Olivier Nakache
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 8.07/10Nombre d'évaluations : 1 472
0 Citations 492 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Très touchant ce film un bel hommage aux handicapés .
Afficher en entierC'est vraiment un film dont je ne me lasse pas, il est drôle, vivant , parfait pour se changer les idées
Afficher en entierUne bonne comédie qui exagère un peu les problèmes réels de colonie. Néanmoins, ancienne animatrice, je me suis retrouvée souvent dans les soucis et les bonheurs des camps de vacances !
Afficher en entierExcellent film avec des acteurs topissimes. A voir absolument 👍
Afficher en entierUn film plutôt marrant (Jonathan Cohen étant purement incroyable) mais c’est davantage une comédie romantique qu’un film qui prône réellement l’écologie. Tout est stéréotypé à l’extrême (les écolo minimalistes qui s’assoient par terre ; la harceleuse graveleuse…) pour l’humour mais j’ai trouvé ça dommage. Le message écologique en est parfois décrédibilisé au profit de l’histoire d’amour et pas toujours traité de façon optimale.
Afficher en entierUn film drôle mais aux sujets forts !
Voilà des sujets de fond qui ne prêtent pas à la comédie, surendettement, surconsommation, dérèglement climatique, un œil extrêmement réaliste sur les problèmes bien actuels de notre société, rien de très drôle donc, pourtant, je peux vous dire que l’humour sera bien au rendez-vous, tout en subtilité et en profondeur, mais ça fait mouche, à bon nombre de reprises. Néanmoins, le contexte est terriblement riche de vérités, il pointe du doigt les difficultés de beaucoup, le quotidien qui devient sans cesse plus difficile, les crédits que nous sommes parfois obligés de faire, la spirale infernale qui en découle, un chemin qui se prend aisément lorsque nous sommes pris à la gorge, parce qu’il est bien trop facile d’y souscrire, mais tellement plus difficile de s’en sortir, lorsque vous devez rembourser plus que ce que vous gagnez. Vient la honte d’en être arrivé à ce stade, le jugement incessant de ceux qui vous entourent, on se sent pointé du doigt, mais il ne faut pas oublier que personne n’est à l’abri de tomber dans cet engrenage sans fin, tout simplement parce qu’il est de plus en plus difficile de faire face à cette inflation généralisée, qui gangrène toujours plus les budgets, d’autant plus celui de ceux qui sont les plus pauvres. Alors, dans ce climat ô combien oppressant de réalité, on peut comprendre que la question climatique passe au second plan, parce que nos propres problèmes sont trop importants, pour penser à plus grande échelle et c’est justement ce contraste qui est parfaitement mis en avant ici, qui nous fait comprendre que finalement, tout est lié. On retrouve avec grand plaisir le duo Eric Toledano/Olivier Nakache, comme toujours, ils savent parler vrai, de sujets extrêmement forts, mais sans jamais tomber dans le pathos, oui, c’est parfois dramatique, mais ce n’est à aucun moment désespéré, ils savent montrer l’espoir, l’issue qui existe. Visuellement, alors que l’on aurait pu tomber dans quelque chose de très sombre, de très lourd, une certaine chape de plomb qui était à craindre, c’est finalement tout le contraire, beau, lumineux, plein de vie, une bonne humeur incroyable s’en dégage et ça fait simplement du bien d’en être pleinement imprégné. En ce qui concerne le scénario, bien qu’assez simple, l’intérêt ne réside clairement pas dans sa complexité, mais bien dans son humanité, dans les messages qu’il fait passer, il tient toute sa force dans son fond et pas dans sa forme, dans les relations qui se nouent, plutôt que dans une intrigue maîtrisée au cordeau. Et comme toujours, lorsque l’on parle de ce duo, il y a ce talent de faire rire, malgré les difficultés, malgré les problèmes qui nous paraissent insurmontables, parce que finalement, c’est ce qui nous permet de tout traverser, c’est ce qui nous maintient en vie et c’est ce qui ressort de ce récit bouleversant de justesse. Quant au casting, il est absolument parfait, Pio Marmaï, Jonathan Cohen, Noémie Merlant, c’est une véritable alchimie qui unit ce trio et on peut noter la présence extrêmement savoureuse de Mathieu Amalric.
En bref : Un film qui aborde des sujets forts, difficiles, des sujets qui font le quotidien de notre société, qui deviennent même une réalité plus prégnante d’années en années, des sujets qui ne prêtaient clairement pas à l’humour, pourtant, il est là, justement dosé, toujours subtil, il fait rire, autant qu’il vient alléger une atmosphère qui aurait aisément pu être trop anxiogène, pour nous faire partager un récit profondément touchant et simplement beau d’espoir !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/11/02/une-annee-difficile/
Afficher en entierFilm émouvant qui nous montre la véritable histoire de nos deux personnages mais je n'ai pas vraiment été transporté plus que ça.
Afficher en entierMon film préféré... Je le connais par coeur. Pas le gêne de film que vous voyez pour cogiter, mais plutôt pour passer un bon moment. Un très bon moment. J'adore.
