Claude Berri
Réalisateur
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Note moyenne : 7.07/10Nombre d'évaluations : 388
0 Citations 95 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Affligé par tout les commentaires de lycéens microcéphales et toutes autres sortes de sacripants, j'ai décidé de sauver ce film des griffes des critiques ignares pour lui rendre un petit honneur.
En grand seigneur, j'ai décidé de défendre le film des prolétaires.
J'ai décidé de rendre justice et justice sera faite. Il est grand temps de se révolter contre les quolibets lancés par tous ces avortons.
"Trop long, je ne comprends pas l'engouuuuuuuement,de base alorheeeein, trop sombre, détesté chaque seconde plus que la précédente".
J'ACCUSE le général Florence-6 de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes bévues du siècle.
J'ACCUSE le général galop 32 d'avoir indignement calomnié un film dont il (ou elle) n'a rien saisi et d'étaler vulgairement sa bêtise qu'il croit universelle.
J'ACCUSE les deux débutant(e)s en écriture nolwen03 et Jeanne 1410 d'avoir fait des rapports buboniques et pathétiques, à moins qu'un examen ne les déclare atteint d'une maladie de la raison.
Je finirai sur ces mots de mon cher Emile : " Quant aux gens que j'accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n'ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l'acte que j'accomplis ici n'est qu'un moyen révolutionnaire pour hâter l'explosion de la vérité et de la justice."
Afficher en entierLa rencontre improbable d'un jeune garçon juif et d'un vieil homme un brin antisémite par ignorance plus que par méchanceté, qui vont se découvrir et s'apprivoiser.
La rencontre aussi de deux acteurs, le jeune Alain Cohen et l'excellent Michel Simon, parfait dans ce rôle... C'est bien écrit, bien joué et Michel Simon est un régal à voir, même avec Luce Fabiole pour le seconder.
Un bon film de Claude Berri.
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé ce film, l'injustice de ce qu'ils font subir à ce nouveau venu est insoutenable, c'est une histoire bien triste... Qui me donne envie de lire le roman.
Afficher en entierLe film est très bon. Je ne sais pas à quel point il est fidèle au roman de Zola, que je n'ai pas encore lu, mais ce que je sais c'est qu'historiquement il se tient. Bien sûr Renaud est excellent en socialiste mais on n'en attendait pas tellement moins. Bon film, à voir.
Afficher en entierDu grand cinéma
Afficher en entierLa suite de Jean de Florette, et on peut dire que la fin du film nous laisse bouche bée... Quelle révélation ! Un très grand film !
Afficher en entierUn très bon film sur la résistance pendant la seconde guerre mondiale. J'ai trouvé intéressant d'avoir leur point de vue et leurs difficultés.
Afficher en entierJ'en gardais un excellent souvenir et dans l'ensemble, ça reste un très bon moment de cinéma parce que Berri est derrière la caméra et que Coluche est excellent dans ce rôle à contre-emploi de tout ce qu'il faisait.
Après, c'est une sacré descente dans ce côté sombre des nuits de l'époque, avec sa "faune" et ses trafics en tout genres, et cette station-service où Lambert va retrouver le temps d'une vengeance une raison de se battre.
C'est noir mais bien joué et bien réalisé.
Afficher en entierDans la famille films que j'ai vus un jour mais dont j'avais zéro souvenir, je demande Germinal. Faut dire que, comme beaucoup d'autres, l'avoir vu dans un cadre scolaire alors qu'on venait de se farcir péniblement le bouquin, ce n'était peut-être pas les meilleures conditions pour un coup de cœur cinématographique...
Depuis cette époque, je me suis réconciliée avec Zola, je n'ai probablement plus le même rapport au cinéma non plus, et l'envie de le revoir est apparue. Je ne suis pas mécontente de l'expérience, car cinématographiquement, le film est quand même assez remarquable. C'est une leçon de reconstruction, décors, costumes, photographie, nombre de figurants, rien n'est laissé au hasard. Le réalisme des lieux et des ambiances qu'on traverse sont sans trop de doute l'attrait principal de cette œuvre.
C’est certainement réussi aussi au niveau du scénario, qui reprend quand même assez bien l'intrigue du livre (du moins le souvenir que j'en ai). Mais personnellement ce n'est pas l'intrigue de Zola qui me parle le plus. Par conséquent, je suis plutôt restée en surface en termes d'émotion et de distraction. Pas mauvais, mais pas vraiment fait pour moi.
Afficher en entierUne très bonne adaptation du roman de Zola et une excellente réalisation de Claude Berri qui a su retranscrire avec simplicité et humanité cette vie de mineurs, ces familles et la misère qu'elles subissent.
