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Commentaires sur ses livres

Jane Campion

Par pwachevski le 22 Août 2016 Editer
pwachevski
Dommage que l'histoire soit autant déjà vu ! On se croirait dans un livre des sœurs Brontë ou de Jane Austen, en moins bien. Même si ce n'est pas des auteurs dont je raffole, je reconnais quand même leur talent, qui est d'autant plus visible quand on regarde comme ici une histoire dans le même genre, mais pas écrit par elles. Si l'ambiance est similaire, il en manque les subtilités qui font que ça marche.
"Bright Star" se passe au XIXème siècle, il y a des bourgeoises en costume à frous-frous qui font du point de croix, de la musique de chambre et des danses passablement ridicules, il y a des drames à base de maladie qui n'existent plus dans les pays industrialisés et, surtout, il y a un couple qui s'aime puis se déteste puis s'aime à nouveau puis il y a de la rivalité puis ils se réconcilient et blablabla, bref, il y a une romance prévisible en tout point... Mais on n'y croit pas vraiment.

Je ne me suis pas du tout senti emportée par l'histoire qui est trop romanesque pour être crédible. De plus, justement du fait de ce coté romanesque, je trouve l'aspect biographique du film totalement sans intérêt. On a complètement le sentiment de voir une fiction, les personnages pourraient être n'importe qui, pas la peine de nous sortir un poète anglais connu. Du coup, l'un dans l'autre, je dois bien dire que le scénario du film ne m'a moyennement, voire pas du tout, emballé.

J'ai bien aimé le personnage de John Keats, mais j'ai détesté Fanny Brawne, qui est assez égocentrique et ne dégage aucune sympathie. J'ai trouvé les costumes de cette dernière ridicules. Une version assez cliché des costumes de cette époque. Et en plus une version cheap ! Je ne dis pas qu'il fallait demander à Jean-Paul Gaultier de faire les costumes, mais il y a quand même un minimum. Là, je suis désolée, mais ça se voit à 3km que les costumes ne sont pas faits dans des tissus de qualité et tombent comme un sac à patate sur le corps d'Abbie Cornish qui joue Fanny. C'est une faute de réalisation à mon sens, sachant que Fanny est censée être amatrice de mode et de couture, mais c'est pourtant la personne la plus mal fagotée du film. Du coup on ne peut pas y croire. Les décors sont aussi limites, on a parfois franchement l'impression d'être dans une maison du XXIème siècle.

Par contre, c'est plus fort que moi, mais j'adore Jane Campion. J'adore ses réalisations, j'adore son style, j'adore sa façon de montrer à l'écran les sentiments de ses personnages, avec délicatesse, avec pudeur, avec subtilité, avec sensibilité et sans mièvrerie (si le scénario est parfois mièvre, la réalisation n'en rajoute pas). Ce film est juste BEAU. La photographie est absolument sublime. La luminosité est parfaite. Les plans sont précis. Si les décors en intérieur laissent à désirer, comme je l'ai déjà dis, ceux en extérieur valent par contre le détour. J'ajouterais pour finir que j'ai bien aimé le casting. Il n'y a pas de grosse star, mais néanmoins des acteurs dont la tête nous dis quelque chose, qu'on a tous déjà vu quelques part, et qui surtout font le job, avec des interprétations justes et délicates, bien mise en valeur par la réalisation. Il y a également une bonne alchimie entre les deux acteurs principaux, Abbie Cornish et Ben Whishaw. Tout ça rend le film somme toute assez agréable à regarder malgré ses défauts.

