Erick Zonca
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.31/10Nombre d'évaluations : 16
0 Citations 8 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
C'est un film très rude mais extrêmement touchant. Les deux actrices principales sont formidables et on se sent proches d'elles, on suit leur évolution. Le film est vraiment réaliste, assez prenant, très juste et très beau.
Afficher en entierC'est sordide et rude, mais c'est plutôt réaliste. Le film est cru, intense mais laisse aussi place à un fond d'espoir bien caché et les deux comédiennes sont hallucinemment bonnes et crédibles !
Afficher en entierCe film est très spécial, je ne m'attendais pas à ça. Et cette fin! Woaw c'était vraiment inattendu!!
Ce qu'on aime :Cette amitié !!
Ce qu'on aime pas : Pour ma part, j'ai été assez déçu. Mais il reste bien.
Afficher en entierUn très bon jeu d'acteurs dans un film vraiment très sombre du début à la fin.
Afficher en entierVu hier au cinéma ... Je n'ai pas été déçu !
On se prend au jeu du début à la fin, l'ambiance est sombre, comme on l'aime dans les films noirs policiers. Le malaise est présent mais c'est agréable :) Et les surprises, retournement de situation de manque pas. A cela s'ajoute, beaucoup de psychologique, qui amène de la profondeur au film. Les têtes d'affiche sont parfaites dans leur rôle, mention spéciale à Romain Duris et Sandrine Kiberlain. Ca m'a donné envie de lire le livre et de découvrir le réalisateur Eric Zonka. A voir absolument !
Afficher en entierPrenant dès les premières scènes, ce film se suit comme on dévore un polar de roman de gare. On tourne les pages, le temps passe à toute allure, on oublie ce qu'il se passe autour de nous...Quel dommage que les interprètes composent des personnages aussi stéréotypés, poussant leur jeu jusqu'au grotesque.
Afficher en entierMouais… Alors qu’il y avait matière…
Cassel, Duris et dans une moindre mesure, Kiberlain et Bouchez dans des personnages différents de ce que je les vois faire d’habitude, c’est intéressant. C’est un peu outré mais puisque Colombo marchait, il n’y a pas de raison, c’est original, pourquoi pas.
L’enquête, ma foi, c’est une enquête, à tendance réaliste et classique, qui avance à coup de question et de soupçon…
Et puis il y a ces personnages qui flirte sur la frontière, Cassel cassé, de la relation avec son fils avec son alcoolisme, qui le pousse dans les bras de Sandrine, Duris, limite fou…
On se demande ce qui s’est passé, qui est le coupable…
Et puis en fait, ça ne prend pas.
Comme un mauvais Simenon écrit en deux jours, on ne s’écarte pas de la banalité. Les scènes se suivent, se ressemblent, se répètent, sans tension, sans relief…
On aurait pu avoir, jusqu’au final, un film glauque et sordide, à la Seven, comme Le « Département V », j’ai pensé à « Trois jours et une nuit » de Lemaire… Des histoires prenantes qui coupent le souffle.
Là, on n’a pas grand-chose – c’est satisfaisant mais trop anecdotique…
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Biographie
Issu d'une famille d'origine italienne, Erick Zonca a 17 ans lorsqu'il monte à Paris. Il espère devenir scénariste, mais ses projets n'aboutissent pas. Désireux de mieux comprendre le travail avec les comédiens, il s'inscrit au cours de Blanche Salant, influencé par la Méthode de Strasberg. Envisageant de devenir lui-même acteur aux Etats-Unis, il part ensuite à New York, où il passera trois années : petits boulots (plongeur, serveur), mariage avec une danseuse de la compagnie Cunningham... et découverte du cinéma européen. De retour à Paris, il enchaîne stages et emplois d'assistant à la télévision.
En 1992, Erick Zonca réalise son premier court métrage, Rives (présenté à Cannes dans la section Cinémas en France), bientôt suivi de Eternelles (Grand Prix à Clermont-Ferrand) et Seule (nommé au César). S'étant forgé une belle réputation grâce à ces trois courts, Zonca s'attelle à la réalisation de son premier long métrage, La Vie rêvée des anges, dans lequel il conte, de façon réaliste, mais avec humanité, la rencontre de deux jeunes paumées dans le Nord de la France. Sur la Croisette, où il a les honneurs de la compétition en 1998, ce film que personne n'attendait fait un tabac, et ses deux actrices, Elodie Bouchez et Natacha Régnier, se partagent le Prix d'interprétation féminine. Succès critique et public, ce coup d'essai remporte 3 César dont celui du Meilleur film.
Loin des terres lilloises, c'est à Marseille que Zonca part tourner Le Petit voleur, portrait d'un jeune apprenti (Nicolas Duvauchelle, alors inconnu) qui flirte avec la délinquance. Réalisé pour la série d'Arte Gauche/Droite, le film bénéficie d'une sortie en salles en 2000. Puis le cinéaste ne donne plus de nouvelles pendant plusieurs années, absorbé par la longue préparation (écriture du scénario, recherche de financements) de Julia, un long métrage tourné en anglais, entre Los Angeles et le Mexique. Tilda Swinton est l'héroïne flamboyante de ce film présenté en compétition à Berlin en 2008, une femme alcoolique et borderline qui kidnappe un enfant.
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