Frédéric Beigbeder
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 5.91/10Nombre d'évaluations : 57
0 Citations 23 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Alors pour être sincère, je suis assez déçu du scénario. J'ai trouvé qu'on ne ressentait pas tant que ça l'amour entre les deux protagonistes c'est dommage! Mais sinon c'est un bon film. A dire vrai, je l'ai regardé car je suis une grande fan de Joeystarr et qu'il jouait dedans! Et je n'ai pas été déçu de sa performance. Je l'adore ! Et là son jeu, oh mon dieu, conaissant le personnage, ça m'a fait tout bizarre. Chapeau l'artiste !!
Afficher en entierJ'ai bien aimé l'histoire d'amour mais je n'ai pas aimé la façon dont elle était présentée.
Afficher en entierJ'ai bien aimé ce film. Je n'ai pas lu le livre donc je ne peux pas juger l'adaptation mais il m'a plu.
Afficher en entierFrais et original.
On s'attend parfois à des propos un peu lourds du personnage principal, mais l'ensemble de l'oeuvre se laisse bien voir.
Afficher en entierUne comédie fraîche et légère. J'ai trouvé l'interprétation de Gaspard Proust plutôt moyenne, mais globalement dans l'ensemble les jeux d'acteurs sont bons. Le scénario est bien ficelé et l'enchaînement de l'histoire cohérent. Je déplore toujours autant la présence quasi continuelle de scènes ou d'allusions sexuelles sur un film d'une heure et demi. Qu'il y en est oui, mais autant ce n'est peut-être pas nécessaire. C'est une caractéristique assez française d'après moi.
En résumé, une comédie qui détend et plutôt correcte dans son ensemble.
Afficher en entierPlutôt super sympa, super drôle et super caricatural. J'ai bien aimé ce film qui aborde les excès du monde de la mode et de la beauté. Je salue la caricature de L'Oréal qui est plutôt super bien réalisé..
Afficher en entierMoi qui aime tant Louise Bourgoin, je suis déçue, de l'histoire de la façon dont c'est joué, des personnages.
C'est vrai, il y a quand même quelques remarques drôles mais cela reste bien maigre à côté du reste.
Afficher en entierUne satire délirante sur le monde du mannequinat, de la pub, du business malsain...La bonne humeur ne retombe jamais, les critiques sont bien vues, les gags fonctionnent et l'humour subtil est constant. Beigbeder réalise un film réjouissant, qui passe à toute vitesse et qui trouve en ses acteurs des interprétations digne de son scénario.
Afficher en entierChronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.fr/2016/07/chronique-cinema-lideal-de-frederic.html
Comme tous les films de Frédéric Beigbeder, il est question d'une satire. Ici la satire abordée est le monde du mannequinat, ses dérives et ses conséquences. On retrouve beaucoup d'humour dans ce film ainsi que du sarcasme dégagé par le personnage principal incarné par Gaspard Proust sur ce monde pour qui seule la beauté compte.
À l'instar de 99 Fr. il y dépeint l'envers du décor du monde du mannequinat. Ce qui est assez dérangeant c'est le détachement avec lequel le personnage principal énumère, sous forme d'anecdotes ce qu'il a pu rencontrer dans ce domaine sans forcément qu'il est trouve quelque chose de choquant.
On voit également les propres turpitudes de ce monde qui profit du manque de confiance des femmes pour s'enrichir (le monde des cosmétiques notamment). On voit également qu'une réputation peut être entachée grâce à la place prédominante des réseaux sociaux.
Ce film aborde donc plusieurs sujets et c'est avec une certaine condescendance que le réalisateur en parle. Certains sont tabous, ils sont donc révélés au grand jour dans ce film.
J'aime beaucoup le personnage d'Octave car il veut se donner l'impression d'être une personne insensible, qui prend les femmes pour des objets et qui profite des gens alors qu'en fait il se révèle être totalement sensible quand cela aborde sa propre histoire personnelle. Ce film est donc assez caricatural, satirique, humoristique, cela nous permet de passer un beau moment car finalement l'auteur dit tout ce que tout le monde pense tout bas.
