Les répliques appréciées par melanie270503
- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...
Afficher en entier« Je ne connaîtrai pas la peur car la peur tue l’esprit.
La peur est la petite mort qui conduit à l’oblitération totale.
J’affronterai ma peur.
Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu’elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n’y aura plus rien.
Rien que moi. ».
Litanie contre la peur
Afficher en entierMon prédécesseur avait engagé un homme du nom de Charles Grady pour le gardiennage d'hiver. Il est arrivé ici avec sa femme et ses deux petites filles d'environ 8 ou 10 ans. Il était réputé compétent, avait de bonnes références et, à en croire les gens, il semblait être absolument normal et inoffensif, mais à un moment donné, au cours de l'hiver, il a dû être victime, le malheureux, d'une espèce de dépression nerveuse, il est devenu furieux. Il a tué sa famille avec une hache. Il a soigneusement éliminé les corps dans une des chambres de l'aile ouest. Puis il a placé le double canon de son fusil dans sa bouche. La police pensait qu'il s'agissait de ce que les vieux de la vieille appelaient "le mal des cachots", une forme de claustrophobie qui se manifeste quand les gens sont enfermés ensemble pendant trop longtemps.
Afficher en entier- Tony, tu crois que papa va être engagé ?
- C'est déjà fait. Il va téléphoner à Wendy dans quelques minutes pour lui dire.
Afficher en entier- Tony, pourquoi tu ne veux pas venir à l'hôtel ?
- Je sais pas.
- Si, tu le sais. Dis-le moi. Je t'en prie.
- Je veux pas te le dire.
Afficher en entierJ'ai rêvé que je vous tuais, toi et Danny. Mais je ne faisais pas que vous tuer. Je vous découpais en petits morceaux.
Afficher en entierEh bien ça tombe à pic, c'est exactement ce que je cherche en ce moment. J'ai un nouveau très gros roman en préparation et... cinq mois de tranquillité c'est tout ce que demande !
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