Bref, même avec un scénario pas tip-top, je préfère encore ce film à une adaptation de Jane Austen par Joe Wright, qui elle a un bon scénario mais une réalisation parmi ce qui se fait de plus ringard, mièvre et insupportable, avec les grimaces et le surjeux permanent de Keira Knightley en prime.
A propos du livre :
Bright star
Bright star
Par Cellophane le 3 Janvier 2022 Editer
Cellophane
Le film est très réussi mais je reste mitigé.
Indéniablement, il n’y a rien à redire sur la reconstitution, les décors, les costumes ou les comédiens : tout est parfait et on a véritablement l’impression de se retrouver en 1925 et la dure vie de cowboy – bien que ça aille pour le mieux pour tout le monde.
Les comédiens sont excellents et, pour ceux que je connais le mieux (les deux frères et Kirsten), ils sont vraiment différents de ce que j’ai pu voir d’eux, pleinement investi de leur rôle…
On a même droit à une conclusion qui explique et justifie tout le film.
Sauf que…
Avant d’arriver à cette conclusion, on ne sait pas où veut en venir le film, quel est son sujet… Rivalité, jalousie, homosexualité, découverte de soi, alcoolisme, drame qui finira par un meurtre ? Et j’en passe…
Si certains spectateurs peuvent se laisser porter, moi, ça m’a gêné.
Tout est assez anecdotique jusqu’à ce final qui donne du sens à l’ensemble. Mais avant le final, l’ensemble n’avait donc pas de sens pour moi…
J’ai bien aimé avoir fini le film mais j’ai parfois été gêné de ne pas savoir où on m’emmenait, malgré d’excellentes scènes qui perdaient leur saveur parce que je n’en voyais pas l’intérêt avant la fin.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Fells le 14 Juin 2022 Editer
Fells
Une très belle histoire, portée par la sensibilité de Jane Campion. Si au premier visionnage j'ai pu trouver cette œuvre singulière, maintenant je conçois de l'affection pour ces personnages désillusionnés, un goût certain pour ces décors naturels magnifiques, de la joie et de la tendresse à la vue de la complicité entre Ada et sa fille. C'est un film magnifique, dans lequel on embarque avec nostalgie, et qui célèbre l'amour sous toutes ses formes: amour de l'art, l'amour filial, l'amour romantique.
A propos du livre :
La leçon de piano
La leçon de piano
Par Fells le 27 Mai 2022 Editer
Fells
On retrouve dans cette œuvre l'aspect contemplatif signature de Jane Campion. Les personnages sont admirablement ancrés dans leur réalité et leur territoire, et les performances de Benedict Cumberbatch et Kirsten Dunst sont profondes, et nous prennent aux tripes.

Mais malgré une ambiance tendue d'émotion, je n'ai pas réellement saisi le thème prédominant. On dirait que tous sont traités avec la même intensité. J'ai eu l'impression que j'assistais à un déroulement de scènes de vies, sans qu'il y ait à aucun moment de montée de la tension dramatique.

J'ai attendu un coup de théâtre, une scène qui remuerait tout ce petit monde, mais elle n'est jamais arrivée. La fin m'a rendu perplexe et frustrée, et je ne comprenais pas dans quelle direction nous avait mené le film.

Donc bien que j'ai été emportée par l'ambiance et les personnages, le scénario fouillis et la fin plus que confuse pour moi m'ont déçue. Dommage, mais peut-être le revisionnerai-je, pour pleinement en saisir les subtilités.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Apollo8 le 5 Janvier 2022 Editer
Apollo8
Je suis mitigée sur ce film. Je m'attendais à une romance dans le même état d'esprit que Bright Star de la même réalisatrice, mais j'étais loin d'imaginer que ce film serait aussi sombre.