Les acteurs et actrices font bien le taf, tout comme les figurants qui apportent une véracité appréciable dans ce milieu qu'ils connaissent bien et dont ils respectent la mémoire de ceux qui y ont travaillé.
Les personnages sont respectés, les lieux donnent clairement vie à l'histoire tout comme la photographie et les costumes.
Une évocation de la mine et des mineurs que je revois (ou relis) avec toujours autant de plaisir et comme l'a dit un jour Coluche: "Je remercie Claude Berri... comme tous le monde".
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Claude Berri
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Renn Productions : 8 films
AMLF : 3 films
Pathé : 3 films
Films A2 : 2 films
DD Productions : 2 films
Radiotelevisione Italiana (RAI) : 2 films
Pathé Renn Productions : 1 film
Télévision Suisse-Romande (TSR) : 1 film
Biographie
Issu d'une famille juive ashkénaze, Claude Langmann se destine à une carrière de fourreur, le métier de son père. Mais l'adolescent, qui se découvre une passion pour le théâtre, se tourne vers le monde du spectacle. Elève au cours Simon, il fait sa première apparition à l'écran dans Rue de l'Estrapade de Becker en 1953, et trouve quelques petits rôles au cinéma et sur les planches. Mais Claude Langmann -devenu Berri- tarde à devenir une vedette, et décide au début des années 60 de produire une pièce de théâtre de François Billetdoux, Le Comportement des époux Bradbury, qui se révèle un échec cuisant.
Après avoir travaillé avec Maurice Pialat -son futur beau-frère- sur le film Janine, Claude Berri réalise en 1962, à partir d'une histoire lue dans un journal, Le Poulet, court-métrage qui décroche un Oscar et un prix à Venise. Il devra toutefois attendre cinq ans pour tourner son premier long, Le Vieil homme et l'enfant avec Michel Simon. Succès public, ce film inaugure une série d'oeuvres autobiographiques, le plus souvent interprétées par le réalisateur, qui relate avec tendresse et humour différents épisodes de sa vie : son adolescence (La Première fois, 1976), ses relations avec son père (Le Cinema de papa, 1970), son service militaire (Le Pistonné, 1969), ou encore sa découverte de la libération sexuelle (Sex-shop, 1972). Désemparé après sa rupture avec Anne-Marie Rassam, sa première épouse, il livre avec Je vous aime (1980) une réflexion sur la vie conjugale.
C'est en finançant ses propres films que Claude Berri se lance dans l'activité de producteur avec sa société Renn, que Pathé prendra plus tard dans son giron. A partir de la fin des années 60, il finance de nombreux longs-métrages, en prenant soin d'alterner comédies populaires -il produit la plupart des films de Zidi-, cinéma d'auteur (L' Homme blessé, Trois places pour le 26) et projets hors-normes : Tess, de Polanski (1979), Valmont de Forman (1989), L' Ours et L' Amant d'Annaud. En tant que cinéaste, après quelques films contemporains -en particulier Tchao Pantin, avec Coluche à contre-emploi-, Berri puise dans le patrimoine littéraire et historique français et signe plusieurs oeuvres à gros budget qui font la part belle aux comédiens : le diptyque Jean de Florette-Manon des Sources en 1986, puis Uranus, Germinal et Lucie Aubrac. Acteur à l'occasion, il campe un exhibitionniste dans Stan the Flasher de Serge Gainsbourg.
A la fin des années 90, Claude Berri continue d'occuper une place centrale dans le paysage cinématographique : producteur des champions du box-office Les Trois frères, Astérix et Obélix contre César et -en association avec son fils Thomas Langmann- Mission Cléopâtre, il investit aussi dans des premiers films (Ma femme est une actrice, Didier) et des oeuvres saluées par la critique (Les Sentiments). Très affecté par le décès de son ex-femme Anne-Marie puis de son fils Julien Rassam, Claude Berri revient, comme réalisateur, à un cinéma plus personnel : après La Débandade (dans lequel on retrouve son personnage de Claude Langmann), il poursuit son exploration du couple, de la rencontre à la rupture, avec Une femme de ménage, adapté du roman de Christian Oster, puis L' Un reste, l'autre part, film aux accents autobiographiques qui mêle la comédie au drame. En 2003, cet amateur d'art contemporain et de photographie est élu président de la Cinémathèque. Après avoir réalisé Ensemble, c'est tout, d'après le best-seller d'Anna Gavalda, Claude Berri produit le césarisé La Graine et le mulet et Bienvenue chez les Ch'tis, le plus grand succès de l'histoire du cinéma français.
(Allociné).
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