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L'équipe CineNode
Je ne pense pas avoir compris tout le film ni tous les thèmes sous-jacents (et cela vient aussi du fait que je me suis retrouvée en rade de sous titres français et l'anglais n'est pas vraiment mon fort) mais j'ai tout de même beaucoup apprécié le visionnage et me suis amusée à retrouver les liens entre les différents personnages tous en rapport avec un homme d'affaire mourant.
Magnolia
Boogie Nights
Inherent vice
There Will Be Blood
Sinon, le film. C'est une demi déception.
Excellent sur le plan technique, comme d'habitude, brochette d'acteur excellent, mais ceci dit j'ai pas l'impression que le film ne veuille jamais aller quelque part. Tout le long du film on suit (avec plaisir) les péripéties de Doc, mais sans trop savoir pourquoi, et on s'y trouve très souvent perdu.
Il y a un vrai manque de sens a cette histoire (j'ai lu qu'il y avait toute une symbolique autour de la paranoïa des années Nixon, mais n'étant pas calé sur le sujet, impossible de le comprendre), on ne comprend pas vraiment ce qui se passe, très sincèrement je me trouverait incapable de résumé l'histoire du film, j'ai vraiment pas piffé grand chose !
Je m'interroge sur le personnage de sortilège, sur tout ces personnages trop peu approfondi d'ailleurs, tout ces noms énoncé tout au long du film sans jamais pouvoir mettre un visage dessus..
Je pense que le problème c'est que PTA a plus ou moins voulu refaire un gros film chorale comme a la grande époque, mais en se concentrant néanmoins a 90% sur son personnage principal, qui lui est réussi pour le coup mais tout les autres manque de traitement. Et c'est dommage, Boogie Nights était centré sur un personnage mais il laissait assez de place pour le développement des autre par exemple.
On se retrouve avec beaucoup de personnage, trop de personnages, présents pour rien.
Il n'empêche que j'ai vraiment apprécié le film, pour toute les qualité inhérente aux films d'Anderson et parce que Doc Sportello a largement assez de substance pour subjuguer le spectateur pendant les 2h30 de film. C'est quelque fois long certes, le film gagnerait a être coupé un peu, mais ça reste intéressant pour peu qu'on se laisse porter par l'ambiance et la prestation de Joaquin Phoenix.
Mi-deception donc, mais dans l'ensemble ça reste du très positif.
Inherent vice
Hard Eight fait certes pâle figure dans la filmo de PTA, il nous démontre déja son talent évident pour la réalisation, notamment par l'apparition déjà de plan séquence mémorable, mais si il est un polar très bien ficelé et aux personnages joliment écrit, on est loin de l'ambition démentiel d'une fresque comme Magnolia ou Boogie Nights.
Ceci dit, ce n'est pas que le gugus n'était pas déja un malade ultra ambitieux, mais juste qu'il n'a pas pu avoir le final cut, qui se retrouve privé de bien 50minutes par rapport a ce qu'il voulait. Je veux trouver cette version !
Hard Eight
Je n'en finis pas de vanter les mérites de la réalisation incroyable de PTA, Boogie Nights en est le meilleur exemple qui soit, débordant jusqu’à ras-bord des plans séquences magistraux dont il a le secret.
Le film est réussi en tout point, il dépeint l'univers de la pornographie des années 70/80 avec justesse, force et humour sans jamais laisser a l'histoire un seul temps mort (ce qui est d'habitude le seul petit bémol des films d'Anderson).
Malgré le côté très cru qui incombe forcément a cet univers, les personnages sont magnifiquement bien écrit, avec une justesse et une sensibilité aux antipodes de la vulgarité seule a laquelle on aurait pu s'attendre.
Je n'en finis pas d'être subjuguer par le génie de PTA, et j'ai vraiment hate de pouvoir voir Inherent Vice !
Boogie Nights
La faute a un rythme inexistant, tout se passe avec une langueur extrêmement usante, seule quelques scènes jouissant d'une forte intensité.
Alors même si la mise en scène est brillante, Joaquin Phoenix transcendant, et que le sujet est bien traité, c'est assez chiant par moment.
En parlant du traitement du sujet je regrette assez l'angle adopté par PTA qui choisi un point de vue plus psychologique que sociologique, qui certes permet un voyage comme il les aiment au cœur de l'âme torturé de son personnage principal mais délaisse trop a mon goût les enjeux sectaire, supprimant ainsi pas mal d'enjeu qui aurait pu donner plus d’intérêt au film.
The Master
Inherent vice
L'histoire d'amour n'est au final pas vraiment l'élément centrale de l'histoire, c'est juste un prétexte a l'évolution du personnage, elle est donc au final pas très profonde mais assez jolie, me rappelant assez Happiness Therapy dans sa structure.
Mais les vrais point forts du film sont son personnage principal, et surtout ces couleurs.
Le rendu esthétique est vraiment très beau, pas de décors grandiose ou d'effet spéciaux mais PT parvient a nous plonger l'air de rien dans un univers magnifique.
Petit point sur la musique aussi, pour laquelle j'ai un petit coup de coeur, le thème principal mais pas que.
Punch Drunk Love
Magnolia
Sinon, c'est lonnng comme un Paul Thomas Anderson, c'est souvent chiiiiaaaant comme un Paul Thomas Anderson, et au final on en ressort avec une impression très... mitigée (comme... un Paul Thomas Anderson...)
Magnolia
Boogie Nights
Je comprend pourquoi il a obtenu l'Ours d'Or au 50ème festival de Berlin en 2000.
Tout est magnifique, les personnages, l'histoire, la façon dont c'est filmé, le montage superbe... Et les acteurs sont tous excellents de chez excellents.
Je ne suis pas du fan de Tom Cruise, mais là, pour le coup, il m'a scotchée car il joue divinement bien.
Ce film est superbe, terriblement prenant, plein d'émotion et à la limite de la fascination.
J'ai vraiment été impressionnée par cette histoire de destins tellement différents qui vont se croiser, avec des personnages très humains et très touchants.
Pour moi, c'est un chef d'oeuvre parfait, rien à critiquer et c'est rare. C'est une très belle leçon de vie. Je le conseille si vous aimez les films incroyablement bouleversants.
Magnolia
There Will Be Blood