C'est peut-être intentionnel, mais je l'ai trouvé assez froid et dérangeant. Il est difficile de cerner les pensées et les motivations des personnages. Malgré cela, le film est porté par une belle musique.
A propos du livre :
La leçon de piano
La leçon de piano
Par pwachevski le 23 Décembre 2021 Editer
pwachevski
Le western, genre cinématographique de l'âge d'or d'Hollywood par excellence, largement ringardisé et décrié ensuite, entre son approche historique biaisée et ses codes sociaux complètement désuets, très peu #MeToo et encore moins #BlackLivesMatter, tente depuis quelques années doucement mais sûrement un come-back, avec des films qui tentent justement d'insuffler une approche plus actuelle à ce genre. On en a ainsi vu des plus poétiques (Danse avec les loups), des avec une technique cinématographique irréprochable (The Revenant), on en a vu qui mettait à l'honneur des femmes (Jane Got a Gun) ou des minorités (Django Unchained). Et là, sauf erreur de ma part, c'est pour la première fois qu'on s'aventure aussi frontalement à déconstruire la glorification abusive du mâle blanc hétéro et viril, dont on fait preuve dans les westerns classiques.

Mâles blancs hétéros et virils de 2021, ne partez pas en courant, on fait quand même ça avec beaucoup de finesse et de tact, on ne verbalise d'ailleurs quasiment pas les choses, on cherche pas non plus à tout prix à obtenir l'acceptation des spectateurs, le film vous donne le droit de ne pas être d'accord
Spoiler(cliquez pour révéler)
(la "solution" que trouve Peter face au problème, à savoir un assassinat méticuleusement préparé, est quand même très largement critiquable).
On arrive cependant à mettre cette masculinité/virilité toxique au cœur du film, avec son approche par étape et sa fin énigmatique, presque trop rapide au regard du rythme lent du reste du film, qui laissera sûrement plus d'un spectateur dans l'incompréhension. C'est le genre de film qui vous reste en mémoire, sur lequel vous continuez de réfléchir des heures/jours après. Il provoque le débat plus qu'il ne vous donnera des réponses toutes faites sur ce sujet.

Pour vous servir un Benedict Cumberbatch en très grande forme, dans un rôle vraiment pas évident - c'est toujours difficile de briller quand on joue "le méchant de service". Il est parfait dans son jeu, ne tombe jamais dans le cliché ; c'est d'autant plus étonnant peut-être de la part d'un acteur comme Benedict Cumberbatch qui n'est justement pas du tout dans la vraie vie la caricature de l'acteur outrageusement viril et testostéroné, et pourtant il arrive à le devenir pour ce film. Avec en plus une prestation quand même très complète, qui nécessite un vrai engagement. C'est relativement physique, il faut quand même de savoir cabrioler sur un cheval et d'être à l'aise entouré de vaches, et il faut même savoir jouer du banjo. Le tout dans un film qui a la juste dose d'engagement politique : c'est bien simple, c'est un rôle à Oscar. Je ne prends pas les paris, je dis juste que c'est un rôle calibré pour gagner des prix et qu'il remplit parfaitement son rôle, donc qu'il va en gagner, c'est mathématique.

Pour l'accompagner, un très surprenant Kodi Smit-McPhee. C'est un acteur encore suffisamment inconnu, qu'on connait sans connaitre plutôt, pour qu'il puisse nous laisser sur le cul, car on attendait rien de lui. On peut venir vers ce film pour Cumberbatch, pour Jane Campion ou pour l'amour des westerns ; mais ceux qui sont venus là pour lui doivent quand même être très minoritaires. Lui aussi hérite d'un rôle pas facile du tout. Dans un commentaire qui me précède, on parle de slowburners, en effet il y a de ça. Kodi Smit-McPhee a la lourde tâche de devoir incarner principalement du silence, mais pas tout à fait à la façon d'un Daniel Day-Lewis dans There will be blood ou d'un Ryan Gosling dans Drive, car difficulté supplémentaire : son personnage parle, mais ce qu'il dit n'a pas foncièrement d'intérêt. Ce qui est vraiment important chez Peter, c'est ce qu'il fait sans parler, ce qu'il dit sans le dire, ce qu'il sous entend. Et du coup l'acteur doit en permanence être dans cette ambivalence, d'un personnage qui fait en faite deux choses en même temps. En tant que spectateur, on sait d'ailleurs pas vraiment sur quel pied danser avec lui pendant la quasi totalité du film ; ce qui est bien la preuve qu'on arrive à être sur le fil en permanence.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Sans verser dans l'homophobie comme le fait Phil, au début du film, on le voit malgré nous comme un personnage inoffensif, voire faible. On a le sentiment qu'il se fait manipuler par Phil, qui finira par l'écraser. Mais en même temps, il nous surprend quand on apprend qu'il veut devenir médecin ou quand on le voit ne pas verser dans le sentimentalisme lorsqu'il faut tuer un lapin. Sans arriver à mettre le doigt dessus, on sent qu'il y a quelque chose de pas clair dans son jeu, jusqu'à ce que cette fin magistrale vienne complètement renverser la vapeur.


