Anh Hùng Trần
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 4.25/10Nombre d'évaluations : 8
0 Citations 9 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Mon avis est en fait très mitigé sur ce film, car j'ai aussi le souvenir du bouquin de Haruki Murakami, qui est une vraie perle.
Mais pour cette adaptation cinématographique, j'avoue avoir eu beaucoup de mal. Je n'en suis pas à mon premier film japonnais, loin de là, donc le jeu d'acteur ne me gêne en rien, mais il y a un blocage dans ce que les acteurs auraient dû me faire ressentir (j'ai seulement réussi à apprécier le personnage de Midori).
Il faut aussi avouer que Tran Anh Hung à un style de réalisation assez particulier, mais il n'empêche que je suis assez déçue. J'en attendais peut-être tellement qu'au final il ne pouvait que ne pas répondre à mes attentes, je ne sais pas...
Bref, je conseillerais plutôt le livre, qui m'a fait verser beaucoup plus de larmes.
Afficher en entierJe n'arrive toujours pas a comprendre comment l'un de mes livres préférés, si ce n'est MON livre préféré, a pu donner naissance à un film aussi nul...
C'est très très très ennuyant, voire carrément soporifique. Les caractères si subtiles des personnages ne sont pas franchement respectés par rapport au livre, et c'est bien dommage car ils perdent vraiment en sympathie. Toutes les émotions perceptibles dans le livre, et croyez moi elles étaient très nombreuses et m'ont fait tant aimé cette histoire, sont totalement inexistantes dans ce film. Il en va de même pour la poésie qui se dégageait de l'ensemble.
Pour moi c'est juste un massacre ! Sans rire, si le synopsis vous fait envie, allez lire le livre mais ne regardez surtout pas ce film.
Afficher en entierUn de mes premiers films vu, suite à une critique, et je ne le regrette pas.
Afficher en entierA revoir car le temps passe.
Afficher en entierLa quantité n'a jamais fait la qualité, ce troisième film est une merveille de réalisation, décors, ambiance, acteurs.
Afficher en entierOMG, on est content quand ça s'arrête. Sérieusement, c'est ennuyant, tellement ennuyant !
Ce film ne fait ressentir aucunes émotions !
Pourant, le scénario est "censé" être triste.
Je lirais le livre de Haruki Murakami (surement pas grâce au film) mais c'est un auteur à découvrir.
Une œuvre mal adapté connaissant un auteur japonais très apprécié.
Afficher en entierJ'avais aimé le livre et j'étais contente de le voir adapté au cinéma tout en me disant que le défi était de taille. Il n'est pas facile d'adapter un livre comme celui-ci.
J'ai été très déçue! Le film est soporiphique et je me suis ennuyée tout du long. Je n'ai pas retrouvé les personnages aux personnalités subtiles. Je les ai trouvé fades et sans aucun intérêt.
Le film est plein de longueurs et tellement pauvre en émotions. Il est creux en ce qui concerne les dialogues. Pour moi ce film est un catastrophe.
Je conseille à n'importe qui de lire le livre et surtout de passer son chemin pour le film.
Afficher en entierJe précise que je n'ai pas lu le livre.
J'ai bien aimé. C'est jolie. Seulement, on est pas censé être au moment de la guerre du Vietnam? Je trouve que l'on ne le retrouve pas assez.
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Biographie
Trần Anh Hùng est un réalisateur français d'origine vietnamienne, né le 23 décembre 1962 à Mỹ Tho au Việt Nam. Réfugié en France dans son enfance, il a fait des études d'opérateur à l'École Louis-Lumière en 1987 où il a réalisé son premier court-métrage comme film de fin d'études. L'Odeur de la papaye verte, son tout premier long métrage : portrait visuellement soigné d'une jeune fille déplacée du foyer familial depuis son plus jeune âge pour être mise au service d'une maison aristocratique ruinée, est intégralement tourné en studio, en France à Paris. L'action est pourtant censée se dérouler au Vietnam et le film compte beaucoup de scènes d'extérieur. Il vaut à son réalisateur la Caméra d'Or du Festival de Cannes 1993 et le César de la meilleure première oeuvre en 1994. Cyclo, polar très stylisé situé dans les rues d'Hô Chi Minh Ville lui permet de remporter le Lion d'Or de la Mostra de Venise en 1995 et devient ainsi l'un des plus jeunes cinéastes à l'obtenir.
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