David Yates
Réalisateur
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Note moyenne : 8.34/10Nombre d'évaluations : 5 020
1 Citations 1 429 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films

J'ai vu ce film il y as longtemps, alors malheureusement, je ne m'en souviens plus temps que ça...Mais je sais qu'il est incroyable!
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Y'a rien à dire sur ce film, mis-à-part qu'il est INCROYABLE!
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C'est clairement dommage qu'il ont changer d'acteur. Depp était si stylé dans les autres films. Mais sinon, il est incroyable.
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Ce film est le plus triste de tous. Spoiler(cliquez pour révéler)La mort de Sirius ma tellement attristé c'est grave dommage de l'avoir fait mourir, mais cela rend le film plus intéressant. Je n'aime vraiment pas Dolores Ombrage. C'est un horrible personnage et c'est petite manies m'agace !
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McGonagall : Pourquoi, quand il arrive quelque chose, faut-il que ce soit toujours vous trois ?
Ron : Croyez-moi, Professeur, je me pose la même question depuis six ans.
J'ai tellement rigoler dans ce film à chaque petite phrase du genre ! J'ai adoré !
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Se n'est pas mon film préférer de la saga, mais l'histoire est très cool, les images sont tellement bien réalisé.
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Je n'ai rien d'autre à ajouté mise à part le fait qu'il est génial et très touchant, que les images sont parfaite et l'histoire de même.
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Le film est pas mal, l'intrigue intéressante, mais il manque terriblement d'action. Les scènes sont longues et manquent de panache. On ne retrouve pas la même énergie que dans les volets précédents, c'est dommage... Les acteurs sont pourtant bons, mais ils ne font malheureusement pas tout.
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Un film effrayant de réalisme !
Ces dernières années, nous avons pu voir, nombre de films ou même de séries, dénonçant les méthodes de l’industrie pharmaceutique, d’autant plus depuis la crise majeure des opioïdes qui touche les États-Unis et qui ne cesse de faire des victimes, plongeant des villes entières dans le chaos le plus total, dans lesquelles il n’est presque plus possible de vivre en sécurité. Ce métrage, c’est l’exemple typique de la façon dont tout a commencé, un médicament révolutionnaire, un anti-douleur puissant, qui a pour vocation exclusive, de lutter contre les souffrances extrêmes liées aux cancers, uniquement dans ces cas précis, il faut bien le préciser, en cela, oui, ils sont utiles, oui, il est important de pouvoir supporter l’insupportable. Mais c’est lorsque l’on commence à dépasser ce cadre, à le prescrire à tour de bras, pour n’importe quel petit bobo, outrepassant les règles établies de l’autorité de la médecine, c’est par ces comportements, que l’on crée la dépendance, que l’on pousse des milliers de personnes dans les bras de l’addiction, tout ça pour quoi, le profit tout simplement, gagner toujours plus. Nous serons les témoins impuissants des rouages de cette industrie, qui avait peut-être de bonnes intentions au départ, mais dont l’argent a gangrené peu à peu la morale, parce que lorsque des sommes exorbitantes tombent sur votre compte en banque, il est difficile d’ignorer la facilité avec laquelle vous les avez obtenues, au risque de perdre toute humanité. La réalisation de David Yates est absolument percutante, il met en lumière cet univers fait de contrastes, le milieu extrêmement froid de la médecine, plus particulièrement celle liée à la douleur, qui vient se mêler au faste, à la fête, à cet argent sali par les magouilles, c’est extrêmement saisissant de réalisme. Visuellement, bien que très simple, c’est la brutalité de l’univers qui fait toute sa force, parfois très crû, tout ce dont nous sommes témoins est pourtant riche de vérités, ce commerce de la souffrance nous saute littéralement au visage, nous frappe par sa violence et par le manque d’humanité qui peut en ressortir. En ce qui concerne le scénario, il est parfaitement écrit, tiré d’une histoire vraie, il retranscrit à merveille la montée en puissance de cette industrie, les rouages, les manipulations, qui l’ont entraînée toujours plus loin, dépassant leurs propres limites, jusqu’à ce qu’il soit trop tard, qu’il n’y ait plus aucun retour possible et que les victimes soient innombrables. C’est le récit d’un destin qui a fait la différence, que l’on peut aisément comprendre, parce que l’argent, c’est le nerf de la guerre et que lorsque quelqu’un dépend de vous, on peut être prêt à tout, mais difficile de faire machine arrière lorsque l’on se rend compte que tout dérape, pourtant, certains ont eu le courage d’agir, malgré les risques. Quant au casting, il est incroyable, le duo Emily Blunt/Chris Evans est d’une efficacité redoutable et on peut noter la présence extrêmement charismatique d’Andy Garcia.
