Commentaires sur ses livres

Monster Hunter possède des qualités indéniables : les effets spéciaux, les belles images, les combats très dynamiques, et le côté contemplatif d'un film avec assez peu de dialogues. On y retrouve la patte de Paul WS Anderson, un scénario de survie en territoire très hostile qui est plutôt prenant et atmosphérique.

Quelques petites incohérences scénaristiques sont toutefois présentes, comme

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le chasseur qui attaque Artemis alors qu'il semblait vouloir la sauver au début du film ; ou encore le fait que le capitaine Artemis se fasse empoisonner par un monstre-araignée, mais n'en subit aucune conséquence contrairement aux autres personnages.

En revanche, si j'étais prêt à placer Monster Hunter encore plus haut dans mon classement, j'ai été un peu refroidi par la fin du film, inachevée, qui assume clairement son cliffhanger comme un tremplin vers une suite. Beaucoup d'éléments restent en suspens. A titre personnel, j'aurais préféré que le film dure 15-20 minutes supplémentaires pour lui permettre de clore son scénario plutôt que de l'interrompre un peu trop brutalement.

Comme lors du troisième film, cette suite semble en décalage complet avec le cliffhanger de Resident Evil : Retribution et l’orientation de l’histoire envisagée dans ce précédent opus. La bataille de Washington, tous comme la grande majorité des personnages du précédent opus, sont complètement éclipsés du scénario, qui laisse place à un compte à rebours de 48h pour un retour à Racoon City. Mais comme lors du précédent film, le scénario, l’univers, les personnages et l’histoire ne servent qu’à la mise en place d’une action quasi continue devant mener à une révélation finale attendue. Il n’en reste pas moins caractérisé par une très grande incohérence globale, ne respectant ni l’univers mis en place dans les précédents films

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(L’introduction remet ainsi complètement en cause les bases d’univers développés dans Resident Evil et Resident Evil : Apocalypse, recréant l’origine du virus T et de Umbrella Corporation, transformant Albert Wesker en sous-fifre du docteur Isaac, alors qu’il est présenté comme le président de la corporation lors du troisième film, etc.) ni l’univers des jeux duquel il s’inspire

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(l’intégration de l’univers du jeu Resident Evil quatre devient encore plus irrationnelle que lors des précédents opus, en particulier dans sa tentative de faire du clone du docteur Isaac une copie de Bitores Mendez). De même, l’habitude de s’appuyer sur des deus ex machina et de multiples retournements de situations et d’histoires

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(en particulier quant à l’utilisation des clones d’Isaac et de Alice, ou le programme de prédiction de combat de Isaac) n’aide pas à se retrouver et multiplie la sensation d’incompréhension de l’histoire. Certes, les combats sont bien menés et la chorégraphie est efficace ; mais elles ont perdu de leurs saveurs et ne permettent plus de garantir l’attention du spectateur

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(comme lors du combat final entre Alice et Isaac, qui semble bien trop long par rapport à l’enjeu temporel du compte à rebours, par exemple). De même, la caméra, le montage, les personnages, le jeu des acteurs, la musique n’arrivent guère à relever l’attention du spectateur durant l’ensemble du visionnage, voire au contraire dessert l’ensemble. Un très mauvais film, tous simplement.

Un film d’action aux scènes et à la chorégraphie très maîtrisées et très percutantes, tant d’un point de vue de l’image que du montage. Mais le scénario, les personnages, les dialogues, le jeu d’acteur et le fan service sur lequel il repose franchie encore plus en amont la porte d’une incohérence à priori totale et globale. Certes, le film essaye de se recentrer sur ces bases et sur l’origine de ce qui le caractérise, l’action survival horror des jeux Resident Evil

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(ce qui amène de très bons moments de fan service, en particulier au début du film lors de la « re » destruction de Racoon City, tandis que le spectateur appréciera le retour de personnages du premier et du second film, tout comme le rajout de nouveaux personnages de la licence). Mais cet aspect semble néanmoins plus être un prétexte pour justifier l’action, la violence et le combat continuel durant l’ensemble du visionnage, tant il ne sert qu’à justifier des moments d’actions

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(le Las Plagas, qui existe dans cet univers, n’est ainsi jamais présenté et explicité, et semble plus constituer une drogue pour morts et vivants afin d’améliorer leurs capacités physiques ; on ignore tous des scarabées de la reine rouge, etc.). Les rares explications données semblent elles aussi totalement absurdes et complètement illogiques

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(l’idée même d’un complexe sous-marin assez grand pour accueillir entre 4 ou 5 zones de simulations tests réalistes est, même pour Resident Evil, une idée qui apparaît comme plus que démesurée). Des ruptures importantes de logiques d’univers des films sont aussi à noter, tant dans les personnages ou le fonctionnement de la lore

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(Les Redfield disparaissent littéralement dans ce film, et ce malgré le fait que ce dernier n’effectue aucune ellipse avec Resident Evil : Afterlife ; Albert Wesker, le principal antagoniste de la série, devient soudainement le gentil du moment, tandis que la Reine Rouge, une IA propre au Hive de Racoon City, comme précisé dans le troisième film, devient l’IA de l’ensemble des laboratoires et des appareils de Umbrella Corporation ; une Alice devenant soudainement mère d’une petite fille, qu’il faut protéger, parce que c’est la fausse fille clonée de l’un de ses propres clones utilisés dans une simulation ; etc.). Bref, un ensemble entièrement dédié à l’action et au combat entre personnages, dans lequel tout le reste est mis au second plan sans véritables cohérences, qu’ils proviennent des films ou des jeux.