Kirsten Dunst ne démérite pas. On est plutôt contents de la voir, car bon, on ne vas pas se mentir, depuis Melancholia sa carrière est un peu au point mort. Mais c'est dommage qu'elle soit une fois encore dans un second rôle, qui a son importance dans l'intrigue, qui en est même l'élément déclencheur, mais ça ne tient bien plus à l'écriture du personnage qu'à sa prestation. Le clin d’œil du piano, qui est quand même LA pièce maîtresse du cinéma de Jane Campion, a cependant beaucoup plu à mon cœur de fan, car on a ici une approche totalement différente de l'instrument que dans La leçon de piano. Ici le piano est une source de stress, d'angoisse, de pression pour Rose, que le personnage de Phil s'amuse à accentuer, alors que dans La leçon de piano, le piano libère Ana, lui permet de s'exprimer et, bien au contraire, de résister à l'homme qui l’opprime. On a deux personnages qui sont en complète opposition, en gravitant toutes les deux autour d'un piano.

Et puis bon, bien sûr, il y a le talent de Jane Campion. Il y a cette finesse quand elle filme ses acteurs, la subtilité du jeu d'attirance et de répulsion des personnages de Phil et de Peter, les décors naturels de dingue, une photographie sublime. Bref, on n'a pas juste eu une bonne idée, qui permet juste de faire un bon film, on a aussi une exécution qui est totalement sans faute, qui permet de faire un excellent film.

J'ai hésité un long moment entre la liste or et argent et finalement soyons fou, mettons le film en liste or. Pourquoi ? Parce que mon premier paragraphe pouvait vous mettre sur la piste : je HAIS les westerns. Pour Jane Campion je suis prête a m'y aventurer, mais je savais d'avance que cet aspect des choses allait me déranger. Cette gêne est effectivement présente : avions-nous vraiment besoin d'une scène de castration à mains nues ?! Mais c'est à peu près le seul truc que je trouve à reprocher au film, et c'est un point de vue strictement personnel, basé sur rien d'objectif. Donc je trouve un peu illégitime de sanctionner le film dans ma notation pour cela.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Callipyge le 16 Décembre 2021 Editer
Callipyge
Excellent, d'autant plus que je ne suis pas habitué à cette catégorie de films dits "à combustion lente" (les slowburners), donc son effet sur moi n'a du en être que démultiplié.

Les personnages parlent peu, on a très peu d'informations, beaucoup de moments de pure contemplation (les paysages et les images sont superbes), et plus on avance, plus on assemble les morceaux. Et quand on pense avoir enfin fini de rassembler le puzzle, on se prend une claque dans la figure !

