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Commentaires sur ses livres

Wes Anderson

Par Mensonges le 23 Mars 2024 Editer
Mensonges
J'ai regardé ce film parce qu'il m'avait été conseillé par mon frère. J'ai bien aimé l'univers tout en couleur que présente l'histoire, cependant je n'ai pas réussi à vraiment accrocher. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs, mais les personnages étaient tout de même intéressants.
A propos du livre :
The Grand Budapest Hotel
The Grand Budapest Hotel
Par Lyran le 28 Février 2024 Editer
Lyran
« C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure », nous chante Françoise Hardy dans l’une des scènes clés du film. On ne pourrait pas mieux décrire Moonrise Kingdom, qui satisfait nos fantasmes d’enfants en quête d’aventure avec cette fugue en pleine nature, et dépeint avec délicatesse un premier amour dans toute sa candeur et sa maladresse.

La maturité précoce de Suzy et Sam, leurs tourments, leur manière de s’exprimer avec gravité et leur désir d’émancipation en font des enfants « adultes », en décalage avec leurs pairs et incompris de leurs parents et tuteurs. L’absolu de leur amour enfantin est le miroir des amours ratées des adultes, qui semblent tous vivre dans les regrets et une certaine solitude. Si c’est à ça que ressemble la réalité adulte, pas étonnant que les enfants veuillent y échapper !

Comme dans chacun de ses films, le style de Wes Anderson s’impose dès la première image. Rien que la scène d’exposition, nous présentant la maison et la famille de Suzy, rassemble ses principaux gimmicks : des cadres très composés et symétriques, des mouvements de caméras rectilignes, des inserts sur les accessoires et un jeu théâtralisé. Tout ceci a bien sûr un côté artificiel qui va de pair avec cette escapade de rêveurs, sur une île qui devient une scène de théâtre à taille humaine.

L’antagoniste le plus impitoyable du film arrive assez tard :
Spoiler(cliquez pour révéler)
c’est le personnage de Tilda Swinton, personnification des services sociaux qui veulent mettre la main sur Sam – son nom est d’ailleurs littéralement « Services Sociaux ». Son prénom improbable est révélateur de l’absurdité de cet univers, où l’on peut se relever sans blessure après avoir été frappé par la foudre et où un chef scout chapeaute un mariage entre deux enfants avec le plus grand des sérieux avant de les encourager dans leur fuite. Dans ce monde-là, tout finit par s’arranger, même si c’est tiré par les cheveux ; comme cette scène finale où les personnages tombent d’un clocher foudroyé par la tempête et évitent la chute mortelle en se tenant les uns à la main des autres, suspendus au-dessus du vide.


J’ai apprécié ce film pour sa douceur et son côté nostalgique, mais également pour son humour pince-sans-rire. Le sérieux des personnages accolé à l’absurdité des situations donne un résultat assez savoureux. Pour moi, la scène qui en est la plus représentative est celle où Suzy et Sam discutent de leur mariage avec gravité, mais sans qu’on les entende, à deux pas d’un gamin qui saute sur son trampoline et capte toute notre attention. Une mise en scène incongrue, drôle et riche de signification : encore une fois, on souligne l’ambiguïté des deux protagonistes qui oscillent entre l’enfance et l’âge adulte.
A propos du livre :
Moonrise Kingdom
Moonrise Kingdom
Par EMIlou le 25 Février 2024 Editer
EMIlou
Court-métrage assez dérangeant ; le personnage principal est réellement « répugnant ».
A propos du livre :
Le Preneur de rats
Le Preneur de rats
Par EMIlou le 24 Février 2024 Editer
EMIlou
Encore un court-métrage qui a été très agréable à découvrir ; cette adaptation de la nouvelle de R. Dalh est superbe (autant le jeu des acteurs que les décors, juste majestueux).
Par EMIlou le 24 Février 2024 Editer
EMIlou
Très prenant et touchant… un court métrage à découvrir.
A propos du livre :
Le cygne
Le cygne
Par Apollo8 le 1 Février 2024 Editer
Apollo8
Un film pour le moins original, avec un très bon sens de la composition, de l'esthétisme, et des techniques caractéristiques du réalisateur. Tout semble assez confus dans ces deux histoires que l'on suit en parallèle, celle de la pièce de théâtre et celle du dramaturge, du metteur en scène et des comédiens qui la jouent. Mais derrière l'humour et l'apparence absurde du film, on entrevoit des thématiques dont le questionnement sur l'existence et le deuil. Il mériterait sûrement un second visionnage pour y voir plus clair.
A propos du livre :
Asteroid City
Asteroid City
Par EMIlou le 1 Février 2024 Editer
EMIlou
J’ai apprécié ce film ; mon deuxième du réalisateur.
J’ai trouvé que les passages qui faisaient tomber le 4e mur étaient très bons. La mise en abîme était vraiment bien écrite ; on comprend beaucoup de passages au fil de l’eau.
A propos du livre :
Asteroid City
Asteroid City
Par Pintadinette le 30 Janvier 2024 Editer
Pintadinette
Étant donné les critiques dithyrambiques, je m'attendais à passer un excellent moment devant ce film... Mais ça n'a pas été le cas. Je n'ai tout simplement pas accroché. Ce film regorge pourtant d'acteurs vraiment excellents mais visiblement le style Anderson n'est pas pour moi.
A propos du livre :
The Grand Budapest Hotel
The Grand Budapest Hotel
Par Davunk le 13 Janvier 2024 Editer
Davunk
Les années passent et Wes Anderson est passé du réalisateur créatif à un type qui tourne en rond. Asteroid City est un trés bon film. Mais il est mineur et confirme la derniére tendance du réalisateur...

