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Éternel ado de presque trente ans, délaissé par son père affairiste et une mère absente, Brice s'est réfugié dans une posture, un "style" avec lesquels il exprime son être essentiel, son véritable vécu intrinsèque. Il est devenu un surfeur, winner, ascendant snowboarder.
Comme Bodhi, le personnage de Patrick Swayze dans Point break, Brice attend la vague, SA vague... à Nice !
Personne pourtant ne se risque à se moquer de Brice : redoutable bretteur du langage, Brice s'est fait une spécialité de "casser" tout et tout le monde par le truchement de ses réparties verbales. Car Brice de Nice le surfeur est également un grand casseur.
Il fallait bien qu'un jour Brice soit rattrapé par la réalité...
Ce film est tellement idiot, pour ne pas dire plus, qu'il en est hilarant. Jean Dujardin en surfeur niçois adepte des "Yellow Party" et du "Kass de Brice"... C'est vraiment à voir absolument pour rire en famille ou entre amis.
J’ai beaucoup hésité à le mettre en je n’ai pas aimé et s’il n’y est pas c’est parce qu’il y a effectivement quelques (très rare) moments vraiment drôles dedans. Mis à part ça, je n’ai aimé ni l’histoire, ni les acteurs, ni le scénario.
On dépasse le classique pour aller dans tous les clichés, le père riche qui fraye avec la mafia, le jeune riche obligé de travailler, le type qui se la pète et doit concourir contre d’autres surfer, la rencontre incongrue entre Brice et Cornillac pour une amitié hors norme…
Ça ressemble à une succession de sketchs sans intérêt, matinée de loufoquerie surréaliste (ok… les pieds qui ne sont qu’un gros orteil…), le tout s’enchaînant avec des logorrhées verbales qui se pensent drôles…
Le seul atout du film, c’est que les comédiens se donnent à fond. Pour tout le reste, ça marche pas.
On dépasse le classique pour aller dans tous les clichés, le père riche qui fraye avec la mafia, le jeune riche obligé de travailler, le type qui se la pète et doit concourir contre d’autres surfer, la rencontre incongrue entre Brice et Cornillac pour une amitié hors norme…
Ça ressemble à une succession de sketchs sans intérêt, matinée de loufoquerie surréaliste (ok… les pieds qui ne sont qu’un gros orteil…), le tout s’enchaînant avec des logorrhées verbales qui se pensent drôles…
Le seul atout du film, c’est que les comédiens se donnent à fond. Pour tout le reste, ça marche pas.
A l'époque des Nous ç nous, sur des sketches court, ça passait plutôt bien, même si ce n'était pas toujours foncièrement drôle mais sur une aussi longue durée, ça ne pouvait pas donner plus que ça.
Quelques répliques qui prêtent à sourire, un plaisir de retrouver la bande mais c'est bien tout ce que j'ai pu retirer de ce film.
Synopsis
Éternel ado de presque trente ans, délaissé par son père affairiste et une mère absente, Brice s'est réfugié dans une posture, un "style" avec lesquels il exprime son être essentiel, son véritable vécu intrinsèque. Il est devenu un surfeur, winner, ascendant snowboarder.
Comme Bodhi, le personnage de Patrick Swayze dans Point break, Brice attend la vague, SA vague... à Nice !
Personne pourtant ne se risque à se moquer de Brice : redoutable bretteur du langage, Brice s'est fait une spécialité de "casser" tout et tout le monde par le truchement de ses réparties verbales. Car Brice de Nice le surfeur est également un grand casseur.
Il fallait bien qu'un jour Brice soit rattrapé par la réalité...
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