Très bon jeu d'acteur, une grande immersion et une critique efficace de la virilité toxique, sans en être forcée.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par ilovelire le 5 Novembre 2015 Editer
ilovelire
J'avoue que ce film me laisse assez mitigée. D'un côté il y a pleins d'éléments magnifiques:
-la musique
-certaines images
-certains lignes de dialogues
Mais d'autres éléments du films n'ont aucun sens à commencer par le personnage principale qui est incompréhensible. Ses motivations sont flous, ses réactions sortent par fois de nul part et certaines de ses scènes avec sa fille. C'est peut être intentionnel mais c'est dur de rentrer dans le film ou de le trouver crédible quand le personnage principale est si flou.
A propos du livre :
La leçon de piano
La leçon de piano
Par Dystopic le 26 Août 2014 Editer
Dystopic
J'ai trouvé d'abord que ce film rendait ridicule une époque que j'aime beaucoup. Les vêtements farfelues, une héroïne difficile à comprendre et trop fade à mon gout seul le poète a su redonner du charme à ce film qui reste léger avec un scénario moyen d'après moi et une histoire d'amour un peu trop fleur bleu.
A propos du livre :
Bright star
Bright star
Par JustineInWonderland le 12 Juillet 2023 Editer
JustineInWonderland
Honnêtement un film assez particulier qui m'a pris un temps à comprendre pourquoi il y avait eu autant de praise... Cependant, on voit que c'est un film très artistique qui me donnait beaucoup cette impression de film d'auteur où tout est pensé. Les plans sont sublimes et le film est intriguant et empreint de symbolisme. J'ajouterais également que le jeu d'acteur est excellent (mentions spéciale au jeune jouant Peter ainsi que Benedict bien sûr). J'ai aimé que les personnages semblaient avoir plusieurs dimensions.

Un film intéressant, avec une cinématographie et ambiance superbe. Plusieurs moments m'ont laissé perplexe.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Cellophane le 9 Mars 2023 Editer
Cellophane
Bon, moi, les films en costume, le XIXème, c’est pas mon truc.
Jane Campion, c’est pas mon truc.
Ce film confirme tout.
Si c’est romantique de montrer une femme dominée tout du long par la suprématie masculine, je ne marche pas. Si c’est pour dénoncer le fait, j’ai pas accroché.
Déjà, j’ai lâché très vite : on nous présente une Nicole Kidman forte et indépendante, contre le mariage et pour vivre sa vie. Très bien. Et très logiquement, elle refuse les offres de 50 beaux prétendants. Parfait.
Pour aller se fourrer rapidement dans les bras d’un type moche, imbu, insupportable.
Ben non, déjà là, je ne marche pas.
C’est pas subtil, c’est pas crédible.
Les liaisons dangereuses, oui, c’était subtil ; Barry Lindon, oui, c’était crédible et palpitant.
Là, c’est un film pas crédible qui s’étire en se répétant et proposant des comédiens à un seul sentiment, Malkovitch hautain et imbu d’un bout à l’autre, Kidman larmoyante et pleurnichiante tout du long…
Pas apprécié.
A propos du livre :
Portrait de femme
Portrait de femme
Par Apollo8 le 27 Septembre 2022 Editer
Apollo8
Un film lent et contemplatif, comme dit dans d'autres commentaires. Il dénote des westerns dont on a l'habitude. Il n'y a pas tellement d'action ni de grandes batailles, il y a peu de dialogues et beaucoup de sous-entendus. On n'obtient les informations que par bribes, par-ci par-là. On avance, chapitre après chapitre, dans cette histoire qui semble s'orienter d'une certaine manière mais qui nous surprend par sa fin. Les musiques transcrivent la sensation de mal-être à la perfection. Les acteurs sont aussi excellents.
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par lea130298 le 30 Mars 2022 Editer
lea130298
Un film avec une photographie, une réalisation et des acteurs au sommet, ainsi qu'une représentation très juste du monde des cow-boys, mais tout de même un peu trop de longueurs
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Doigts_de_poussiere le 19 Février 2022 Editer
Doigts_de_poussiere
Un film vraiment pas mal avec un bon retournement de situation !
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
Par Kascobol le 10 Février 2022 Editer
Kascobol
Attention, ce film n’est pas un western.
C’est un drame et un vrai!
Les acteurs jouent à la perfection, et nous transmettent leurs emotions avec les tripes.
On est dedans, et on est pris par chacun des personnages jusqu’au dénouement.
A voir…
A propos du livre :
Le Pouvoir du chien
Le Pouvoir du chien
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