bataille chorégraphiées avec une précision saisissante, et la reconstitution de la Rome antique éblouit par son souci du détail (malgré quelques anachronismes qui piquent mon purisme d'historien). La caméra plonge le spectateur au cœur de l’arène, mêlant tension viscérale et spectacle grandiose.
La bande originale, signée Hans Zimmer et complétée par des touches modernes de Lorne Balfe, rend hommage aux sonorités mythiques du premier film tout en ajoutant une intensité renouvelée.
Paul Mescal offre une performance sincère et nuancée en Lucius, capturant avec brio les dilemmes moraux et la vulnérabilité de son personnage. Pedro Pascal, dans le rôle d’un général rebelle, apporte une énergie captivante et vole presque la vedette dans plusieurs scènes.
Cependant, certains personnages secondaires manquent de profondeur, laissant un sentiment d’inachevé. Denzel Washington, bien qu’impressionnant dans son rôle de mentor énigmatique, semble parfois sous-exploité et cabotine, tandis que l’antagoniste principal, interprété par Barry Keoghan, manque du charisme écrasant de Commode (Joaquin Phoenix).
Le principal problème de Gladiator II réside dans son incapacité à se libérer de l’ombre écrasante de son prédécesseur. Là où Gladiator brillait par sa simplicité narrative et son intensité émotionnelle, cette suite s’alourdit d’intrigues complexes et de thématiques qui ne sont pas toujours exploitées avec efficacité.
Pourtant, il serait injuste de qualifier Gladiator II d’échec total. Le film offre des moments mémorables, un spectacle visuel à couper le souffle, et une réflexion intéressante sur l’héritage et la résilience. Mais il lui manque cette étincelle indéfinissable qui avait fait de Gladiator une œuvre intemporelle.
Gladiator II est une fresque ambitieuse qui séduira les amateurs d’épopées historiques et de scènes d’action grandioses. Mais pour les fans de la première heure, il risque de laisser un goût d’inachevé, comme une bataille dont l’issue aurait pu être plus glorieuse.
Un retour honorable mais qui ne parvient pas à égaler la grandeur du passé.
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Une bonne suite à ce film culte. L'histoire est très bien menée avec des personnages forts et bien construits, les images sont certes très agressives mais bien choisies et apportent de la profondeur à l'histoire.
Ce deuxième opus permet de comprendre les tenants et aboutissants de la politique de l'empire romain, et du début de sa chute.
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Un super film que je voulais voir ! La sortie du 2 m’a donc poussé à la voir et ce film est magnifique ! Peut-être pas historiquement exacte mais l’intrigue et les musiques rendent celui-ci incroyable!
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Blade Runner est un classique de la SF, je suis content de l'avoir vu, c'est définitivement un bon film. Je ne l'ai pas adoré, mais je ne l'ai clairement pas détesté, ce qui n'est pas mauvais en soi. Ça reste quand même un film par lequel je conseille de passer pour tous les nouveaux dans le monde merveilleux de la Science-Fiction !
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Un second volet incroyable. Le casting est surprenant, porté par un Paul Mescal vraiment bluffant. Les visuels, le son, les costumes sont absolument incroyable. La politique est une des parties les plus importantes de la Rome Antique et j'ai trouvé que la réalisation lui rendait bien hommage. Néanmoins, malgré les qualités du film, j'ai trouvé que le scénario ressemblait un peu trop à celui du premier volet. Avec un tel potentiel, il est réellement dommage de lésiner les moyens et de ne pas prendre de risque.
Le film reste très bon, malgré les défauts et je suis déçue qu'il soit si peut apprécier.
Vu en VO
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J'ai beaucoup aimé Seul sur Mars ! Ce film m'a marqué parce qu'il a été mon premier film de science-fiction qui ne se base pas sur un monde rempli d'aliens et de vaisseaux.
Ce genre de SF se rapproche plus de films comme Gravity, mais il est clairement plus facile à digérer !
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autant dire que j'ai adoré ce film ! Je suis meme tombé raide dingue de l'empereur Geta allez savoir pourquoi ! J'ai même replongé dans l'étude de l'antiquité romaine pour en savoir plus sur cette période qui me fascine. Beaucoup d'action dans ce film et de suspens, la musique vraiment parfaite pour mettre dans l'ambiance, un sans faute pour moi
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S'intercale après les évènements de Prometheus et avant Alien premier du nom.
Ce film fait une bonne transition entre les 2, j'ai beaucoup aimé le film, bien plus que son prédécesseur qui était très long
Ici tout s'enchaîne bien, rapidement, du suspens (même si rien de nouveau, ça reste du Alien) et de l'action, les images et les musiques au top
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Découverte assez récente de ce pilier du cinéma j'ai adoré. Je n'ai pas vu le temps passer en le regardant.
