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My Beautiful Laundrette
Réalisateur
- Stephen Frears (Réalisateur)
Thèmes principaux du film
My Beautiful Laundrette
Commentaire le plus apprécié
Un film dans lequel j'ai eu un peu beaucoup de mal a entrer, car le début du film me semble pas vraiment accrocheur. Le rythme est assez lent, il se passe pas grand chose, on comprend pas de suite ce qu'on a l'intention de nous raconter. S'ajoute à ça le fait que l'acteur qui joue Omar ne me semble pas doué du tout. Du genre a sourire niaisement et à s'émerveiller de tout en permanence. Sans oublier le fait que ça a un peut-être un peu mal vieillit : les décors sont plutôt très laids, la musique est pas top (les musiques "bruits de bulles" quand on est dans la laverie, pitié, c'est immonde comme idée), la mise en scène est assez quelconque, voire datée.
J'ai commencé a apprécié ce film surtout au bout d'une demi heure, avec l'introduction du personnage de Johnny joué par Daniel Day-Lewis. Déjà parce que la qualité de l'interprétation monte en flèche : j'ai toujours pensé que Day-Lewis ne pouvait pas être humain pour jouer aussi bien, ce film en est une bonne preuve. C'est l'un de ses tout premiers rôles et il est déjà absolument parfait. Egalement parce que je pense qu'il interprète le personnage le plus intéressant du film, celui qui est le plus tiraillé par des sentiments contradictoires. J'ai vraiment trouvé son personnage touchant, ce qui améliore grandement mon avis global sur ce film.
Néanmoins je trouve toujours que l'histoire manque un peu de clarté, surtout sur la fin. En faite, je trouve qu'on cherche a traiter trop de thème en même temps, de la politique de Thatcher au mariage, en passant par l'immigration, un moment on s'y perd. Ce film a un effet trop "fourre tout" pour être complètement agréable à mon sens. D'autant plus que certains thèmes ne sont absolument pas utiles à l'histoire et en deviennent un peu poussifs. Du genre l'homosexualité, si elle est traitée avec un respect et une subtilité notable et appréciable pour l'époque (10 ans avant Pédale Douce, je dis ça je dis rien), elle n'apporte strictement rien à l'intrigue ; une simple amitié datant de l'enfance aurait suffit. En plus, c'est une relation assez mal amorcée. Très franchement, je n'ai absolument pas compris comment les personnages d'Omar et Johnny passent de l'amitié à l'amour ! Quel est l'événement qui a changé la nature de leur relation. Par conséquent, comme je ne comprends pas pourquoi ce couple s'est formé, je ne peux pas le trouver très touchant. Le film aurait finalement du plus "oser" sur ce thème, le traiter plus franchement et non à demi-mot.
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j'ai pas particulièrement passé un bon moment, il est un peu simple et il est difficile parfois de rester concentré.
Afficher en entierUn film dans lequel j'ai eu un peu beaucoup de mal a entrer, car le début du film me semble pas vraiment accrocheur. Le rythme est assez lent, il se passe pas grand chose, on comprend pas de suite ce qu'on a l'intention de nous raconter. S'ajoute à ça le fait que l'acteur qui joue Omar ne me semble pas doué du tout. Du genre a sourire niaisement et à s'émerveiller de tout en permanence. Sans oublier le fait que ça a un peut-être un peu mal vieillit : les décors sont plutôt très laids, la musique est pas top (les musiques "bruits de bulles" quand on est dans la laverie, pitié, c'est immonde comme idée), la mise en scène est assez quelconque, voire datée.
J'ai commencé a apprécié ce film surtout au bout d'une demi heure, avec l'introduction du personnage de Johnny joué par Daniel Day-Lewis. Déjà parce que la qualité de l'interprétation monte en flèche : j'ai toujours pensé que Day-Lewis ne pouvait pas être humain pour jouer aussi bien, ce film en est une bonne preuve. C'est l'un de ses tout premiers rôles et il est déjà absolument parfait. Egalement parce que je pense qu'il interprète le personnage le plus intéressant du film, celui qui est le plus tiraillé par des sentiments contradictoires. J'ai vraiment trouvé son personnage touchant, ce qui améliore grandement mon avis global sur ce film.
Néanmoins je trouve toujours que l'histoire manque un peu de clarté, surtout sur la fin. En faite, je trouve qu'on cherche a traiter trop de thème en même temps, de la politique de Thatcher au mariage, en passant par l'immigration, un moment on s'y perd. Ce film a un effet trop "fourre tout" pour être complètement agréable à mon sens. D'autant plus que certains thèmes ne sont absolument pas utiles à l'histoire et en deviennent un peu poussifs. Du genre l'homosexualité, si elle est traitée avec un respect et une subtilité notable et appréciable pour l'époque (10 ans avant Pédale Douce, je dis ça je dis rien), elle n'apporte strictement rien à l'intrigue ; une simple amitié datant de l'enfance aurait suffit. En plus, c'est une relation assez mal amorcée. Très franchement, je n'ai absolument pas compris comment les personnages d'Omar et Johnny passent de l'amitié à l'amour ! Quel est l'événement qui a changé la nature de leur relation. Par conséquent, comme je ne comprends pas pourquoi ce couple s'est formé, je ne peux pas le trouver très touchant. Le film aurait finalement du plus "oser" sur ce thème, le traiter plus franchement et non à demi-mot.
Afficher en entierFin d'une époque révolutionnaire pour certains et mise à plat d'une vision de notre société. Stephen Frears aborde un sujet encore bien délicat mais il était temps de le faire.
Afficher en entierUn super film, qu'il faudrait que je revoie en VOQTFR, les sous titres anglais n'aidant pas tellemnt et mon dieu, ils parlent vite !
Moment de solitude de voir qu'ils sont ensembles, et ... ah bon ?!
Mon anglais me fait des misères, mais malgré tout je comprend ma mère et ma prof d'anglais, qui me l'ont fait voir, c'est un film super !
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Date de sortie
My Beautiful Laundrette
- France : 1986-09-03 (Français)
Activité récente
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Évaluations
Editeurs
Les chiffres
spectateurs | 29 |
Commentaires | 4 |
répliques | 0 |
Evaluations | 5 |
Note globale | 6.8 / 10 |
Synopsis
Omar, jeune pakistanais de la banlieue Sud de Londres, prend la gérance d'une vieille laverie automatique appartenant à son oncle. Il est aidé de Johnny, qui devient son amant. Quand son cousin Salim blesse un membre de l'ancien gang de Johnny, une bagarre éclate...
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