Stephen Frears
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.24/10Nombre d'évaluations : 301
0 Citations 108 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Bon film qui fait parfois plus penser à un reportage du fait de la présence d'images réelles mélangées à la fiction, on est réellement plongés au cœur de l'intimité de la famille royale et plus particulièrement au moment du décès de la regrettée Lady Diana et l'arrivée au pouvoir de Tony Blair.
Bravo à tous les acteurs(trices) notamment Michael Sheen qui fait un premier ministre très crédible, mais et surtout une mention spéciale à Helen Mirren qui se fond dans la peau de la reine avec aisance, aidé par les costumes, la coiffure et son jeu d'actrice tout en retenue et en émotion, la ressemblance est plus que frappante. On y voit une reine partagé entre son devoir de souveraine notamment envers son peuple et une mère et grand mère soucieuse de ne pas livrer son fils et ses petits fils en pâture à la presse et aux paparazzis, oui même si c'est la reine d'Angleterre elle n'est pas à l'abri d'avoir des doutes, d'avoir peur de faire le mauvais choix, et c'est ce que l'on voir très bien dans le film contrairement à son mari le duc d'Edimbourg, très bien incarné par James Cromwell, et qui lui ne semble s'intéresser qu'à ses parties de chasse et à sa tasse de thé.
En ce qui concerne la musique elle colle bien à l'ambiance de chaque scène et les décors sont très beaux notamment lorsque la famille royale se trouve à Balmoral en Ecosse où les paysages sont magnifiques.
Cependant si je n'ai pas mis ce film en catégorie "or" mais plutôt en "argent" c'est parce que je n'exclus pas quelques petits moments de longueurs, mais l'ensemble reste plus que correct et il reste à ce jour l'un des films les plus instructifs pour quiconque voudrait se familiariser avec la vie quotidienne de la famille royale d'Angleterre.
Afficher en entierJe n’ai pas lu la B.D. mais j’ai trouvé ce film très agréable à regarder.
L’histoire est sympa, c’est bien filmé, et c’est de l’humour anglais.
J’aime bien!
Afficher en entierUn bon film bien réalisé qui capture bien selon moi l'ambiance et les émotions autour de ce tragique évènement. Je crois qu'on a pu montrer ici un côté humain et conflictuel des évènements entourant la mort de Diana. Ça s'écoute relativement bien. Helen Mirren et tout simplement excellente dans son rôle et le reste du casting est également bien. C'est assez bien écrit et malgré tout « léger » dans le sens que ce n'est pas trop lourd malgré le sujet.
La famille royale et son histoire m'a toujours fascinée et je crois quand même que le film est réaliste, mais je n'oserais pas prétendre si c'est totalement la réalité, mais ce n'est qu'un film aussi.
Afficher en entierJ'ai plutôt passé un bon moment devant The Queen, qui nous montre les dessous de la grande histoire, le moment où le destin de la monarchie anglaise a failli basculé.
Une anecdote très intéressante, qui met en avant le décalage croissant entre la reine et ses sujets, qu'elle ne comprends plus.
Afficher en entierFilm absolument malaisant, j'ai vraiment détesté le regarder.
Afficher en entierUn pur moment de bonheur porté par une actrice géniale. Le meilleur du cinéma anglais.
Afficher en entierTrès bonne adaptation du roman les Liaisons Dangereuses. On retrouve l'atmosphère entre les deux "amis" la marquise et le vicomte. On ne peut qu'aimer les détester.
(Vu en VO)
Afficher en entierThe lost King n'est pas vraiment une production ambitieuse. Le sujet traité est pourtant intéressant ; je suis toujours friande de films parlant d'histoire et d'archéologie.
Il faut intégrer le fait que The lost King reprend une version précise de la redécouverte du corps de Richard III (celle de la découvreuse membre de la Richard III society) - et que cette version est assez largement romancée. J'aurais aimé une distinction plus claire entre les faits et l'imagination de l'équipe du film. D'autant plus que la découvreuse a quitté en mauvais terme certains de ses collaborateurs dont de nombreux universitaires, qui sont représentés à l'écran.
Le fait que Richard III dialogue à l'écran avec l'héroïne est étonnant- mais pourquoi pas ?
Je ne pense pas que nous soyons en présence d'un grand film mais il permet de passer une soirée sympathique - à condition de saisir le parti pris de cette histoire.
Afficher en entierAlors ce fut une découverte !
Je connaissais pas du tout l'histoire de cette artiste !
Le casting est parfait ! Mais une mention spéciale pour le pianiste !
Afficher en entierTrès bien joué et scénario intéressant, notamment pour quelqu'un ne connaissant pas le fond de l'histoire.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Stephen Frears
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Pathé Distribution : 5 films
- : 2 films
Gaumont Buena Vista International (GBVI) : 2 films
Gaumont : 1 film
Working Title Films, BBC Films, Cross Street Films : 1 film
StudioCanal : 1 film
MK2 : 1 film
Diaphana Films : 1 film
Biographie
Né à Leicester en Angleterre le 20 juin 1941, Stephen Frears poursuit des études à la Faculté de Cambridge avant de devenir assistant du metteur en scène Lindsay Anderson au Royal Court Theatre de Londres. En 1966, il pénètre le milieu du cinéma en devenant l'assistant de Karel Reisz pour son film Morgan, avant d'intégrer la société de production d'Albert Finney. Après un court métrage intitulé The Burning en 1967, Stephen Frears réalise son premier long métrage, Gumshoe, en 1972, un thriller inspiré des films noirs des années 40, scénarisé par Neville Smith. Parallèlement, il entame une carrière prolifique à la télévision anglaise, avec près de quarante téléfilms dramatiques.
En 1984, le cinéaste revient au grand écran et au thriller à rebondissement avec The Hit, puis reprend son travail à la télévision avec My Beautiful Laundrette (1985), film à petit budget qui évoque les troubles raciaux entre Anglais et Pakistanais à travers les relations homosexuelles de ses deux héros. A la suite des critiques enthousiastes, Channel Four fait gonfler des copies en 35 mm pour les distribuer dans toute l'Europe. S'ensuivent deux autres films virulents complétant la trilogie autour de la déliquescence de la société britannique: Prick up your Ears (1987) qui relate la vie du dramaturge Joe Orton, dont la mort révéla à l'Angleterre puritaine son homosexualité et sa vie ponctuée de scandales et Sammy et Rosie s'envoient en l'air qui traite des rapports inter-culturels et des conflits entre générations dans un Londres ravagé par les émeutes. Succès public mais échec critique, ce dernier film choque certains membres de la communauté pakistanaise en raison des mœurs sexuelles des protagonistes et de certaines allusions à la religion.
(Allociné)
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