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Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d'esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l'être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d'un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés "hors la loi". Quatre d'entre eux parviennent cependant à s'échapper et à s'introduire dans Los Angeles. Un agent d'une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer. Selon la terminologie officielle, on ne parle pas d'exécution, mais de retrait...
Roy Batty : J'ai vu tant de choses que vous, humains, ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. J'ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l'ombre de la porte de Tannhäuser. Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.
Désagréable impression d'avoir regardé un chef d'oeuvre sans avoir su l’apprécier.
L'univers est incroyablement bien réussi, un des univers de sf les plus réussi que j'ai jamais vu, le questionnement est un des, si ce n'est le questionnement le plus récurent de la sf a savoir ce qui fait notre humanité, et sa remise en cause, et c'est parfaitement traité.
Mais, c'est lent, c'est terriblement lent, et a moins de rentrer totalement dans le film c'est super long. Et c'est vraiment le seul problème que je peux vraiment reproché au film, mais ça m'a totalement coupé l'immersion. De plus malgré cette lenteur le film est complexe et demande une bonne concentration pour comprendre, ce qui n'est pas forcément un défaut, mais si on loupe un petit élément c'en est finit.
Je finirai en disant que je suis déçu du monologue dont j'avais tant entendu qu'il était légendaire, je m'attendais peut être a trop, mais j'ai pas trouvé ça si mémorable.
Un film culte que je suis bien contente d'avoir visionné. L'univers dystopique, noir, de science fiction est très bien ficellé, le tout avec l'excellente musique de Vangelis qui nous plonge dans l'ambiance. Je crois que le film aborde des thèmes intéressants; quelle est la conception de la moralité? qu'est-ce qui nous distingue comme être humain vraiment? Bref, beaucoup à réfléchir et de symbolismes que je pourrais analyser. J'ai passé un bon moment sans nécessairement que ce soit le film auquel j'ai le plus accroché, mais je reconnais ses mérites.
Une œuvre qu'il faut avoir la curiosité de regarder, avec un scénario travaillé, un univers graphique immersif mais qui souffre un petit peu de sa lenteur, pas vraiment nécessaire d'ailleurs. Je suis habitué aux films longs, aux films qui prennent leur temps pour développer l'histoire ou ses personnages mais là, je ne vois pas l'intérêt de ralentir autant l'intrigue... sauf si c'est la version Director's cut qui est comme ça.
Donc, un univers intéressant, des personnages intrigants, notamment Sebastian et Roy et une fin mémorable et ouverte qui déconcerte et laisse de quoi réfléchir.
Un film réputé, mais auquel je n'ai pas du tout réussi à accrocher. En particulier faute de l'esthétique très sombre, belle mais qui ne m'a pas spécialement plu. Je ne suis pas très fan d'Harrison Ford, jeune, que je ne trouve pas très crédible dans son rôle. Si je laisse mon ressentit de côté, le film dans l'ensemble est bon et les thématiques abordés sont intéressantes, et questionnent sur l'humanité.
Pour la musique, je l'ai trouvé assez agaçante, notamment les saxophones.
En bref, pour moi c'est une déception... mais je vais tenter 2049.
Très drôle de voir comme ils s'imaginaient 2019 dans les années 80'
Mais pour ces quelques détails, le film n'est pas très intéressant. Il pose la question de la limite de l'humain, de l'intelligence artificielle mais comme d'autres films. Il est long et pas vraiment bien.
C'est drôle de voir qu'ils s'imaginaient des voitures volantes (alors qu'on en est loin) et que par contre leur ordinateur reste énorme alors que là, la technologie a évolué de ouf !
Il y a de bonnes idées, mais je n'en garderai pas un grand souvenir.
Je trouve l'idée des Replicant (le personnage de Roy m'a bien plu) et le "contexte historique" du film très bon, mais après ça, je suis un peu déçue de ce qui en a été fait.
Premièrement, je n'aime pas Harrison Ford. C'est comme ça, mais j'étais prête à l'ignorer si il ne jouait pas aussi... moyennement.
Son personnage n'est guerre mieux : Spoiler(cliquez pour révéler)je sais que c'est l'époque qui veut ça, mais sa pseudo romance avec Rachael nous ressort une nouvelle fois la même soupe de "l'homme viril et disposant de la connaissance qui initie l'innocente femme inconsciente de sa condition, qui va tomber folle amoureuse de lui en moins de 24h alors qu'il la plaque contre un mur pour l'embrasser sans qu'elle n'ait rien demandé"... Mais attention, il n'est pas violent -et qu'est-ce que le consentement, au fond?-, il est "viril" !
Passé cet agacement, la musique ne m'a pas non plus impressionné (et pitié, ces saxophones...), et bien que la fin me sois parue assez poétique, j'ai été un poil déçue de la conclusion avec les Replicant.
Peut-être que je ne suis simplement pas le type de public visé...
C'est dommage, parce que Blade Runner commençait vraiment bien, et jetait les bases d'un univers que je trouve très intéressant. De plus, il pose les questions de ce qui est humain, de l'intelligence artificielle, de l'esclavage, de l'obsolescence programmée... Ce qui m'a plu dans le film.
Les scènes chez Sebastian sont aussi très réussies au niveau du décor et de l'ambiance ; et la confrontation entre Roy et Deckard était vraiment fantastique.
Donc, fondamentalement, les deux éléments qui m'ont gâché le film sont la musique et la partie romance.
J'avais très envie de voir ce film après avoir visionné Ghost in the shell ; c'est un classique qui a lancé toute l'inspiration d'un genre !
Mais j'ai eu l'impression d'être passée à côté de quelque chose. Je n'ai peut-être pas été dans les meilleurs conditions du monde lors du visionnage, mais je n'ai pas du tout accroché à l'ensemble. Je le reverrais dans quelques années pour tenter à nouveau l'expérience...
- 5 ans plus tard -
J'ai eu l'occasion de revoir ce film lors d’une rediffusion au cinéma ; il s'agissait sans doute des meilleurs conditions pour re-découvrir ce monument de la science fiction. Blade Runner ne passera cependant dans ma bibliothèque que de la catégorie "je n'ai pas aimé" à "vu aussi".
Blade Runner est visuellement magnifique. Les représentations de cette ville futuriste en disgrace sont saisissantes et très bien accompagnées par une bande-son de qualité. L'étrange sensation d'assister à la fin d'une ère est prégnante.
Direction des acteurs, choix de mise en scène... La façon dont les répliquants sont représentés m'empêche toutefois de ressentir la moindre empathie envers eux - ce qui nuit fortement aux propos même du film...
Je crois pouvoir conclure cette fois que Blade Runner n'est pas vraiment pour moi !
Synopsis
Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d'esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l'être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d'un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés "hors la loi". Quatre d'entre eux parviennent cependant à s'échapper et à s'introduire dans Los Angeles. Un agent d'une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer. Selon la terminologie officielle, on ne parle pas d'exécution, mais de retrait...
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