En bref, cela convient aux personnes avec de l'ouverture d'esprit car la façon dont les choses sont abordées peut paraître choquante.
Afficher en entieroui faut aimer les films français. j'ai regardé jusqu'au bout mais il n'y a pas de quoi en faire un plat
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Biographie
Née à Neuilly-sur-Seine d’une mère traductrice de romans à l’eau de rose et d’un père recruteur, Frédéric Beigbeder grandit dans un cadre bourgeois. Alors âgé de trois ans, ses parents divorcent. Il vit par la suite avec sa mère et son frère, Charles. A 13 ans, il fait sa première apparition à la télévision sur le plateau de l’émission des frères Bogdanov Temps X où il est interrogé sur la science-fiction. Les années passent et le jeune homme intègre les lycées Louis le Grand et Montaigne.
S’ensuivent des études à Science-Po puis au Celsa, où il obtient un DESS en marketing et publicité. C'est à ce moment qu'il se lie avec le comédien Edouard Baer, le musicien et écrivain Bruno de Stabenrath ou encore le galeriste et journaliste Emmanuel de Brantes. Frédéric Beigbeder publie son premier roman Mémoires d’un jeune homme dérangé en 1990, lui permettant de se faire remarquer par une prestigieuse agence de publicité, où il est embauché comme concepteur-rédacteur à l'âge de 24 ans.
Par ailleurs critique littéraire, le jeune écrivain chronique notamment pour les magazines Elle, Paris Match, Voici ou encore VSD, mais également pour la télévision dans les émissions Le Masque et la Plume et Rive droite / Rive gauche sur Paris premiere. Il officie en outre au Figaro Magazine pour la même fonction depuis 2010. Suivent de 1994 à 1999 les parutions de ses romans Vacances dans le coma, L’amour dure trois ans et Nouvelles sous ecstasy, puis sa première apparition au cinéma, aux côtés d’Arielle Dombasle et de Maria de Medeiros dans la comédie dramatique Les Infortunes de la beauté de John Lvoff.
En 2000, peu de temps après la sortie de son livre 99 Francs, il est licencié pour faute grave par une agence de publicité. Si les dénonciations sur l’envers du décor du monde de la publicité contenues dans son roman créent une polémique, elles séduisent toutefois le réalisateur Jan Kounen qui décide d’adapter 99 francs en 2006. Jean Dujardin y obtient le rôle-titre. Beigbeder participe quant à lui à la rédaction du scénario et y fait une apparition extravagante, n’hésitant pas à se caricaturer. Pour les élections présidentielles de 2002, l’homme froisse son costume de bobo de Neuilly et se fait conseiller du communiste Robert Hue. Année durant laquelle son livre 99 Francs fait l’objet d’une pièce de théâtre mise en scène par Stéphane Aucante.
Un an plus tard, l'auteur est récompensé par le prix Interallié pour son roman Windows on the world. En 2005, il effectue une apparition dans le drame Imposture de Patrick Bouchitey dans son propre rôle. L’année suivante, il fait une nouvelle apparition, cette fois-ci dans le film Comme t'y es belle ! de Lisa Azuelos, dans le rôle d’un séducteur. Petit à petit, Frédéric Beigbeder parvient à se forger l’image d’un personnage controversé et contradictoire. En 2009, il remporte le prix Renaudot grâce à son livre Un roman français, et joue le conducteur d’une Mercedes dans la comédie Beur sur la ville de Djamel Bensalah deux ans plus tard.
L’année 2011 est quant à elle une année charnière dans sa carrière, puisque c’est à ce moment qu’il fait ses premiers pas derrière une caméra. Pour sa première réalisation, il choisit d’adapter son troisième roman avec un film éponyme, L'Amour dure trois ans. Louise Bourgoin, Gaspard Proust, Joey Starr et Jonathan Lambert y tiennent les rôles principaux.
Auteur : Alexandre Jourdain
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