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Ridley Scott a été un peu paresseux sur ce coup là et il fait dans la facilité scénaristique, un opposant à l'Empire Romain capturé comme esclave puis qui devient LE gladiateur adulé de tous, ça ne vous rappelle pas quelque chose ??? Là ou le premier film était poétique, ici c'est plutôt force brute, sang et sueur ! Les combats dans l'arène s'enchainent peut être pour masquer un scenario un peu faiblard, de plus je n'ai pas été convaincu plus que cela par le personnage de Lucius qui apparait comme le héros parfait, il est beau, fort, invincible et il combat des gladiateurs et des animaux féroces en s'en sortant tout juste avec une petite écorchure au bras plus proche d'un bobo de cours de récré que d'un combat sanguinaire dans le colisée de Rome, même la VF ne colle pas à son personnage, on dirait plutôt la voix de Rambo 😂
Coté émotion ce n'est pas mieux, les retrouvailles entre la mère et le fils sont un peu légères et ne m'ont pas émues plus que cela, le personnage du général Acacius interprété par Pedro Pascal est intéressant mais n'a pas été exploité à fond, dommage ! Et je ne parle pas des deux empereurs jumeaux qui m'ont irrités pendant une bonne partie du film et qui sont complétement cinglés 🙄
Je passerai vite fait sur les inégalités historiques, comme le pouce en l'air pour la vie ou la mort qui n'a jamais été prouvé historiquement.
Alors pourquoi me direz vous, après toutes ces critiques l'avoir mis en or ??? Parce que visuellement on va pas se cacher c'est quand même bien foutu ! Les décors et les effets spéciaux sont très beaux, et côté spectacle Ridley Scott réussi son pari de nous en mettre plein la vue ! Même si j'aurais aimé en voir un peu plus du combat naval dans l'arène c'est pas tous les jours qu'on voit ça, ça change des tigres et des lions hihihi ^^
En ce qui concerne les acteurs(trices) ils sont tous très bons dans leur rôle et même si son personnage est un peu cliché, Paul Mescal s'en sort très bien, rien à redire également à Denzel Washington qui est toujours aussi excellent Spoiler(cliquez pour révéler)même si son personnage au final cache plutôt bien son jeu
Côté musique à part le magnifique "Now we are free" entendu à la fin et qui est un clin d'oeil au premier film, je n'ai pas retenue grand chose ^^
Au final même si le côté spectaculaire est totalement réussi, je n'ai pas retrouvé toutes les émotions que j'ai pu ressentir en regardant le premier long métrage avec Russell Crowe. Ce deuxième "Gladiator" est très beau visuellement parlant mais si on enlève tout ça, le scénario reste quand même assez bancal au final. Contrairement à d'autres films que j'adore, ici je ne suis pas forcément prête à le revoir encore et encore sans finir par me lasser, dommage !
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Dédicaces de Ridley Scott
et autres évènements
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Studios
Scott Free Productions : 3 films
Twentieth Century Fox : 2 films
Twentieth Century Fox Film Corporation : 2 films
Brandywine Productions : 2 films
United International Pictures (UIP) : 2 films
TriStar Pictures, Scott Free Productions, Imperative Entertainment : 1 film
Twentieth Century Fox France : 1 film
20th Century Fox : 1 film
Biographie
Sir Ridley Scott, né le 30 novembre 1937 à South Shields, près de Durham, Grande-Bretagne, est un réalisateur et producteur britannique. Il est le frère aîné du réalisateur Tony Scott (1944-2012) avec qui il a fondé la société de production Scott Free Productions en 1995.
Passionné de dessin, il étudie entre 1954 et 1958 au West Hartlepool College of Arts où il est diplômé en design. Puis il entre au Royal College of Art à Londres. Il réalise sa première œuvre cinématographique sous la forme du court métrage Boy and Bicycle. Après un bref séjour aux États-Unis, il est engagé par la BBC où il exerce les fonctions de chef-opérateur, de chef-décorateur puis de réalisateur. Il met alors en images quelques épisodes de séries britanniques populaires comme The Informer et Z-Car.
Scott a quitté la BBC en 1968 et a fondé une maison de production appelée Ridley Scott Associates, en partenariat avec Sir Alan Parker, Hugh Hudson, Hugh Johnson et avec pour employé Tony Scott, son frère. Il fait ses armes sur des publicités pour la télévision britannique dans les années 1970 — notamment la campagne de 1974 pour Hovis, Bike Round for Hovis1 (avec, comme musique, la symphonie no 9 d'Anton Dvorak), qui a été tournée à Shaftesbury, dans le Dorset. Ridley Scott a également réalisé des publicités en dehors du Royaume-Uni, comme entre autres la publicité française pour l'eau minérale Quézac.
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