Les commentaires de Naodeme
J'ai lu le livre (Le passeur) quand j'étais plus jeune, à sa sortie. Cela fut une révélation pour moi qui m'a rendu quelque peu accro aux livres.
Lorsqu'on m'a parlé de cette adaptation, j'étais partagé: LE livre qui m'a marqué au ciné? J'étais à la fois enthousiaste et angoissé. Alors oui, quelques libertés ont été prises quant au scénar original... mais j'ai envie de dire qu'on s'en fout! L'équipe qui a bossé sur le film a respecté le message, le thème même du livre en gardant son atmosphère. Cette ambiance qui fait l'âme de l'histoire. Personnellement, je ne vois pas comment "Le passeur" aurait pu être porté à l'écran autrement.
Un film profond traitant de l'humanisme, des émotions et du libre arbitre. ne vous attendez donc pas à de l'action survoltée est des explosions en feu d'artifice mais à gifle émotionnelle. Et si vous avez aimé "The Giver", je ne peux que vous conseiller de vous procurer le livre, facile à lire, court, rayon jeunesse.
Afficher en entierQuand je pense à cet opus, je me dis que c'est le meilleur ... casting. Quelle belle affiche on a là, des acteurs que j'aime voir et revoir, qui me chamboulent souvent par leur choix de films, ici plus qu'ailleurs... en fait. Mais une fois ce bon souvenir passé, et que l'on me demande ce que j'ai pensé du film, je dois reconnaître que je ne sais pas trop. C'est un "Alien"... donc j'aime bien, non? Ca ne suffit pas? Il y a de très bonnes scènes aussi, de belles images et des répliques! Toujours pas? Bah, j'étais tout p'tit quand je l'ai vu la première fois (c'était aussi mon premier "alien"), et j'ai eu super peur, j'ai fait plein de cauchemars à cause de l'alien "nouvelle génération", alors c'est un film qui m'a marqué! Voilà, ne m'en demandez pas plus et laissez-moi dans l'idée que j'aime ce film!
Afficher en entierLong est le débat; lequel du premier ou du second est le meilleur? A mon sens, la question est mal posée. Le premier est plutôt un film de science-fiction lorgnant du coté du thriller-horrifique. Le second est plutôt un film de science-fiction militaire flirtant avec l'action. Deux approches très différentes du même thème. Quoiqu'il en soit, tout en étant plus bourrin, ce second opus développe le personnage de Ripley, seule survivante de la première rencontre avec le xénomorphe (désolé pour le spoil pour ceux qui n'auraient pas vu le premier... euh... vous faites quoi ici si vous n'avez pas vu "Le huitième passager"?). Ripley, après s'être plus ou moins fait botter le derrière, revient avec de gros flingues et quelques gros bras pour tuer la bête. Très américain. Usant des codes habituels du genre et du premier opus, le retour d'alien s'avère être diablement efficace.
A mon sens, probablement le film de la franchise qui a le moins bien vieillit, un peu trop marqué 80.
Afficher en entierUn "monstre" qui aura marqué le cinéma, au propre comme au figuré. Un "double" huit-clos angoissant; enfermé dans un vaisseau, perdu au milieu de l'espace. Aucune fuite, aucune aide possible. Des membres d'équipage d'un vaisseau commercial qui ne sont pas sur-bourré d'amphet, cohérents, réalistes, une jeune "minette" qui veut sauver sa peau autrement qu'en hurlant, courant, pleurant (bon, y en a une, mais c'est le personnage censé exprimer l'angoisse et la terreur palpable... et puis, c'est pas l'héroïne). Un monstre aussi esthétique qu'efficace et effrayant. Et tout cela, à la fin des années 70... Pour moi, l'un des meilleurs films du genre (et de la saga).
Afficher en entierProbablement l'épisode de la saga que j'aimais le moins, que je ne comprenais pas (non pas à cause du scénario, mais bel et bien par rapport au reste de la saga).
Mais avec le temps, je dois reconnaître qu'Alien 3 m’apparaît comme un très bon épisode, plus fondamental que le second opus, plus oppressant, sombre et psychologique... bref, plus dans la lignée du premier. Et, même si je l'ai longtemps détestée, pour ne pas dire haïe, quelle fin!
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Le film qui me fait voyager dans le temps... On peut bien se dire qu'on est adulte, il reste toujours une part d'enfance en nous, et pour moi, je la retrouve, entre autres, dans Jurassic Park. Victime de la dinomania de l'époque (souvenons-nous toutes ces caisses remplies de dinosaures plus ou moins réussis en plastique, des jeux vidéos pas très réussis), il m'est impossible de voir le moindre défaut dans ce film. N'essayez pas, je serai d'une mauvaise foi absolue, argumentant de la même réplique; "Nan! C'est même pas vrai d'abord! Tu mens!"
Et puis, Steven Spielberg lui-même fait dire à Hammond; « Oh je vois les puces ! Maman tu vois pas les puces ? »
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