Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
60 141
Membres
43 275

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Henri Verneuil

Réalisateur

461 spectateurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par bloodymarie 2013-12-19T18:26:28+01:00

Biographie

D'origine arménienne, Achod Malakian de son vrai nom est contraint de fuir avec sa famille le génocide qui a lieu dans son pays d'origine. Ayant trouvé refuge à Marseille, il entre à l'École Navale des Arts et Métiers d'Aix-en-Provence dont il sort en 1943 avec un diplôme d'ingénieur. Il se laisse alors tenter par le journalisme, devient rédacteur en chef du magazine Horizon (1944-1946), puis critique de cinéma à la radio marseillaise. Peu après, il monte à Paris et devient l'assistant-réalisateur de Robert Vernay en 1949.

Auteur d'une vingtaine de courts métrages entre 1947 et 1950, il fait une rencontre déterminante en la personne de Fernandel, qui accepte de jouer dans son premier long métrage, La Table aux crevés, en 1951. De cette fructueuse collaboration naîtront quelques films à succès (Le Fruit défendu, Le Mouton à cinq pattes, Le Grand chef...), dont le plus emblématique reste La Vache et le prisonnier (1959), fort de plus de 8,8 millions de spectateurs. Autre monstre sacré à lui apporter la gloire : Jean Gabin. A l'actif de ce formidable duo, de véritables perles du cinéma populaire français dans les années 60 : Le Président (1961), Un singe en hiver (1962) et deux polars également interprétés avec brio par Alain Delon - Mélodie en sous-sol (1963) et Le Clan des Siciliens (1969).

Tenté par une carrière internationale, Henri Verneuil part en Italie et au Mexique poursuivre son oeuvre. Anthony Quinn, avec qui il tourne La Vingt-cinquième heure (1967) et La Bataille de San Sebastian (1968), l'accompagne dans ses démarches. Le réalisateur s'entoure également de stars hollywoodiennes (Dirk Bogarde, Yul Brynner, Henry Fonda) pour son film d'espionnage Le Serpent en 1972. Dans les années 70, il s'oriente principalement vers le registre de l'action, genre auquel il a donné ses lettres de noblesse en France avec le très viril Cent mille dollars au soleil (1964). Et ça tombe bien, puisque Jean-Paul Belmondo, au casting de ce film, sera de nouveau de la partie pour les très efficaces Peur sur la ville (1975) et Le Casse (1971) et le moins glorieux Morfalous (1984).

Entre deux productions commerciales, Henri Verneuil tente de marcher sur les plates-bandes d'Yves Boisset en proposant un cinéma plus engagé avec trois "films enquêtes" : Le Corps de mon ennemi (1976), critique à l'égard des notables de province, I... comme Icare, nommé au César du Meilleur scénario en 1980, et Mille milliards de dollars (1982), dénonciation en bonne et due forme de la mondialisation économique naissante. Dans la deuxième moitié des années 80, Henri Verneuil déserte, à l'instar de Belmondo, la scène cinématographique française pour n'y revenir qu'en 1991 avec l'autobiographique diptyque Mayrig / 588, rue paradis, récit de son enfance et de ses souvenirs d'immigrés. Cinq ans plus tard, couronnement d'une belle carrière, il recevra un César d'honneur pour l'ensemble de son œuvre.

( origine : allo ciné)

Afficher en entier

Classement dans les cinéthèques

Diamant
129 spectateurs
Or
245 spectateurs
Argent
215 spectateurs
Bronze
195 spectateurs
Vu aussi
381 spectateurs
Envies
69 spectateurs
Pas apprécié
11 spectateurs
PAV
37 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.44/10
Nombre d'évaluations : 199

0 Citations 57 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Henri Verneuil

Sortie France : 1992-01-15

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par Eastwood 2021-09-16T10:15:33+02:00
Un singe en hiver

Gabin / Belmondo un régal !!!

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Eastwood 2021-09-21T11:12:31+02:00
Le Mouton à cinq pattes

Le film est un prétexte à un festival Fernandel savoureux. Et la présence de Louis De Funès est toujours un plus. Comédie sympathique.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Eastwood 2021-09-29T16:05:21+02:00
Cent mille dollars au soleil

excellent film de Verneuil avec les dialogues sublimes de Michel Audiard. Belmondo et Ventura sont épatants dans se film plein de punch.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Noone 2021-10-10T15:49:54+02:00
La Vache et le prisonnier

Bien avant sa dernière aventure avec Ulysse, le vieux cheval camarguais, Fernandel se promena (si on peut appeler ça une promenade) avec Marguerite, une vache allemande.

Et cette balade à travers l'Allemagne pour échapper au STO et à la ferme où il est prisonnier nous mène du rire aux larmes (ou presque et du drôle au sérieux de la guerre et des conditions de détention des prisonniers avec toujours

C'est bien écrit, bien joué et j'ai grandement apprécié ce duo improbable qui traversa l'Allemagne ensemble.

