Anthony Mann
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.76/10Nombre d'évaluations : 46
0 Citations 15 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
On peux dire que c'est un bon vieux western en noir et blanc, il à gardé tout son charme et peux vous faire passer un bon moment. Bien sur il faudra prendre du pop-corn ou un hot-dog pour être un peu plus Américain.
Afficher en entierOn l'a regardé en classe de français. Le prof a dit qu'on pouvait faire ce que l'on voulait, sauf parler. J'ai pas trop aimé car c'est vieux, la qualité etait pourrie. Mais il peut être bien si on le regarde chez soi en bonne qualité.
Afficher en entierUn honnête western des années 50, avec son bon vieux lot de clichés. Pour les fans du genre, sinon passez votre chemin.
Afficher en entierBon, c’est un western.
Alors pas vraiment d’attaque d’indien (même si on en a une), de vol de banque (même si on vole des vivres qu’on a acheté) ou de bandes de méchants (même si une se créee).
Mais on a quand même nos histoires habituelles… Ici, c’est un convoi de chariot et tout ce qui peut arriver de difficultés à avancer, de roue cassée et de type super balèze qui répand la justice à lui tout seul…
C’est pas que ça soit mauvais, hein…
Les comédiens sont bons (James Stewart n’est même pas celui que je préfère alors que c’est lui le plus aimé des américains tellement il est bien mais j’y arrive pas).
Le scénariste semble un spécialiste du genre, documenté pour être crédible et c’est vrai qu’on est dedans et qu’on y croit…
Mais au final, on a la même chose que dans l’imagerie globale des westerns qu’on peut avoir…
Afficher en entierLe scénario semble bien vieillot avec ses histoires d’amour contrariés et désormais peu crédibles. Mais il faut surtout voir ce film comme un paragraphe de l’histoire du cinéma avec son acteur mythique et son réalisateur non moins talentueux.
Afficher en entierCa fait longtemps que je l'ai vu.
Un bon film.
J'avais bien aimé l'histoire ainsi le scénario.
Bien réalisé.
Afficher en entierRomance Inachevée - Anthony Mann
J'adore la musique de Glenn Miller et je ne pouvais pas passé à côté de ce film. On y retrouve une belle histoire inspirée de sa vie, ponctuée des plus belles musiques qu'il a composé.
Ma musique préférée : A String of Pearls - 1941
Afficher en entierL'homme de L'ouest excellent western tout les talent du réalisateur Anthony Mann et le grand Gary Cooper et acteur et actrices un grand merci film a voir
Afficher en entierUn western qui a mal vieillit.
J.Stewart n’est carrément pas dans son meilleur rôle (il ne l’a jamais été dans un western à mon avis).
La prochaine fois, une fois de plus, je me souviendrais de l’avoir déjà au moment de la scène finale…
Afficher en entierRevu dernièrement. Ca n’a pas vieilli.
Même si le scénario est toujours sensiblement le même dans ce style.
G.Cooper et J.London jouent à la perfection.
Un bon vieux western qui se regarde avec plaisir… pour les amateurs du genre bien sûr.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Anthony Mann
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) : 4 films
Columbia Pictures Corporation : 2 films
Security Pictures : 2 films
Universal International Pictures (UI) : 2 films
Action Cinémas / Théâtre du Temple : 1 film
Benton Film Productions : 1 film
Samuel Bronston Productions : 1 film
Universal Pictures : 1 film
Biographie
Anthony Mann, de son vrai nom Emil Anton Bundmann, est un réalisateur et scénariste américain, né le 30 juin 1906 à San Diego (Californie) et mort le 29 avril 1967 à Berlin (Allemagne).
Né dans une famille d'origine autrichienne, Anthony Mann commence sa carrière, adolescent, comme acteur puis régisseur de théâtre. En 1934, il fonde Stock Company, une troupe de théâtre dans laquelle jouera notamment James Stewart.
En 1938, il est recruté par Selznick International Pictures pour superviser les essais d'acteurs sur des films comme Autant en emporte le vent ou Rebecca. Il devient ensuite assistant de Preston Sturges à Paramount Pictures, puis réalise son premier film, Dr. Broadway. Il va ensuite enchaîner des séries B, comédies et films noirs pour RKO Pictures et Universal. En 1947, il tourne Desperate, premier de ses films dont il aura écrit le scénario.
En 1950, il réalise son premier western, La Porte du diable. Il entérine les règles du genre aux côtés des John Ford, Howard Hawks, Henry Hathaway et tire lui aussi le meilleur parti du CinemaScope en filmant les grands espaces. Il inscrit ses westerns dans une vision classique, voire « sensationnaliste » du genre : avant tout, action, et romance en toile de fond. Mais l'importance de ses films s'appuie sur le fait que ses héros sont très souvent des personnages dont le passé trouble affleure, beaucoup plus ambigus que les archétypes universels de John Ford : c'est le cas de James Stewart dans Les Affameurs et de Gary Cooper dans L'Homme de l'Ouest. Ce sont des personnages complexes, en quête de rachat et de reconnaissance d'eux-mêmes. Ses films portent aussi sur les pionniers en tant que tels et leur ambiguïté, livrés à eux-mêmes face à la nature. La sauvagerie lancinante des personnages marque pour l'essentiel les westerns de Mann, aspect que Sam Peckinpah développera encore davantage. Elle est d'ailleurs admirablement incarnée par James Stewart qui tournera sous la direction de Mann dans huit films, dont six westerns.
Anthony Mann réalise en 1957 son premier film de guerre, Cote 465 (Men in War), où il reprend avec réussite les recettes qu'il a su si bien appliquer au western et au film noir.
Mann est engagé en 1959 comme réalisateur de la superproduction Spartacus avec une pléiade de stars de Hollywood. A la suite de désaccords avec l'acteur et producteur Kirk Douglas sur l'approche du film, le cinéaste est « remercié » par la société de production : Douglas, conscient que Mann ne maîtrise pas complètement son sujet et sa mise en scène, lui annonce au soir du 13 février 1959 qu'il ne fait pas l'affaire. Selon les dires de Douglas, il prend « philosophiquement » la chose1. Une version qui apparaît plus que probable puisque les deux hommes se retrouvent en 1965, cette fois sans encombres, pour le film Les Héros de Télémark, aventure historique tirée d'une histoire vraie pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est par ailleurs le dernier film que Mann dirige jusqu'au bout.
Malgré la déconvenue de Spartacus, le producteur Samuel Bronston lui confie au début des années 1960, deux grosses productions historiques : en 1962, il réalise Le Cid avec Charlton Heston et Sophia Loren, qui rencontre le succès public et critique.
Puis il signe en 1964 La Chute de l'empire romain, production ambitieuse mais qui se solde en revanche par un échec public et critique, scellant pour de longues années le sort des Péplums (genre cinématographique jadis populaire dans les années 1950 et qui ne retrouvera les faveurs du public qu'avec le succès de Gladiator en 2000).
En 1967, il meurt subitement pendant le tournage de Maldonne pour un espion, film qui sera achevé par l'acteur principal, Laurence Harvey.
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