Wes Anderson
Réalisateur
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Note moyenne : 7.4/10Nombre d'évaluations : 743
0 Citations 176 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Un vrai plaisir visuel : les couleurs, les décors, les costumes et les prises de vue sont sublimes !
On découvre tout un univers avec des acteurs de haut vol.
Afficher en entierLes années passent et Wes Anderson est passé du réalisateur créatif à un type qui tourne en rond. Asteroid City est un trés bon film. Mais il est mineur et confirme la derniére tendance du réalisateur...
Parceque oui, aussi bien visuellement qu'en terme de direction d'acteur ou d'histoire, Asteroid City peine à enthousiasmer autant qu'avant. Il a beau aligner un casting XXXXXXXL (Jason Schwartzmann, Scarlett Johansson, Tom Hanks, Jeffrey Wright, Tilda Swinton, Bryan Cranston, Adrien Brody, Margot Robbie, Willem Dafoe, Steve Carell, Matt Dillon, Jeff Goldblum, Liev Schreiber...), son histoire sur deux tableaux (un écrivain célébre écrit une piéce nommée Asteroid City... et on suit en paralléle la dite histoire) ne trouve sa force que dans son humour absurde.
Et quelques trouvailles visuels évidemment. Pour le reste, on peine à lui trouver quelque chose de plus, ou de moins d'ailleurs si ce n'est la surprise, que dans les oeuvres précédentes du bonhomme...
Afficher en entierÉtant donné les critiques dithyrambiques, je m'attendais à passer un excellent moment devant ce film... Mais ça n'a pas été le cas. Je n'ai tout simplement pas accroché. Ce film regorge pourtant d'acteurs vraiment excellents mais visiblement le style Anderson n'est pas pour moi.
Afficher en entierJ’ai apprécié ce film ; mon deuxième du réalisateur.
J’ai trouvé que les passages qui faisaient tomber le 4e mur étaient très bons. La mise en abîme était vraiment bien écrite ; on comprend beaucoup de passages au fil de l’eau.
Afficher en entierUn film pour le moins original, avec un très bon sens de la composition, de l'esthétisme, et des techniques caractéristiques du réalisateur. Tout semble assez confus dans ces deux histoires que l'on suit en parallèle, celle de la pièce de théâtre et celle du dramaturge, du metteur en scène et des comédiens qui la jouent. Mais derrière l'humour et l'apparence absurde du film, on entrevoit des thématiques dont le questionnement sur l'existence et le deuil. Il mériterait sûrement un second visionnage pour y voir plus clair.
Afficher en entierTrès prenant et touchant… un court métrage à découvrir.
Afficher en entierEncore un court-métrage qui a été très agréable à découvrir ; cette adaptation de la nouvelle de R. Dalh est superbe (autant le jeu des acteurs que les décors, juste majestueux).
Afficher en entierCourt-métrage assez dérangeant ; le personnage principal est réellement « répugnant ».
Afficher en entier« C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure », nous chante Françoise Hardy dans l’une des scènes clés du film. On ne pourrait pas mieux décrire Moonrise Kingdom, qui satisfait nos fantasmes d’enfants en quête d’aventure avec cette fugue en pleine nature, et dépeint avec délicatesse un premier amour dans toute sa candeur et sa maladresse.
La maturité précoce de Suzy et Sam, leurs tourments, leur manière de s’exprimer avec gravité et leur désir d’émancipation en font des enfants « adultes », en décalage avec leurs pairs et incompris de leurs parents et tuteurs. L’absolu de leur amour enfantin est le miroir des amours ratées des adultes, qui semblent tous vivre dans les regrets et une certaine solitude. Si c’est à ça que ressemble la réalité adulte, pas étonnant que les enfants veuillent y échapper !
Comme dans chacun de ses films, le style de Wes Anderson s’impose dès la première image. Rien que la scène d’exposition, nous présentant la maison et la famille de Suzy, rassemble ses principaux gimmicks : des cadres très composés et symétriques, des mouvements de caméras rectilignes, des inserts sur les accessoires et un jeu théâtralisé. Tout ceci a bien sûr un côté artificiel qui va de pair avec cette escapade de rêveurs, sur une île qui devient une scène de théâtre à taille humaine.
