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The Grand Budapest Hotel
La maturité précoce de Suzy et Sam, leurs tourments, leur manière de s’exprimer avec gravité et leur désir d’émancipation en font des enfants « adultes », en décalage avec leurs pairs et incompris de leurs parents et tuteurs. L’absolu de leur amour enfantin est le miroir des amours ratées des adultes, qui semblent tous vivre dans les regrets et une certaine solitude. Si c’est à ça que ressemble la réalité adulte, pas étonnant que les enfants veuillent y échapper !
Comme dans chacun de ses films, le style de Wes Anderson s’impose dès la première image. Rien que la scène d’exposition, nous présentant la maison et la famille de Suzy, rassemble ses principaux gimmicks : des cadres très composés et symétriques, des mouvements de caméras rectilignes, des inserts sur les accessoires et un jeu théâtralisé. Tout ceci a bien sûr un côté artificiel qui va de pair avec cette escapade de rêveurs, sur une île qui devient une scène de théâtre à taille humaine.
L’antagoniste le plus impitoyable du film arrive assez tard :
J’ai apprécié ce film pour sa douceur et son côté nostalgique, mais également pour son humour pince-sans-rire. Le sérieux des personnages accolé à l’absurdité des situations donne un résultat assez savoureux. Pour moi, la scène qui en est la plus représentative est celle où Suzy et Sam discutent de leur mariage avec gravité, mais sans qu’on les entende, à deux pas d’un gamin qui saute sur son trampoline et capte toute notre attention. Une mise en scène incongrue, drôle et riche de signification : encore une fois, on souligne l’ambiguïté des deux protagonistes qui oscillent entre l’enfance et l’âge adulte.
Moonrise Kingdom
Le Preneur de rats
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar
Le cygne
Asteroid City
J’ai trouvé que les passages qui faisaient tomber le 4e mur étaient très bons. La mise en abîme était vraiment bien écrite ; on comprend beaucoup de passages au fil de l’eau.
Asteroid City
The Grand Budapest Hotel
Parceque oui, aussi bien visuellement qu'en terme de direction d'acteur ou d'histoire, Asteroid City peine à enthousiasmer autant qu'avant. Il a beau aligner un casting XXXXXXXL (Jason Schwartzmann, Scarlett Johansson, Tom Hanks, Jeffrey Wright, Tilda Swinton, Bryan Cranston, Adrien Brody, Margot Robbie, Willem Dafoe, Steve Carell, Matt Dillon, Jeff Goldblum, Liev Schreiber...), son histoire sur deux tableaux (un écrivain célébre écrit une piéce nommée Asteroid City... et on suit en paralléle la dite histoire) ne trouve sa force que dans son humour absurde.
Et quelques trouvailles visuels évidemment. Pour le reste, on peine à lui trouver quelque chose de plus, ou de moins d'ailleurs si ce n'est la surprise, que dans les oeuvres précédentes du bonhomme...
Asteroid City
On découvre tout un univers avec des acteurs de haut vol.
The Grand Budapest Hotel
Benedict Cumberbatch, Dev Patel et Ben Kingsley sont de retour, accompagné de Ralph Fiennes pour ce segment qui prend aussi des allures quasi horrifiques sur certaines images, tout en respectant les codes du cinéma d'Anderson. Le résultat tient la route plus qu'on n'aurait pu le croire avec une histoire courte, mais intense porté par son casting absolument brillant !
Venin
Ici, c'est surtout la performance de Fiennes qui est à noter ainsi qu'un aspect un peu macabre surprenant pour Anderson mais qu'il rend à sa maniére, efficace et surprenante. En 18 minutes, il faut reconnaitre que ça traine un peu par moment mais le résultat reste tout à fait honorable !
Le Preneur de rats
Conte triste et sombre, Le cygne est peut être l'histoire qui colle le moins au style d'Anderson mais il s'en sort avec les honneurs en mettant en scéne notamment Rupert Frient et toujours avec le même style que les 3 autres : théatral et mis en scéne de maniére à coller à son style à raconter tout en montrant. ça marche plutôt pas mal et si ce n'est pas grandiose, ça reste à voir !
Le cygne
Pour l'histoire ? Celle de Henry Sugar, apprenant l'histoire d'un homme capable de voir sans ses yeux. Ce qui lui semble bien pratique pour sa pratique du Black Jack !
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar