Kad Merad
Réalisateur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 5.98/10Nombre d'évaluations : 55
0 Citations 26 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Divertissant et pas désagréable.
D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
Afficher en entierDivertissant et pas désagréable.
D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
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D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
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D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
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D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
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D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
Afficher en entierDivertissant et pas désagréable.
D’accord, le film ne casse pas des briques, ne révolutionne rien…
Mais en même temps, il est plutôt juste et touchant. Il y a beaucoup d’amour et de tendresse dans le film, quelques mini-surprises (logiques, en fait, mais je n’y avais pas pensé…).
Donc pour comater tranquillement le soir ou l’aprem, fatigué, devant la télé, sachant que ce n’est pas le film du siècle mais qu’il fait chaud au cœur…
Afficher en entierJ’ai pas mal ramé avec ce film.
Au début, pendant longtemps, on ne comprend pas où ça veut en venir. Retour au bercail, histoire du passé qui ressurgit, retrouvailles et pardon, rencontre de deux mondes entre Canada et Marseille, le fils qui découvre les origines du père ?
Tout est un peu traité en passant, sans réel but, on sait en gros ce qui s’est passé dans le passé, le pardon arrive ou pas et on s’en fiche, la rencontre de deux mondes n’est ni drôle ni émouvante…
Le film flirte sans cesse entre drame et comédie sans jamais entrer dans l’un des domaines, il est blindé de trucs dont on se fiche, du frère qui crache du sang à sa femme qui a son permis bateau.
Des tranches de vie qui ne m’ont pas accroché, blindé de nostalgie et de mélancolie étouffante.
Pas accroché du tout.
Afficher en entierÇa manque de contenu, on a l'impression que les dialogues sont là pour combler les vides. Et la fin n'a aucune explication pour moi.
Afficher en entierRipper reçoit un coup de fil : le cercueil de Pamela Rose a été volé. Et une sombre conspiration contre la présidente semble se tramer...
10 ans aprés le premier film, voilà une suite que personne n'attendait. Non pas qu'on ne la voulait pas, mais on ne l'attendait pas. Exit Eric Lartigau, Kad et O prennent la place derriére et devant la caméra. Ils rappellent Laurent Lafitte, cette fois pour un rôle principal et y ajoute Audrey Fleurot, Omar Sy, Guy Lecluyse, Laurence Arné ou encore Patrick Bosso. Pourquoi pas mais le film peine à proposer quoi que ce soit. Moins fou que le premier mais tout aussi lourd quand il s'y met, il peine à combler ses 1h30 et le reconnait lui même à mi film. Le gag ne suffisant pas à faire oublier qu'on s'ennui un poil. Si la real y a un peu gagné, c'est au détriment de tout le reste. Manquant de folie, de liberté, le film se contente de cocher des cases et, parfois, il est drôle. Trop rarement. En tant que spectateur, on est parfois déçu. Ce sera le cas avec cette suite tardive et pas bien utile. Cette fois, l'esprit des Nuls qu'on pouvait détecter dans le premier film est parti trés loin, cédant à des gags trop classique...
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Kad Merad
et autres évènements
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Biographie
Kad, de son vrai nom Kaddour Merad, débute sa carrière artistique adolescent, en tant que chanteur et batteur de plusieurs groupes de rock. Après quelques petits boulots, il s'illustre au Club Med dans la troupe comique des Gigolo brothers, puis se lance dans le théâtre où, sous la direction de Jacqueline Duc, il joue le répertoire classique (Le Misanthrope, Andromaque,...). En 1991, Kad devient animateur sur la radio rock parisienne Oui FM, en même temps qu'un certain Olivier (de son vrai nom Olivier Baroux). Un an plus tard, les deux hommes forment le duo comique Kad et Olivier et présentent l'émission Rock'n'roll circus. Ils poursuivent leur collaboration à la télévision, avec l'aide de Jean-Luc Delarue, puis présentent, de 1999 à 2001, le programme La Grosse émission sur la chaîne câblée Comédie!.
