Michael Winner
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.98/10Nombre d'évaluations : 40
0 Citations 7 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Première épisode d'une super saga.
Paul Kersey, architecte donc la vie se passe pour le mieux, voit sa vie s'écroulée du jour au lendemain, suite a l'agréssion de sa femme et sa fille...
on y voit tout d'abord un homme brisé qui peu à peu se change en implacable justicier.
J'adore :)
Afficher en entierC'est pas le meilleur policier que j'ai vu mais pour l'époque ça passe
Afficher en entierLes adaptations des romans d'Agatha Christie semblent désormais kitch. Une intrigue qui parait désormais désuet, des personnages caricaturaux, un fil conducteur prévisible. Ici, on ne dépasse pas le niveau d'un mauvais téléfilm, voir même d'un épisode d'une vague série d'enquêtes policière ringarde. Mieux vaut lire les romans qui ont gardés leur charme d'antan. A croire que la littérature vieillit mieux que le cinéma.
Afficher en entierGrand classique du genre Vigilante movie qui fit par la suite de nombreux émules et remake ou pales copies. Charles Bronson restera à jamais grâce ou à cause de ce rôle, associé au personnage de Paul Kersey. L'acteur apporte toute l'humanité nécessaire du mari et du père avide d'une légitime vengeance. Le meilleur de Charles Bronson ! En plus il ressemblait à mon papa ! Alors voir son héros de papa dégommer les méchants, ça vous marque (positivement) un môme !!!
Afficher en entierAprès le gros succès du premier Justicier dans la ville, le public voulait une suite. Sur le même canevas mais sans se répéter, le récit reste original, un brin réac' mais passionnant. La croisade punitive marche à plein régime et se révèle méchamment addictive ! C'est propre, c'est net et sans bavure !
Afficher en entierCe Death Wish troisième du nom sort le gros calibre. On se croirait dans un film à la Rambo ! Moins subtil dans la forme que les précédents mais avec un Dynamite Charles Bulldozer Bronson toujours aussi fringuant qui fait preuve d'un abattage (au sens propre comme au figuré) qui force l'admiration !!!
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Michael Winner
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
United Artists : 2 films
Scimitar Films : 2 films
Incorporated Television Company (ITC) : 2 films
Universal Pictures : 2 films
Cannon France : 1 film
Columbia Pictures Corporation : 1 film
Dawn Property Company : 1 film
21st Century Film Corporation : 1 film
Biographie
Né le 30 octobre 1935 à Hampstead, dans la banlieue de Londres, Michael Winner a été scolarisé à la St Christopher's School à Letchworth, avant d'entreprendre des études de droit et d'économie à l'université de Cambridge. Entré à 17 ans à l'Université et sorti à 20, il fut le plus jeune étudiant à faire son entrée dans ce prestigieux établissement. Passionné de cinéma, il devient journaliste critique de films, avant de faire ses débuts en 1956 comme monteur et scénariste, puis passe à la réalisation avec son premier long en 1962, Play It Cool, une comédie musicale.
Au milieu des années 1960, il fonde sa propre société de production, Scimitar, et réalise des films satiriques comme Dans les mailles du filet, avec Oliver Reed. Mais Winner est surtout connu pour sa contribution aux films d'actions, comme Scorpio, et surtout aux Vigilant Movies, qu'il contribua largement à initier en tournant avec son acteur fétiche Charles Bronson. On lui doit ainsi Un justicier dans la ville (1,5 millions d'entrées) et sa suite, Le Flingueur, Le Justicier de New York, et même un western, Les Collines de la terreur. Des films qui firent beaucoup pour la carrière de Charles Bronson. Dans la filmographie du réalisateur, on peut également relever Le Grand sommeil avec Robert Mitchum, Remake de la version de 1946 signée Howard Hawks.
Plus étonnante est sa reconversion comme critique gastronomique, très populaire en Grande-Bretagne, auteur d'une chronique dans le journal Sunday Times, Winner's Dinners. Son décès est d'ailleurs une cruelle ironie. En 2007, il est contaminé par la bacterie E-Coli en mangeant à la Barbade un tartare d'huîtres...qui le fera hospitaliser huit fois dans les derniers mois de sa vie, et dont il ne se remettra jamais. Début 2012, les spécialistes du foie lui donnaient encore 18 mois à vivre.
Jamais avare de provocation, il déclarait alors : "Je suis très content de crever. J'ai passé assez de temps sur terre. Je serais content si quelqu'un me donnait la prise à débrancher". Un Death Wish exhaucé : Michael Winner s'est finalement éteint le 21 janvier 2013, à l'âge de 77 ans.
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