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Des années après avoir assisté à la mort du héros vénéré Maximus aux mains de son oncle, Lucius est forcé d'entrer dans le Colisée lorsque son pays est conquis par les empereurs tyranniques qui gouvernent désormais Rome d'une main de fer. La rage au cœur et l'avenir de l'Empire en jeu, Lucius doit se tourner vers son passé pour trouver la force et l'honneur de rendre la gloire de Rome à son peuple.
Une bonne suite à ce film culte. L'histoire est très bien menée avec des personnages forts et bien construits, les images sont certes très agressives mais bien choisies et apportent de la profondeur à l'histoire.
Ce deuxième opus permet de comprendre les tenants et aboutissants de la politique de l'empire romain, et du début de sa chute.
Plus de deux décennies après la sortie de Gladiator, le film culte de Ridley Scott, les fans attendaient avec impatience Gladiator II. Annoncé comme un hommage à l’original et une exploration de nouveaux récits, cette suite devait relever le défi colossal de succéder à une œuvre qui a marqué l’histoire du cinéma. Mais Gladiator II tient-il ses promesses ?
Le film reprend des années après la mort de Maximus (Russell Crowe), en centrant l’histoire sur Lucius (Paul Mescal), le neveu de Commode. Désormais adulte, Lucius lutte pour trouver sa place dans un empire en pleine déliquescence. Entre intrigues politiques, soif de vengeance, et une quête personnelle de rédemption, le scénario cherche à capturer la grandeur épique de son prédécesseur.
Cependant, malgré son ambition, le récit peine à atteindre la profondeur émotionnelle du premier opus. Certains choix narratifs, notamment des flashbacks sur Maximus ou l’insertion d’éléments surnaturels divisent.
Bien que ces moments soient visuellement impressionnants, ils manquent parfois de subtilité et s’éloignent de l’intensité tragique qui faisait la force de Gladiator.
Ce qui est indéniable, c’est que Ridley Scott n’a rien perdu de sa maîtrise visuelle. Les décors sont somptueux, les scènes de bataille chorégraphiées avec une précision saisissante, et la reconstitution de la Rome antique éblouit par son souci du détail (malgré quelques anachronismes qui piquent mon purisme d'historien). La caméra plonge le spectateur au cœur de l’arène, mêlant tension viscérale et spectacle grandiose.
La bande originale, signée Hans Zimmer et complétée par des touches modernes de Lorne Balfe, rend hommage aux sonorités mythiques du premier film tout en ajoutant une intensité renouvelée.
Paul Mescal offre une performance sincère et nuancée en Lucius, capturant avec brio les dilemmes moraux et la vulnérabilité de son personnage. Pedro Pascal, dans le rôle d’un général rebelle, apporte une énergie captivante et vole presque la vedette dans plusieurs scènes.
Cependant, certains personnages secondaires manquent de profondeur, laissant un sentiment d’inachevé. Denzel Washington, bien qu’impressionnant dans son rôle de mentor énigmatique, semble parfois sous-exploité et cabotine, tandis que l’antagoniste principal, interprété par Barry Keoghan, manque du charisme écrasant de Commode (Joaquin Phoenix).
Le principal problème de Gladiator II réside dans son incapacité à se libérer de l’ombre écrasante de son prédécesseur. Là où Gladiator brillait par sa simplicité narrative et son intensité émotionnelle, cette suite s’alourdit d’intrigues complexes et de thématiques qui ne sont pas toujours exploitées avec efficacité.
Pourtant, il serait injuste de qualifier Gladiator II d’échec total. Le film offre des moments mémorables, un spectacle visuel à couper le souffle, et une réflexion intéressante sur l’héritage et la résilience. Mais il lui manque cette étincelle indéfinissable qui avait fait de Gladiator une œuvre intemporelle.
Gladiator II est une fresque ambitieuse qui séduira les amateurs d’épopées historiques et de scènes d’action grandioses. Mais pour les fans de la première heure, il risque de laisser un goût d’inachevé, comme une bataille dont l’issue aurait pu être plus glorieuse.
Un retour honorable mais qui ne parvient pas à égaler la grandeur du passé.
Tres bon film mais malheureusement qui n’égalera jamais le 1er les décors et costumes sont incroyable ! La scène du rhinocéros mouai bof j’aurais préférer ne pas l’avoir. L’acheminement et le clap de fin sont bof Denzel dans la peau de macrinus au premier abord mais pas mal son ascension à la vite au pouvoir m’ont laisser deg le combat final et bâclé c’est dommage mais ça reste un très bon film ****
A oublier, je regrette d'avoir perdu mon temps et mon argent pour cet opus indigne du premier... un scénario creux, des personnages binaires sans charisme qui débitent des dialogues vides, des anachronismes, de la merde quoi comme est capable d'en produire Hollywood, ici on frôle le pire, alors qu'on a eu le meilleur avec Russel Crowe.
Passez votre chemin, entre les anachronismes, l'absence et vacuité des dialogues et du scénario, restez sur l'excellence du premier opus. Ce fut même explicite, quelques relents nauséabonds de Make Roma Great Again ! si vous voyez ce que je veux dire...
Si vous voulez voir des gens se foutre dessus pendant plusieurs heures, vous allez adorer. Au-delà de ça, je n’ai pas été emballée. La fin était plutôt chouette mais loin d’être surprenante. Un tapis se déroule devant vos yeux sans étonnement.
J'ai passé un très bon moment devant ce second opus de Gladiator !
Paul Mescal incarne avec force le personnage principal, Henno. J'ai été sensible à son écriture ; ici, il n'est pas question d'un héros courageux et empli d'espoir, contrairement au premier film. Nous sommes face à un homme enragé, implacable mais conscient de n'être que l'instrument du destin. Pour ne rien gâcher, le personnage de Pedro Pascal était aussi bien écrit.
J'ai eu l'impression que ce film était pensé comme une tragédie grecque. C'est tout à fait ce que je recherche dans un péplum.
Rajoutez à cela de beaux décors et des batailles grandioses - comme la bataille de Numibie et la reconstitution de la bataille troyenne dans le Colisée.
Synopsis
Des années après avoir assisté à la mort du héros vénéré Maximus aux mains de son oncle, Lucius est forcé d'entrer dans le Colisée lorsque son pays est conquis par les empereurs tyranniques qui gouvernent désormais Rome d'une main de fer. La rage au cœur et l'avenir de l'Empire en jeu, Lucius doit se tourner vers son passé pour trouver la force et l'honneur de rendre la gloire de Rome à son peuple.
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