Afficher en entierTrès beau film avec deux acteurs excellent et j'ai bien rigole malgré le thème arborde
Afficher en entierJe trouve le film assez sympathique.
Dans ses points positifs je dirai que la caméra est agréable avec de plutôt beaux plans de drones ou de voiture.
La BO est devenu culte avec le temps autant que certaines scènes ou répliques et même sans parler de ce critère le film trouve des thèmes musicaux très doux et touchants.
Les environnements sont là aussi très variés ce qui fait plaisir et offre un large panel de plan fabuleux.
Il y a de bonnes blagues et des moments de complicités qui font apparaître le sourire voir même des rires.
La prestation de François Cluzet est la meilleure que j’ai pu voir de lui. Il est tellement touchant et doux qu’on veut que tout le bonheur du monde lui arrive.
La fin est je trouve très émouvante et feel good <3
Je terminerai cette partie positive par le duo François-Omar qui est parfait : ils se complètent sur tout les points, ce qui offre un peu d’attache à cette histoire.
Malheureusement j’ai trouvé des défauts et je suis triste qu’il en aille car le film avait de l’ambition et de l’idée.
Le montage est trop rapide et le scénario est malheureusement pas si accrocheur que ça : on suit simplement un jeune de banlieue qui fait découvrir sa culture à un tétraplégique millionnaire et inversement. J’ai donc eu du mal à mettre plus que bronze car pour le film ne m’a pas marqué assez pour être dans la catégorie argent.
Les sous intrigues qu’ont chaque personnages sont réellement inutiles Spoiler(cliquez pour révéler)exemple avec les problèmes avec le frère de Driss, on t’en parle pour finalement jamais revenir dessus. Pareil pour la fille de Philippe qui un soir prend des médicaments pour essayer de se suicider, on en reparle plus jamais comme si c’était rien d’important… Le seul truc c’est qui se fout d’elle car elle fait ça car elle a un chagrin de cœur… Ok c’est débile mais une ambulance ? Non ? Ok Je trouve donc qu’il y a pleins de sous intrigues qui sont inutiles et empêche de réellement développer les personnages importants.
Et dernier point mais très personnel : je n’aime pas le personnage de Driss même si il est touchant, son côté agressif et violent ne m’a pas fait aimé le personnage et la rendu à certains moments antipathique et il faut avouer que je ne suis pas non plus fan du jeu de Omar Sy (après cet argument est complètement subjectif ).
Donc un film avec des idées techniquement et un François Cluzet au pique de sa forme mais un scénario qui m’a peu emporté avec trop de sous intrigues inutiles.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Olivier Nakache
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Quad Productions : 3 films
Gaumont : 2 films
Ten Films : 2 films
TF1 Films Production : 1 film
Chaocorp : 1 film
SND : 1 film
M6 Films : 1 film
La Petite Reine : 1 film
Biographie
Lorsqu'il se lance dans le cinéma, en 1995, Olivier Nakache le fait aux côtés d'Eric Toledano, un de ses amis d'enfance, avec qui il écrit et réalise le court métrage Le Jour et la nuit. Mais c'est avec un autre court, Les Petits souliers, que le duo se fait remarquer : issu d'une expérience commune (La tournée des Pères Noël, le soir du 24 décembre, pour récolter des fonds), et interprété par une belle brochettes d'acteurs, alors peu connus (Gad Elmaleh, Atmen Kélif, Jamel Debbouze ou encore Roschdy Zem), le film est sélectionné au Festival de Clermont-Ferrand, puis au Festival du Film de Paris, où il reçoit le Prix du Public en 1999. Ayant tous deux fréquenté des colonies de vacances, en tant qu'animateurs, les deux compères poursuivent leur collaboration en s'inspirant à nouveau de leur vécu, pour donner naissance au court métrage Ces Jours heureux. Ce court, mettant notamment en scène les jeunes Lorànt Deutsch et Omar Sy, porte en lui les germes de ce que sera Nos jours heureux, leur second long métrage.
Comme pour le court, c'est avec Eric Toledano qu'Olivier Nakache s'essaie au long métrage, et co-signe Je préfère qu'on reste amis.... A la clef, une grande rencontre avec Gérard Depardieu, et le début d'une belle amitié avec Jean-Paul Rouve. Ce dernier retrouve le duo de cinéastes pour leur second long métrage, Nos jours heureux, couronné d'un succès public et critique. Avec Tellement proches, Olivier Nakache et Eric Toledano s'attaquent avec humour au thème de la famille, d'après leurs expériences respectives et porté par des acteurs tels Vincent Elbaz, Isabelle Carré, François-Xavier Demaison, Omar Sy ou encore Audrey Dana. Ne se quittant plus, Olivier Nakache et Eric Toledano signent Intouchables, leur 4ème long-métrage porté par Omar Sy, tenté de devenir leur acteur fétiche, et François Cluzet. Les deux comédiens incarnent deux personnages bien différents (un jeune des cités et un aristocrate) qui vont apprendre à s'apprécier.
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