Un bon film!

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Eastwood 2022-01-18T14:03:54+01:00
Week-end a Zuydcoote.

Très bon film de guerre avec Jean-Paul Belmondo et Jean-Pierre Marielle en prime.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Chamousisthe 2022-11-06T12:38:19+01:00
La Vache et le prisonnier

Une vache avant un cheval mais non besoin d'un autre comédien pour donner la réplique à cet acteur.

Ce film permet aussi de sourire ou même rire de cette époque difficile.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Chamousisthe 2022-11-06T13:35:03+01:00
Un singe en hiver

Quelle belle rencontre !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par pwachevski 2023-01-29T12:32:05+01:00
Le clan des Siciliens

Je suis plutôt agréablement surprise par ce film, dans la mesure où ça ne fait pas franchement partie de mon "univers cinéma" de base. Je préfère nettement les thrillers aux polars ; quant aux films de gangsters, ça m'ennuie souvent d'une façon assez prodigieuse. Par ailleurs, je ne porte aucun culte aux vieux films, je pense qu'on peut avoir une culture cinéma respectable malgré des lacunes en la matière, et que le vrai juge de paix c'est "est-ce que le film vous a plu ?" et pas "vous devez aimer ce film parce qu'il a eu du succès en son temps" ; il y a clairement des choses qui ont très mal vieillit. Bref, tout pour me plaire sur le papier !

Pourtant, j'ai passé un très bon moment. Le rythme est accrocheur et je me suis très facilement laissée prendre aux jeux de ces mafieux italiens voleurs de diamants, j'ai trouvé ça tout simplement distrayant. Le scénario est simple, pas particulièrement original, mais efficace, on pose clairement les enjeux et les personnages, on propose un enchaînement d'actions qui est globalement convainquant. On arrive a donner une vraie densité aux personnages, avec un passé, une famille, etc. La mise en scène est attrayante, avec une assez grande variété de lieux montrés (on va voyager, on va avoir des scènes dans des avions, des scènes plus dans l'esprit d'un huis clos,...). Le casting 5 étoiles tient ses promesses également, même si c'est des rôles un peu déjà vus pour eux.

Mon seul gros regret sera, comme dans beaucoup de films de cette époque, le traitement des personnages féminins qui est assez catastrophique. On est complètement dans le personnage féminin plante verte, qui en plus de servir à pas grand chose véhicule une image hyper réductrice. Le genre de construction de personnage où on se dit que finalement, s'il n'y avait pas eu du tout de femmes dans le film, ça aurait été plus crédible. Spoiler(cliquez pour révéler)Je trouvais le truc bizarre au visionnage, et mes recherches me l'ont confirmé : le personnage de Jeanne n'était initialement PAS prévu au scénario. Il a été rajouté en dernière minute car son interprète, Irina Demick, était alors en couple avec un gros producteur de cinéma. Je ne lui jette pas la pierre, c'était une autre époque et elle a mené sa barque comme elle pouvait. Mais à l'écran, son personnage m'a vraiment semblé bancal. Dès sa première scène on se doute que Sartet va coucher avec elle - ça manque pas. Et sur la fin, je trouve vraiment dommage de fonder le retournement de situation sur cette histoire de cœur, en plus révélée d'une manière assez absurde (par un enfant qui voit une scène de baisé à la télé ?!). On parle de mafieux sans pitié là, on n'avait pas besoin de ça pour qu'ils trahissent l'un des leurs ! Ce n'est pas cohérent pour moi que cette trahison ne soit pas juste fondée sur l’appât du gain et le machiavélisme pur, mais par la vengeance amoureuse. Certains diront que c'est qu'un détail, mais non, pour moi ça remet vraiment en cause la crédibilités de la fin du film et des personnages, qui se font donc finalement attraper pour un motif futile.

Afficher en entier
Mille milliards de dollars

Un peu long mais génial Dewaere

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Noone 2023-02-19T16:19:02+01:00
Le grand chef

L'arroseur arrosé... l'attrapeur attrapé... un thème vieux comme le cinéma mais quand on mets Fernandel et Gino Cervi face à un enfant qui va leur en faire voir de toutes les couleurs, ça marche plutôt bien. C'est pas toujours des plus fins, mais les deux adultes face à l'enfant se complètent si bien que j'excuse les quelques moments un peu creux. Et pour peu qu'on s'imagine Don Camillo et Péponne face à ce petit monstre, c'est encore plus drôle. Pas le meilleur de Verneuil, Fernandel et Cervi mais une bonne découverte tout de même.

Afficher en entier

Dédicaces de Henri Verneuil
et autres évènements

Aucun évènement prévu