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Michael Winterbottom

Réalisateur

109 spectateurs

Activité et points forts

ajouté par virvir16 2014-01-03T14:39:17+01:00

Biographie

Né dans le Lancashire, Michael Winterbottom se dirige dans un premier temps vers des études de Lettres. Après une licence obtenue à Oxford, il se tourne vers le cinéma, qu'il étudie à Bristol et à Londres. Féru de films depuis son plus jeune âge, le jeune homme débute sa carrière à la télévision comme monteur, puis comme réalisateur de documentaires et de téléfilms. Si son documentaire sur Ingmar Bergman (Ingmar Bergman : The Magic Lantern) est très remarqué en 1988, c'est le succès du téléfilm Family qui le pousse à fonder avec Andrew Eaton sa propre société de production, Revolution Films, en 1994. Ecrit par Roddy Doyle, ce feuilleton qui expose la vie d'une famille selon le point de vue d'un de ses membres, est couronné par de nombreux prix dans des festivals de cinéma et de télévision du monde entier.

L'année suivante, Winterbottom réalise son premier long-métrage au budget peu coûteux, Butterfly Kiss, un road-movie au féminin, violent et désespéré, qualifié par son interprète Saskia Reeves de "Thelma et Louise sous acide". Confirmant son intérêt pour les drames passionnels, le cinéaste porte à l'écran son roman préféré en 1996 : Jude adapté de Thomas Hardy, qui donne la vedette à Kate Winslet. Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes, le film est récompensé à Madrid et reçoit le Michael Powell Award du meilleur film britannique au Festival du Film d'Edimbourg ainsi que le Hitchcock d'or au Festival de Dinard. La même année, le projet de Go now produit par sa maison de production pour la BBC se concrétise rapidement : en quatre mois, cette comédie dramatique retraçant le parcours d'un jeune homme atteint de sclérose en plaque, d'après un scénario de Jimmy McGovern et Paul Powell, est achevée. L'acteur Robert Carlyle reçoit le prix du Meilleur Acteur aux Royal Television Society Awards tandis que le film obtient celui du Meilleur Scénario.

Producteur exécutif de Resurrection man de Marc Evans en 1997, Winterbottom est un boulimique de travail qui met parallèlement en scène trois films en l'espace d'un an, la comédie dramatique I Want You (1998), With or Without You (1999) avec Yvan Attal et Wonderland (1999), portrait intimiste d'une famille londonienne. Allant vers une précision de plus en plus grande et multipliant les audaces filmiques avec son choix du montage accéléré, le cinéaste séduit Cannes avec ce dernier, en 1999. Par la suite, on doit à ce prolifique touche-à-tout un changement de registre avec le film de guerre Welcome to Sarajevo et le western Rédemption, porté par la présence de Peter Mullan et Milla Jovovich : un exercice de style très remarqué dans lequel le cinéaste dévoile les secrets de la conquête de l'Ouest américain. S'ensuivent une plongée dans les années new wave avec 24 hour party people en 2001, un thriller de science-fiction inédit en France Code 46 en 2003 et le torride et très rock'n'roll 9 songs, censuré en France en 2004.

Une telle activité ne pouvant rester longtemps sans récompense, le cinéaste britannique remporte en 2003 l'Ours d'or au Festival de Berlin pour In this world, drame suivant le périple de deux jeunes pakistanais voulant émigrer en Grande-Bretagne. En 2004, il retourne vers un registre plus léger et déjanté avec son Tournage dans un jardin anglais, mélange d'adaptation du chef-d’œuvre de la littérature anglaise, La vie invraisemblable de Tristram Shandy, et de l'histoire du tournage du film du même nom, pour lequel il retrouve l'acteur Steve Coogan. Deux ans plus tard, il présente à la 56ème Berlinade The Road to Guantanamo, un drame mi-documentaire, mi-fiction basé sur l'histoire vraie de jeunes britanniques d'origine pakistanaise, pour lequel il repart avec l'Ours d'Argent du meilleur réalisateur. Enfin en 2007, il revient sur l'après 11 septembre en adaptant les mémoires de Mariane Pearl dans Un coeur invaincu, qui relate l'enlèvement et le meurtre de son mari journaliste par des activistes pakistanais. Avec Angelina Jolie dans le rôle de Marianne, le film est en sélection officielle hors compétition au 60e Festival de Cannes.

Balayant tous les genres, l'éclectisme de Michael Winterbottom n'est plus à prouver : après La Stratégie du choc, enquête sur le désastre du capitalisme, et Murder in Samarkand, adaptation des mémoires de l'ancien ambassadeur de Grande-Bretagne en Ouzbékistan Craig Murray, il opte pour un thriller horrifique, Un été italien, mettant en scène Colin Firth dans le rôle d'un veuf éploré décidant de repartir à zéro avec ses filles. Par la suite, Michael Winterbottom part en plein désert américain avec Casey Affleck, Kate Hudson, Bill Pullman et Jessica Alba pour le thriller The Killer Inside Me, adapté du roman de Jim Thompson, et retourne filmer son collègue Steve Coogan en pleine campagne anglaise dans le film - et la série - The Trip (2010). Toujours en quête de projets variés et exotiques, il part allier, l'année suivante, le joli minois de Freida Pinto aux magnifiques paysages indiens pour la romance Trishna, film évoluant au gré de la musique envoûtante d'Amit Trivedi.

Mélange de drame et de comédie, A very Englishman (2013) marque sa 4ème collaboration avec Steve Coogan, ici dans le rôle de Paul Raymond, célèbre personnalité anglaise connue pour ses diverses frasques, sa richesse et surtout son club, le "Raymond Revue Bar".

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Classement dans les cinéthèques

Diamant
4 spectateurs
Or
29 spectateurs
Argent
22 spectateurs
Bronze
19 spectateurs
Vu aussi
63 spectateurs
Envies
64 spectateurs
Pas apprécié
21 spectateurs
PAV
20 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 5.77/10
Nombre d'évaluations : 35

0 Citations 12 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Michael Winterbottom

Sortie France : 2013-06-19

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par Debby 2014-01-27T23:11:45+01:00
9 Songs

Bon, pas du tout aimé. J'ai regardé ce film car c'était soit-disant « sex, drugs and rock'n'roll » mais pour le rock'n'roll, on repassera car parmi les 9 chansons, y'en a 8 qui sont du rock'n'roll de papy (ce qui signifie pour moi que c'est lent comme pas possible, ça bouge à peine et les « pogos » du public sont ridicules, normal puisque c'est mou du genou). Pour le sexe, par contre, on est servi et en ce qui concerne le « drugs » aussi.

Sinon, le film n'a aucun intérêt. L'histoire est inexistante, ce sont des scènes qui s’enchaînent les unes les autres sans spécialement avoir de lien entre elles. Pourquoi est-ce que la gonz' pleure tout d'un coup alors que depuis le début du film elle à l'air heureuse ? Et puis pourquoi elle prend des pilules alors qu'elle avait l'air normal ? Bref, plein de questions qui ne trouvent pas leurs réponses et beaucoup de scènes de sexe inutiles. Si vous voulez voir du sexe, matez un porno mais pas ce film, il est chiant.

Et pour les amateurs de vrai rock'n'roll (de la musique qui bouge et qui casse la baraque), ne vous laissez pas berner par ce slogan mensonger ("sex, drugs and rock'n'roll") qu'ils ont repris pour faire la pub de leur film. Par contre, les fans des groupes qu'on voit dans le film peuvent être intéressés car on voit chaque fois une grande partie (voire l'entierté) d'une chanson de ces groupes ainsi que des images de leurs concerts.

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Commentaire ajouté par sylvains7 2014-06-22T01:42:52+02:00
A very Englishman

Un biopic se doit de suivre un destin exceptionnel. Ce n'est malheureusement pas le cas ici. Le film n'est pas désagréable à voir mais il est trop lisse, superficiel. Les évènements s'enchainent sans profondeur, ni relief. Cependant, on suit le film jusqu'au bout tout en sachant que ce n'est pas vraiment une réussite et qu'on l'oubliera vite.

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Commentaire ajouté par Echo-Engoulevent 2015-02-15T15:36:24+01:00
Jude

Ca doit être un des films les plus déprimants que je n'ai jamais vu... Il est très long et il faut s'accrocher pas mal pour arriver jusqu'au bout. Néanmoins, l'histoire est intéressante et nous apprend beaucoup sur l'époque. Il ne réussit pourtant pas à nous empêcher de sombrer petit à petit dans l'indifférence tout en le regardant...

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Commentaire ajouté par ninegar 2015-03-21T16:51:20+01:00
Jude

Ce film est vraiment trop triste et déprimant, je ne le reverrai certainement pas.

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Commentaire ajouté par razzeur 2015-03-30T16:01:23+02:00
The Killer Inside Me

Mi figue mi raisin sur ce film. Il est assez déroutant et perturbant. et le personnage principal est très mauvais.

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Commentaire ajouté par Sheldie 2015-05-01T17:21:31+02:00
24 hour party people

Un film intéressant pour ceux qui s'intéressent aux heures de gloire de la new wave en Angleterre. On y retrouve des groupes qui ont fait les belles heures de Manchester (feu Joy Division et New Order en tête forcément).

Un biopic plutôt pas mal donc, avec une approche très intéressante (et une réalisation très dynamique qui donne le ton au film).

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Commentaire ajouté par SevenRed 2016-01-17T18:19:54+01:00
Code 46

Code 46 est plein de bonnes idées et reste encore très intrigant à mes yeux. Je m'attendais à un pur film sf, alors que le plus important était bien l'aspect psychologique et dramatique, qui était très réussi. Simplement, avec toutes ces idées, j'aurais imaginé quelque chose de si différent.

La réalisation de Winterbottom était une découverte, au final très positive et la bande-son était plutôt pas mal également.

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Commentaire ajouté par oh-my-dreams 2016-05-14T13:17:31+02:00
The Killer Inside Me

Je vois que très peu de personnes ont aimé ce film. Je peux comprendre, on suit l'histoire d'un personnage assez spécial et psychopathe. C'est ce que j'aime justement ! On a énormément de mal à le cerner et à l'aimer mais moi j'ai accroché directement même s'il m'a vite perturbé...

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Commentaire ajouté par Andjalie012 2016-05-29T13:02:52+02:00
Trishna

Un bon film avec l'actrice qui a joué dans Slumdog Millionnaire. J'ai bien aimé.

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Commentaire ajouté par EliStrauss 2017-01-31T00:30:57+01:00
Jude

Je vais dire la meme chose que les commentaires d'avant mais ce film est vraiment deprimant. J'ai regardé pour Christopher en faisant abstraction du fait que c'etait une adaptation d'un roman de Hardy, j'aurais pas du. Je me suis ennuyée à mourir sauf à la fin. J'aime certaines musiques du film même si parfois je trouvais qu'il y en avait qui avait l'air déplacée.

Je ne conseille pas le film en tout cas.

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