L’antagoniste le plus impitoyable du film arrive assez tard : Spoiler(cliquez pour révéler)c’est le personnage de Tilda Swinton, personnification des services sociaux qui veulent mettre la main sur Sam – son nom est d’ailleurs littéralement « Services Sociaux ». Son prénom improbable est révélateur de l’absurdité de cet univers, où l’on peut se relever sans blessure après avoir été frappé par la foudre et où un chef scout chapeaute un mariage entre deux enfants avec le plus grand des sérieux avant de les encourager dans leur fuite. Dans ce monde-là, tout finit par s’arranger, même si c’est tiré par les cheveux ; comme cette scène finale où les personnages tombent d’un clocher foudroyé par la tempête et évitent la chute mortelle en se tenant les uns à la main des autres, suspendus au-dessus du vide.
J’ai apprécié ce film pour sa douceur et son côté nostalgique, mais également pour son humour pince-sans-rire. Le sérieux des personnages accolé à l’absurdité des situations donne un résultat assez savoureux. Pour moi, la scène qui en est la plus représentative est celle où Suzy et Sam discutent de leur mariage avec gravité, mais sans qu’on les entende, à deux pas d’un gamin qui saute sur son trampoline et capte toute notre attention. Une mise en scène incongrue, drôle et riche de signification : encore une fois, on souligne l’ambiguïté des deux protagonistes qui oscillent entre l’enfance et l’âge adulte.
Afficher en entierJ'ai regardé ce film parce qu'il m'avait été conseillé par mon frère. J'ai bien aimé l'univers tout en couleur que présente l'histoire, cependant je n'ai pas réussi à vraiment accrocher. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs, mais les personnages étaient tout de même intéressants.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Wes Anderson
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Twentieth Century Fox : 2 films
Focus Features : 1 film
Buena Vista Pictures : 1 film
Touchstone Home Video : 1 film
20th Century Fox : 1 film
Sony Pictures : 1 film
Touchstone Pictures : 1 film
Twentieth Century Fox France : 1 film
Biographie
Wes Anderson fait des études de philosophie et, parallèlement, tourne des courts-métrages en super 8 qui le forment à la technique cinématographique et notamment au montage, à l'édition.
Il rencontre Owen Wilson à l'université du Texas à Austin dans un cours d'écriture de scénario avec qui il deviendra vite ami, jusqu'à partager la même chambre d'internat. C'est ainsi que les frères Wilson : Owen Wilson, Andrew et Luke joueront régulièrement dans ses films. Par la suite, il décide de ne pas suivre des études de cinéma, se déclare autodidacte, et se lance dans un projet de court-métrage qui deviendra bientôt Bottle Rocket, son premier long-métrage.
En 1998, toujours aidé par les frères Wilson, il réalise Rushmore qui lui permet d’être découvert par la critique[Qui ?] et de rejoindre la catégorie des jeunes cinéastes américains étiquetés « indépendants »[Par qui ?].
Profitant de son amitié avec les désormais célèbres Luke et Owen Wilson, Wes Anderson réalise, en 2001, La Famille Tenenbaum, film pour lequel il réunit Gene Hackman, Anjelica Huston, Ben Stiller et Bill Murray. Ce dernier incarnera ensuite Steve Zissou dans La Vie aquatique.
Dans son cinquième long-métrage, À bord du Darjeeling Limited, Wes Anderson retrouve Owen Wilson, accompagné cette fois de Jason Schwartzman (déjà présent dans Rushmore) et Adrien Brody. Le film est projeté précédé du court métrage Hôtel Chevalier (2005), dans lequel jouent Schwartzman et Natalie Portman.
Il réalise en 2010 Fantastic Mr. Fox, film d'animation adapté de la nouvelle Fantastique Maître Renard de Roald Dahl, auquel George Clooney, Meryl Streep et Bill Murray prêteront leur voix. Ce film remporte le Cristal du long métrage au Festival international du film d'animation d'Annecy.
Roman Coppola est réalisateur deuxième équipe de ses films depuis La Vie aquatique, ainsi que scénariste et producteur de À bord du Darjeeling Limited.
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Wes_Anderson)
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