Meilleur que le précédent opus, mais de bien peu. Certes, les enjeux sont plus clairs, les scènes de combats, les personnages et l’univers fonctionnent bien mieux, et correspond beaucoup plus à ce que l’on pourrait s’attendre d’une adaptation de Resident Evil — mais cela ne le sauve guère pour autant. Paradoxalement, ce dernier devient encore plus incohérent et absurde dans sa lore, l’univers, la structure de son histoire. Les éléments du jeu sont mieux présent (il est ainsi agréable de revoir des personnages de la licence), mais ils sont réinvesties et transformées de manière plus que bizarre, rajoutant encore plus au chaos au lors et aux inventions propres du film

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(je ne l’avais saisie que bien après le visionnage, mais il me semble que les zombies sont ainsi un mélange de Las Plagas et de virus T). Beaucoup d’éléments du worldbuilding sont en général passés sous silences sans quasi aucune explication

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(comme le nouvel ennemi à la hache, ressemblant plus à une création du jeu The Evil Within que de Resident Evil). Quand au scénario, il est principalement caractérisé par la multiplication de deus ex machina et de retournement de situations, rendant parfois difficile le suivi de l’action

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(comme les multiples morts et régénérations miraculeuses de Albert Wesker). Pourtant, et malgré tous ces défauts, le film reste passable, avec un montage et une musique efficace ; si les plans de caméras, les acteurs et les dialogues sont peu percutants, ils le sont assez pour porter leurs histoires et garder l’attention du spectateur durant l’ensemble du visionnage.

Une bonne adaptation cinématographique des trois premiers jeux. Même si l’histoire et les personnages sont originaux, les bases de l’univers et le survival horror sont bien respectée, donnant la sensation d’être au sein de cet univers particulier que forme Umbrella Corporation et Racoon City. Mais le film ne reste pas exempt de défauts ; s’il est visuellement percutant sur de nombreuses scènes, le jeu des acteurs, les dialogues et certains visuels et séquences d’horreurs sont passables. Plus grave, une incohérence majeure

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(en particulier la volonté jusqu’au-boutiste de l’héroïne à vouloir sauver les protagonistes infectées, alors que le spectateur sait que ces derniers sont condamnés) réduit énormément l’impact émotionnel et l’implication lors du visionnage.

Vraiment un film d'horreur de référence qui n'a pas vieilli et qui fait son effet. Un vrai classique du genre

J'ai adoré ce film, malgré quelques passage à vide par moment il était plutôt bien dans l'ensemble, ce qui m'a paru étrange par contre

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c'est la fin du film comment les predator avec leurs technologies ont pas vu qu'iletait contaminé c'est peu un absurde je trouve

Quelques petits problèmes dans le scénario et le respect de la période historique mais un bon film dans l'ensemble à voir pour passer un bon moment sans prise de tête.

Assez déçu de ce film je m'attendais a mieux au final ce n'est pas le grand film.de l'année il.yen.na eu tellement même Vincent Cassel fait pâle figure bof

C'est avec joie et tristesse que j'ai regarder cette opus comme toute chose il y a une fin, mes enfants et moi ont c'est régalé.

L'un de mes opus préféré de la saga je m'en lasse pas, l'évolution d'Alice est vraiment surprenante.

Très bon film, ont a passé un bon moment avec les enfants devant le film.

Une de mes saga préférée, je l'ai regarder avec mes enfants car il ne connaissait pas cet univers ils ont adoré et moi j'ai adoré me refaire cette saga avec eux

J'avais vraiment adoré ce film quand j'étais petite, ça change de voir des adaptations des trois mousquetaires.

C'est du Paul W.S. Anderson avec tout ce qui fait le "charme" de ce réalisateur, du coup, je savais que ça allait passer très, très, très vite sur le roman de Dumas pour s'essayer à faire un truc plus bourrin et m'as-tu vu et je n'ai pas été déçu de retrouver le réalisateur dans ses "œuvres".
Oui, les personnages prennent cher mais ils collent d'assez près au gros de l'histoire des mousquetaires et de Milady. Et c'est là que ça aurait dû s'essayer à être original. Quitte à nous mettre un Buckingham différent et des aéronefs, autant y aller à fond et faire une aventure annexe au roman. L'affaire des ferrets de la reine est expédié vite fait, ça perd beaucoup de ce qui faisait la force du roman mais ça se laisse regarder, surtout si on a pas lu le livre (manque de pot, je l'adore, tout comme ses suites).
Le casting n'est pas mauvais sauf Orlando Bloom qui fait clairement tâche dans l'ensemble.
Un divertissement passable pour une adaptation acceptable mais qui aurait gagnée à être originale d'un bout à l'autre.