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À bord du Darjeeling limited
Je l'avais vu dans mon enfance et l'ai revu récemment ce qui m'a procuré beaucoup d'émotions. La technique est déjà fascinante mais le scénario et les décors sont super chouettes. La touche humoristique est pour moi la cerise sur le gâteau !
Fantastic MR. Fox
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar
Le cygne
Venin
Le Preneur de rats
The French Dispatch
À bord du Darjeeling limited
La rencontre des deux est vraiment parfaite, je suis toujours contente de voir Desplat aux crédits !
The Grand Budapest Hotel
Les décors théâtraux s'enchaînent dans une transition maîtrisée et intelligente.
La première fois que je regarde une œuvre de Wes Anderson, mon premier sentiment après le générique a été de sortir de ce film interloquée, en tout cas on n'en sort pas indifférent.
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar
À bord du Darjeeling limited
La vie aquatique
The Grand Budapest Hotel
The Grand Budapest Hotel
La maturité précoce de Suzy et Sam, leurs tourments, leur manière de s’exprimer avec gravité et leur désir d’émancipation en font des enfants « adultes », en décalage avec leurs pairs et incompris de leurs parents et tuteurs. L’absolu de leur amour enfantin est le miroir des amours ratées des adultes, qui semblent tous vivre dans les regrets et une certaine solitude. Si c’est à ça que ressemble la réalité adulte, pas étonnant que les enfants veuillent y échapper !
Comme dans chacun de ses films, le style de Wes Anderson s’impose dès la première image. Rien que la scène d’exposition, nous présentant la maison et la famille de Suzy, rassemble ses principaux gimmicks : des cadres très composés et symétriques, des mouvements de caméras rectilignes, des inserts sur les accessoires et un jeu théâtralisé. Tout ceci a bien sûr un côté artificiel qui va de pair avec cette escapade de rêveurs, sur une île qui devient une scène de théâtre à taille humaine.
L’antagoniste le plus impitoyable du film arrive assez tard :
J’ai apprécié ce film pour sa douceur et son côté nostalgique, mais également pour son humour pince-sans-rire. Le sérieux des personnages accolé à l’absurdité des situations donne un résultat assez savoureux. Pour moi, la scène qui en est la plus représentative est celle où Suzy et Sam discutent de leur mariage avec gravité, mais sans qu’on les entende, à deux pas d’un gamin qui saute sur son trampoline et capte toute notre attention. Une mise en scène incongrue, drôle et riche de signification : encore une fois, on souligne l’ambiguïté des deux protagonistes qui oscillent entre l’enfance et l’âge adulte.
Moonrise Kingdom