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Cuban Network
J’avais bien entendu parlé de quelques uns des événements traités, mais je ne connaissais pas l’intégralité de l’histoire.
Je ne savais même pas que c’était lié…
C’est un bon film,, j’ai bien apprécié.
A voir !
Cuban Network
Les histoires de cœur sont diluées dans l’ensemble et ne paraissent posées là que pour rendre un peu plus digeste le débat qu’est ce film : pour ou contre le numérique, qu’est-ce qu’une auto-fiction, être auteur et éditeur aujourd’hui, peut-on faire un livre ou une série sans aimer ça ?
C’est ce qui m’a le plus marqué : les débats d’idées. J’ai eu l’impression d’assister à une conférence.
Pourtant, il s’en passe des choses, derrière : tromperie de trois personnes sur quatre, qui se connaissent et se croisent, Nora Hamzawi qui a une façon bien particulière de voir les choses et ses histoires politiques…
Pourtant, tout est lisse, rien ne prend, on s’en fout – en tout cas pour ma part, ça n’a servi qu’à rendre plus digeste les discours en marquant quelques pauses.
Du coup, pourquoi pas, discours avec histoire de cœur en fond.
Mais à la fin, les personnages sont tellement lisses, sans réaction particulière, que tu n’as pas l’impression qu’ils sont touchés par quoi que ce soit, qu’ils ont évolué…
Même les ellipses (je publierai pas / j’ai pas le choix je dois publier / le livre est publiée) sont tellement ténues que j’ai failli en louper…
Bref, j’ai eu l’impression d’entrer dans une soirée où je ne connais personne, d’y rester deux heures à écouter les gens parler avant de rentrer chez moi – pas super intéressé ou emballé, quoi…
Doubles Vies
Cuban Network
L'heure d'été
Pour tout vous dire, je ne connaissais pas cette histoire vraie, pourtant, elle avait un véritable potentiel cinématographique et je suis même assez étonnée qu’elle n’ait pas été adaptée avant. Bien sûr, nous sommes tous au fait du conflit qui règne depuis tant d’années entre les États-Unis et Cuba, de l’embargo extrêmement strict qui a privé cette île de bien des façons, plongeant sa population dans une certaine précarité. Mais pour ma part, je ne savais pas que ça avait été aussi loin, que les habitants avaient autant souffert, jusqu’à presque reculer dans le temps, plus d’accès à l’électricité et même être rationné drastiquement en matière de nourriture. La vie était très dure et à partir de là, on peut comprendre certains choix qui en découlent, même si tout ne peut pas être cautionné et notamment la violence. Il est délicat d’être d’un côté ou de l’autre dans ce film, bien sûr, on ne peut pas être d’accord avec le gouvernement castriste, mais on peut comprendre ce désir de certains, de protéger leur pays. Parce que, au-delà de faire ça par patriotisme, même si c’est le cas de quelques-uns, pour d’autres, tout est basé sur un véritable sentiment de défense, envers leur famille et la population en règle générale. L’espionnage n’était effectivement peut-être pas la meilleure solution, mais notons qu’ils n’ont jamais fait preuve de violence, contrairement aux terroristes qu’ils surveillaient justement. Et c’est justement là tout le paradoxe de ce film, voir le traitement de ces hommes par le gouvernement américain, qui n’a lui-même pas grand-chose à envier en matière d’espionnage d’ailleurs. J’ai beaucoup aimé la réalisation d’Olivier Assayas, qui a eu l’excellente idée d’adapter cette histoire déjà et qui l’a fait avec un véritable talent, un sens artistique qui correspond à merveille au genre. Visuellement, c’est une réussite totale, c’est extrêmement rythmé, pas forcément très riche en action, mais c’est une tension constante, on sent tout le danger derrière ces actes et c’est immédiatement prenant. Quant au scénario, là aussi, il est maîtrisé, très bien écrit, il parvient à nous montrer le cheminement assez complexe de ces hommes et femmes, pour vraiment nous pousser à appréhender leurs décisions. Alors finalement, on s’attache terriblement à ces personnages, à leur façon de lutter pour leur famille, bien plus que pour leur gouvernement, qui n’a que peu d’intérêt pour eux soit dit en passant. C’est une histoire plus humaine que ce à quoi l’on pouvait s’attendre, une histoire de principes et de valeurs, mais aussi de courage et d’amour, qui saura nous toucher. Mais c’est aussi un récit qui peut se révéler révoltant, qui a un sens de la justice parfois douteux et qui n’a finalement qu’un seul but, ce jeu politique que se livrent ces deux pays. Quant au casting, il est assez génial, notamment Édgar Ramírez qui est excellent, Penélope Cruz est tout aussi magistrale et toujours mon petit faible personnel pour Ana de Armas.
En bref : Un film qui avait un potentiel de base énorme et qui réussit son pari avec talent, qui nous fait partager le choix crucial d’hommes et de femmes, leurs sacrifices, à travers une aventure extrêmement intense !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2020/02/18/cuban-network/
Cuban Network
Doubles Vies
Certes l'intrigue est lente et assez stagnante. Mais l'idée est originale. Il y avait vraiment un bon potentiel de scénario, mais je ne m'attendais pas vraiment à ça...
Personal Shopper
Personal Shopper
Sils Maria
Cette histoire d'héritage, d'oeuvres d'art à expertiser, etc., ne constitue pas une intrigue suffisante pour m'intéresser.
L'heure d'été
Personal Shopper
Paris, je t'aime
Malgré tout, et bizarrement, je crois que j'ai bien aimé. Kristen Stewart est franchement cool, la fin est intéressante bien que frustrante, l'idée de base est pas mal mais pourquoi le mêler à un thriller ? Et pourquoi inventer un lien entre ce métier (qui, en soi, mérite un film en lui-même tant il est inconnu du public ; d'autant plus qu'il m'a fait penser au "Diable s'habille en Prada") et le fait qu'elle recherche désespérément son frère mort ? Parce que ça pourrait être tout l'intérêt du film, le deuil, tout ça, mais je dirais que les scénaristes se sont perdus en court de route...
Personal Shopper
L’histoire est lente et sans intrigue.
Quand le film se termine, on reste avec beaucoup de points non résolut.
Personal Shopper