Kad se familiarise peu à peu avec le septième art : il se contente tout d'abord d'apparitions (La Grande vie, Le Pharmacien de garde, La Beuze, Rien que du bonheur) jusqu'à ce que le cinéaste Christophe Barratier lui confie un rôle d'importance en 2003 dans Les Choristes, comédie dramatique touchante et applaudie par la France entière. Le comédien y incarne le pion Chabert, autoritaire mais bienveillant. N'oubliant pas la comédie, l'acteur retrouve régulièrement son comparse Olivier. Ensemble, les deux complices tiennent la vedette du pastiche de film policier Mais qui a tué Pamela Rose ? (2003), avant d'incarner deux génies dans la comédie Iznogoud(2005) tirée de la célèbre bande dessinée de René Goscinny. Les deux amis font à nouveau équipe en 2006, et tiennent l'affiche de la comédie de science-fiction Un ticket pour l'espace.
Kad Merad devient en quelques années l'une des valeurs sûres du cinéma français, où il trimballe avec une bonne humeur contagieuse l'image du bon copain idéal. Son changement de registre avec Je vais bien, ne t'en fais pas (2006), où il incarne un émouvant père de famille, est payant : il obtient le César du Meilleur second rôle. Très plébiscité, il enchaîne les longs métrages à un rythme soutenu, apparaissant en 2007 aux génériques des comédies La Tête de maman, Pur week-end et 3 Amis. La même année, il joue dans Ce soir, je dors chez toi, première réalisation de son vieux complice Olivier. Et voilà qu'en acceptant de jouer dans le deuxième film de Dany Boon, Bienvenue chez les Ch'tis, la vie et la carrière de Kad sont complètement bouleversées. Le film bat des records en affichant plus de vingt millions d'entrées.
Si Kad sait faire rire, il sait également toucher les spectateurs et le prouve une nouvelle fois avec Faubourg 36 (2008), comédie dramatique et musicale dans laquelle il s'affiche en ouvrier au chômage, et qui marque sa deuxième collaboration avec Christophe Barratier. En parallèle, l'acteur enchaîne les comédies en 2009 avec Safari d'Olivier Baroux, Le Petit Nicolas, tiré des célèbres histoires de Goscinny et RTT. Un registre que Kad Merad continue à parcourir l'année suivante, s'affichant en flic catholique dans Protéger et servir, en concessionnaire automobile dissimulant ses origines dans et en super-méchant excentrique dans le film d'animation Megamind.
Mais l'acteur n'hésite pas non plus à explorer des rôles moins légers, et incarne ainsi le rival mafieux de Jean Reno dans le sombre polar L'Immortel et intègre en 2011 le prestigieux casting du drame tiré de l'œuvre de Marcel Pagnol, La Fille du puisatier. Il y interprète l'attendrissant Felipe, ouvrier de Daniel Auteuil (qui réalise le film) et amoureux de la jeune Astrid Berges-Frisbey. La même année, il s'essaie à la réalisation avec une comédie intitulée Monsieur Papa, et dans laquelle il tient également le premier rôle. Kad Merad renouvelle l'expérience en réalisant Mais qui a re-tué Pamela Rose ?, une suite du film d'Eric Lartigau (2002), dans lequel il collabore avec son complice de toujours, Olivier Baroux.
Kad Merad retrouve ensuite son ami Xavier Giannoli qu'il rencontre pour la première fois en 1996, à l'occasion du court métrage Dialogue au sommet. Le réalisateur lui offre le premier rôle de son film Superstar (2012), une comédie dramatique dans laquelle il partage l'écran avec Cécile de France. L'acteur enchaîne avec un autre projet en jouant aux côtés de Benoît Poelvoorde dans Le Grand méchant loup, signé Nicolas et Bruno, une adaptation contemporaine du conte traditionnel Les Trois Petits Cochons.
Alternant comédies ne rencontrant pas de succès (On a marché sur Bangkok, Des gens qui s'embrassent, On voulait tout casser) et gros cartons en salles (Supercondriaque, Bis, Les Vacances du Petit Nicolas), Kad Merad livre en 2016 un projet lui tenant particulièrement à coeur et pour lequel il est à la fois devant et derrière la caméra : Marseille, tendre comédie sur la (re)découverte de ses racines portée également par Patrick Bosso et se déroulant dans la très cinématographique cité phocéenne. Parallèlement, l'acteur laisse de côté la comédie et tient l'un des deux rôles principaux de la série politique Baron Noir en compagnie du charismatique Niels Arestrup.
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