En bref : Un film terrifiant de réalisme sur les rouages de l’industrie pharmaceutique, sur leurs méthodes de ventes, sur leurs manipulations, leurs magouilles, disons-le clairement, ce qui était un médicament miracle, essentiel pour certains, va devenir la pire des drogues, conduisant à une crise des opioïdes sans précédent, parce que c’était facile, parce que l’argent coulait à flot et que l’humanité qui aurait dû être leur fil conducteur, s’est vue annihiler, simplement pour le profit de quelques-uns !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/11/07/marchands-de-douleur/
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Liza Drake, strip teaseuse, accepte un job dans une start up pour élever sa fille et la soigner. Mais il s'avére que cette boite n'aura pas la destinée attendu...
La crise des opioïdes aux US a longtemps fait parler et le fait encore. Ici, on va parler de la commercialisation du Lonafen, produit censé en remplacer un autre, en étant plus efficace mais aussi addictif. Des informations que les études taieront. Le résultat, ce sera des gens qui vont se faire des millions, et d'autres qui vont mourir. Marchands de douleur est une triste histoire passé sous le vernis d'un film de braquage, qui commence par nous présenter son héroïne comme une femme sans foi ni loi avant de la changer parceque ça l'arrange bien. Comme bien des oeuvres de Yates, les idées sont là mais le résultat n'est pas aussi bon qu'attendu à cause de cet équilibre jamais vraiment trouvé. Reste que ça se regarde et que c'est instructif !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de David Yates
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Warner Bros. Pictures : 7 films
Warner Bros. : 2 films
Warner Bros : 1 film
Metropolitan FilmExport : 1 film
Biographie
David Yates suit des cours à la National Film and Television School de Beaconsfield et débute sa carrière de réalisateur en 1988 avec le court métrage When I Was a Girl. Dès lors, le réalisateur enchaîne les courts métrages et les téléfilms pour la BBC : Oranges and Lemons, The Weaver's Wife, Good Looks ... En 1995, il fait ses débuts dans la réalisation de séries télévisées avec The Bill et Tale of Three Seaside Towns. Ce n'est que trois ans plus tard, que David Yates réalise son premier long métrage, The Tichborne claimant, inspiré d'un fait réel, la disparition de Lord Tichborne, neuvième aristocrate le plus riche de l'Angleterre au XIXe siècle.
En 2000, la BBC lui confie la réalisation de plusieurs séries télévisées à succès telles que The Sins, avec Pete Postlethwaite, The Way We Live Now avec David Suchet, Miranda Otto et Cillian Murphy, ou encore State of Play - Jeux de pouvoir, avec Bill Nighy et Kelly MacDonald. Une série qui remporte un vif succès et vaut plus de 14 récompenses à ses auteurs et acteurs, dont un Bafta pour la meilleure série dramatique décerné en 2004 à David Yates.
Fier de son succès le réalisateur britannique retourne à la réalisation de long métrage télévisé avec Sex Traffic , un drame sur le business du sexe en Europe et en Amérique, qui remporte 18 récompenses. En 2005, David Yates poursuit sur sa lancée avec le film politique The Girl in the cafe où il retrouve Bill Nighy. Long métrage qui vaut au metteur en scène l'Emmy award du meilleur réalisateur pour un téléfilm dramatique.
Un téléfilm de prestige donc qui poussera Warner Bros. à proposer à ce réalisateur, connu en Angleterre mais inconnu du reste du monde, de réaliser le cinquième opus des aventures du plus célèbre sorcier : Harry Potter et l'Ordre du Phénix. David Yates succède ainsi à Chris Columbus, Alfonso Cuaron et Mike Newell, et apporte sa touche personnelle aux aventures du jeune sorcier, s'arrêtant sur la psychologie et sur l'aspect émotionnel des personnages. Il continue par la suite sur cette lancée et réalise les trois derniers volets de la saga, Harry Potter et le Prince de sang mêlé, Harry Potter et les reliques de la mort - partie 1 et Harry Potter et les reliques de la mort - partie 2.
(Allociné)
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