Ed Harris
Réalisateur
Activité et points forts
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.25/10Nombre d'évaluations : 20
0 Citations 7 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Excellent film sur les débuts de l'artiste Jackson Pollock jusqu'à sa mort. Un jeu d'acteur très bon surtout de la part d'Ed Harris.
Afficher en entierDes western, j'en ai vu, beaucoup, mais des bons, pas souvent. Celui-là, c'est un très bon.
Afficher en entierce western est vraiment excellent ! Les acteurs sont très très bons.
L'intrigue est très bien réalisée, les décors magnifiques et les petites touches d'humours très bien dosées. Que demander de plus ?
Afficher en entierUn western fait de bric et de broc, dont le montage est en outre particulièrement exécrable.
Tous les ingrédients y étaient pourtant pour faire quelque chose de convenable: une paire de pistoleros redresseurs de tort, des méchants plus noirs que charbon, une demi-mondaine se prétendant veuve . Mais que vient faire de taureau Hereford au milieu du film? Ces malheureux indiens Chiricahuas échappés d'une réserve étaient très peu apaches, n'est-il pas! Cela confirme l'impression que le scénario a brutalement été modifié plusieurs fois. Le résultat global est particulièrement pitoyable. Vive les westerns des années 70-80: au moins les scénaristes connaissaient leur métier et les réalisateurs tiraient le meilleur parti de bon scénario.
Afficher en entierLes Plus :
- Le jeu des acteurs, en particulier Ed Harris que j'aime beaucoup et Viggo Mortensen (l'inoubliable Aragorn du Seigneur des anneaux), mais n’oublions pas également l'excellent Jeremy Irons.
- L'immersion dans les décors de l'époque
- l'humour dans le scénario
Les Moins :
- Scénario un peu léger qui aurait mérité d'être retravaillé
- Des scènes de longueurs, dommage !
- Le personnage de Renée Zellweger que j'ai eu envie de baffer tout le long du film ^^
Afficher en entierMagnifique film, un peu différent des classiques westerns. Il y a toujours des bons et des méchants mais l'intrigue est plus profonde, plus réfléchie. Les acteurs sont excellents. Les décors réussis et les paysages tellement bien filmés qu'on a envie de partir tout de suite au Nouveau-Mexique. Seul reproche à faire, il y a peu d'action, ça ne tire pas dans tous les coins, on n'est pas habitué à ça. Ou alors c'est volontaire, pour donner une ambiance différente. En tout cas l'humour léger est présent tout le long. Au final, on apprécie.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Ed Harris
et autres évènements
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Studios
Columbia TriStar Films : 1 film
Biographie
Natif du New Jersey, Ed Harris a commencé par s'illustrer dans le football américain au lycée et à la Columbia University, où il étudie deux ans avant de s'inscrire à l'University of Oklahoma. C'est là qu'il commence à s'intéresser au théâtre, afin, dit-il, de surmonter sa timidité. Au début des années soixante-dix, il s'établit à Los Angeles et entre au California Institute of the Arts, où il obtient sa licence en 1975. Il s'illustre alors dans de nombreux spectacles, dont Un tramway nommé Désir et Hamlet. Il ne cessera par la suite de revenir au théâtre, sur la côte ouest ou est, in et off Broadway, glanant au passage de nombreuses récompenses, dont le Village Voice Obie Award (récompense pour les pièces off Broadway) du meilleur acteur pour son rôle dans Fool for Love de Sam Shepard.
Après quelques apparitions dans des séries télévisées, Ed Harris obtient son premier rôle au cinéma en 1978 dans Morts Suspectes de Michael Crichton. En 1981, il est la vedette de Knightriders de George A. Romero, qu'il retrouve en 1982 pour Creepshow, adapté de Stephen King. Il retrouvera l'univers kingien à deux reprises, notamment dans Le Bazaar de l'épouvante. On le décrit parfois comme un "sex-symbol pour femmes intelligentes". Bien qu'il soit relativement peu connu du grand public, L'Etoffe des heros (1983), Apollo 13 et Nixon (1995), La Firme (1993), et Stalingrad (2001) portent son empreinte. Souvent "casté" dans des rôles d'homme à poigne, policier, sheriff, ou militaire, il reste tout de même inclassable, alternant les blockbusters avec des films plus risqués : il affronte les profondeurs de l'océan dans le film fantastique Abyss (1989), où il paie de sa personne en se blessant sur les cascades, joue les terroristes dans Rock (1996), l'enquêteur manipulé aux trousses de Clint Eastwood dans Les Pleins Pouvoirs (1997), le démiurge cathodique dans le prophétique The Truman Show (1998)... ou encore l'agent secret trouble dans Un homme d'exception (2001) ou l'artiste rongé par le Sida dans The Hours (2002).
Il endosse la casquette de producteur/réalisateur pour le long-métrage Pollock en 2000. Totalement passionné par son sujet, la biographie du peintre américain Jackson Pollock, Harris fait construire un studio dans sa propriété pour s'initier à la peinture et étudier le style pollockien. Salué par la critique, il tient le rôle principal aux côtés de son épouse Amy Madigan, et obtient une nomination pour l'Oscar du Meilleur Acteur.
En 2005, il incarne un mafieux défiguré à la poursuite de Viggo Mortensen dans A history of violence de David Cronenberg, présenté au festival de Cannes. L'année d'après, il se met une fois encore dans la peau d'un célèbre artiste, interprétant le compositeur Ludwig van Beethoven dans une biographie fictive, Copying Beethoven, aux côtés de Diane Kruger, qu'il retrouve en 2007 dans Benjamin Gates et le Livre des Secrets.
L'acteur se consacre dorénavant à la réalisation de son deuxième film, Appaloosa, un western qu'il tourne au Mexique, avec Viggo Mortensen, Renée Zellweger et Diane Lane, et dans lequel il joue également. On peut aussi voir Ed Harris dans Gone Baby Gone de Ben Affleck (2007), où il endosse à nouveau le rôle d'un enquêteur tenace. Il réitère l'expérience dans Cleaner, pour lequel il partage l'affiche avec Samuel L. Jackson et Eva Mendes. Dans Les Chemins de la liberté (2010), le comédien joue, aux côtés de Colin Farrell et Jim Sturgess, un prisonnier solide et aguerri prêt à parcourir des milliers de kilomètres à pieds pour rejoindre l'Inde depuis un camp de Sibérie. L'année suivante, il campe un ignoble homme d'affaires dans le thriller Dos au Mur.
2013 est une année éclectique pour Ed Harris, dont l'indémodable "gueule" est toujours très sollicitée. Il participe en effet à No Pain No Gain de Michael Bay, est la tête d'affiche du western Sherif Jackson, et apparaît également au casting du film de science-fiction réalisé par Bong Joon Ho, Le Transperceneige.
source:allociné.
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