Parceque oui, aussi bien visuellement qu'en terme de direction d'acteur ou d'histoire, Asteroid City peine à enthousiasmer autant qu'avant. Il a beau aligner un casting XXXXXXXL (Jason Schwartzmann, Scarlett Johansson, Tom Hanks, Jeffrey Wright, Tilda Swinton, Bryan Cranston, Adrien Brody, Margot Robbie, Willem Dafoe, Steve Carell, Matt Dillon, Jeff Goldblum, Liev Schreiber...), son histoire sur deux tableaux (un écrivain célébre écrit une piéce nommée Asteroid City... et on suit en paralléle la dite histoire) ne trouve sa force que dans son humour absurde.
Et quelques trouvailles visuels évidemment. Pour le reste, on peine à lui trouver quelque chose de plus, ou de moins d'ailleurs si ce n'est la surprise, que dans les oeuvres précédentes du bonhomme...
A propos du livre :
Asteroid City
Asteroid City
Par EMIlou le 21 Décembre 2023 Editer
EMIlou
Un vrai plaisir visuel : les couleurs, les décors, les costumes et les prises de vue sont sublimes !
On découvre tout un univers avec des acteurs de haut vol.
A propos du livre :
The Grand Budapest Hotel
The Grand Budapest Hotel
Par Davunk le 15 Octobre 2023 Editer
Davunk
Et avec ce dernier court, il nous conte l'histoire d'un homme, mordu par un serpent, qui va être soigné par un médecin.

Benedict Cumberbatch, Dev Patel et Ben Kingsley sont de retour, accompagné de Ralph Fiennes pour ce segment qui prend aussi des allures quasi horrifiques sur certaines images, tout en respectant les codes du cinéma d'Anderson. Le résultat tient la route plus qu'on n'aurait pu le croire avec une histoire courte, mais intense porté par son casting absolument brillant !
A propos du livre :
Venin
Venin
Par Davunk le 15 Octobre 2023 Editer
Davunk
Dans cette histoire où l'on va retrouver Rupert Friend mais également Richard Ayoade et Ralph Fiennes, on va suivre un preneur de rats, chargé d'en éradiquer par un garagiste. Le preneur ayant adopté les maniéres des rats...

Ici, c'est surtout la performance de Fiennes qui est à noter ainsi qu'un aspect un peu macabre surprenant pour Anderson mais qu'il rend à sa maniére, efficace et surprenante. En 18 minutes, il faut reconnaitre que ça traine un peu par moment mais le résultat reste tout à fait honorable !
A propos du livre :
Le Preneur de rats
Le Preneur de rats
Par Davunk le 15 Octobre 2023 Editer
Davunk
Wes Anderson ne s'est pas contenté d'adapter une histoire de Roal Dahl. Il en a fait 4. 3 d'entre elles durent 18 minutes, dont Le Cygne, racontant l'histoire d'un enfant malmené par ses camarades qui vont le déguiser en cygne et risquer sa vie.

Conte triste et sombre, Le cygne est peut être l'histoire qui colle le moins au style d'Anderson mais il s'en sort avec les honneurs en mettant en scéne notamment Rupert Frient et toujours avec le même style que les 3 autres : théatral et mis en scéne de maniére à coller à son style à raconter tout en montrant. ça marche plutôt pas mal et si ce n'est pas grandiose, ça reste à voir !
A propos du livre :
Le cygne
Le cygne
Par Davunk le 6 Octobre 2023 Editer
Davunk
A la réflexion, ça paraissait évident. Qui de mieux que Wes Anderson pouvait adapter Roal Dahl ? C'est si facile de se casser les dents sur le style du bonhomme, que même Spielberg a échoué. Oui mais Wes Anderson, lui, est fait pour ça. Son style tout en théâtralité, donnant l'impression en même temps d'ouvrir un livre pop up, alignant un casting de classe même pour un court de 40 minutes (Benedict Cumberbatch, Ben Kingsley, Ralph Fiennes, Dev Patel, Richard Aoyade ou encore Jarvis Cocker). L'ingéniosité déployé durant la totalité de ce court donne forcément envie d'en voir plus et hisse cette adaptation au rang des excellentes surprises Netflix et surtout des trés bons films du réalisateur, dont le style semblait commencer à tourner en rond mais qui prouve ici qu'il sait encore l'utiliser à bon escient !

Pour l'histoire ? Celle de Henry Sugar, apprenant l'histoire d'un homme capable de voir sans ses yeux. Ce qui lui semble bien pratique pour sa pratique du Black Jack !
Par gavarneur le 28 Septembre 2023 Editer
gavarneur
Idée originale : Roald Dahl, images Wes Anderson. Effet garanti. Une réussite, en moins d'une heure

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