Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
La réalisation de Scorcese est comme à l'accoutumée exemplaire, un vrai petit chef d'œuvre que je recommande.
Aviator
Date de sortie
France : 24 Février 2010
Les sorties de Février 2010
Thèmes
Thriller, Psychiatrie, Perte D'identité, Fantastique, Enquête, Suspense Voir plus
Les chiffres
Spectateurs
2 332
Commentaires
128
Citations
20
Note globale
8.42 / 10
Evaluations
295
Apprécié pour
Le scénario -
Studio
2010 Paramount Pictures France
Nationalité : Américain
Budget : 80 000 000 $
Voir plus
Shutter Island
Une réalisation soignée avec une symbolique de couleurs qui donnent une atmosphère très particulière.
On est perdu, comme Ellen, désespéré comme Newland. Les acteurs, tous formidables, servent un film subtil et beau qui dénonce les travers des hommes et prône l'importance de la liberté individuelle. Inoubliable.
Le temps de l'innocence
Silence
Le scénario n'avait rien d'original, même s'il était cohérent avec l'idée du film.
Le Loup de Wall Street
Deux jeunes prêtres jésuites sont envoyés au Japon après la disparition de l’un d’entre eux, ils commencent alors à le remplacer et côtoient des chrétiens japonais qui vivent dans le secret de leur foi et qui se cachent pour prier sous peine des pires sévices.
Bien qu’un hommage soit rendu aux martyrs et chrétiens japonais ainsi qu’à leurs prêtres, Scorsese arrive à filmer sans prendre partie pour quelconque croyance.
On peut applaudir le formidable travail d’acteur d’Andrew Garfield en tant que jeune prêtre émotif confronté à la remise en question de sa foi et des supplices infligés à quiconque osera prononcer le nom ou croire au dieu occidental. La réalisation de Scorsese est formidable, nombreux sont les paysages sublimes sur lesquels de terribles tortures sont organisées. D’autant plus que le film porte assez bien son nom, le rythme est lent et bien souvent sous-couvert d’un silence quasi-religieux. Scorsese ne laisse passer aucune émotion dans sa manière de filmer, le spectateur constate comme Sebastião Rodrigues, le dur quotidien de ceux qui ont découvert une foi étrangère à la différence que Sebastião Rodrigues est profondément touché par les événements dont il est témoin. Ce sera donc au spectateur de choisir si le film l’émeut ou non.
Mis à part le scénario qui semble choisir lui-même son public, le deuxième obstacle que ce film peut déposer est sa durée. Si on arrive à passer outre celle-ci, on découvre une grande épopée concentrée autour du jeune Sebastião Rodrigues. Et une fois le visionnage achevé, on se pose une question autour du titre du film, ce « Silence » éclatant, à qui se rapporte-t-il ? Ne serait-ce pas celui de la foi qu’on tait et qu’on garde au plus profond de soi-même malgré les interdits socio-géographiques ?
Silence
Ce film entier semble nous rappeler à notre condition de mortels errants jusqu'à la mort. Ça paraît vraiment grandiloquent dit comme ça, mais j'étais sacrement mal à l'aise.
En effet nous suivons un anti-héros, qui semblent n'avoir aucune emprise sur sa vie, et qui conduit un taxi pour passer le temps et se tenir occupé du fait de ses traumatismes de guerre. Mais en plus beaucoup de dialogues ne semblent mener nul part (ceux avec ses potes dans le café), et l'acteur, part son manque de réaction, semble indifférent à son environnement.
(attention ce ne sont pas là des critiques négatives ; j'explique simplement ce qui a provoqué mon malaise).
Cela dit, outre ce malaise, je n'ai absolument rien éprouvé d'autre. La violence à la fin, j'étais horrifiée, mais de la même façon que quand je regarde un reportage de chirurgie.
Je me suis sentie rejetée de ce film, et je n'ai rien trouvé de particuliers ni dans les décors, ni dans les cadrages. La musique est bien, elle met en place une atmosphère parfaite pour l'intrigue et surtout pour l'état psychologique du personnage principal.
Sinon, la fin m'a plue, grâce au renversement de situation ; finalement le personnage principal a agit pour le bien, pour une cause qui lui tenait à coeur, et il est un peu plus tranquille dans sa tête, merci bien.
Et pour finir, ça m'a bien fait rire l'évolution de sa masse capillaire en fonction de son degré d'instabilité mentale
><
Taxi Driver
Silence
Les infiltrés
8/10
Martin Scorsese à son meilleur. Il n’as plus rien à prouver avec Silence. Il nous fait découvrir une Ferreira, L’histoire de ses 3 prêtres est emmené par Liam Nelson le mentor, Andrew Garfield et Adam River.
Les ( + ) -Un Andrew Garfield au top niveau, dans la continuité de ‘’Tu ne tueras point’’. Il est en passe de devenir un grand acteur pour son talent et sa sincérité.
-Sa souffrance face à la vérité qu’il va devoir affronter
-L’histoire, qui est originale et peu connu du grand public.
-Une immersion jamais vu dans les pensées d’un prêtre. Une intimité avec notre religion.
-Des surprises irrationnels mais plausible : Dieu parlant au prêtre que joue Garfield.
-La réalité, bien que cruelle est bien exposée par la découverte d’une nouvelle facette de l’inquisition (Bouddhisme-christianisme) exprimer en 2h15.
-L’espoir et le désespoir d’Andrew Garfield face à sa foi. On n’y croit jusqu’au bout à ses côtés.
-L’éloge de la Bible, dans ce film les mots de ce livre Saint prennent tout leur sens. ( Comme dans « Tu ne tueras point »
-La torture mentale aussi violente que physique.
-La puissance de ce Silence.
-Une fin aussi cruelle que réaliste. Mais qui nous tient jusqu’au bout. Comme quoi ceux qui y croient, y croient jusqu’au bout.
NB : Pourquoi Silence comme titre de film ? Vous allez me dire , le silence de la prière. Et bien nom, Silence à était choisis comme titre de roman ( c’est une adaptation) afin d’illustrer le silence de Dieu face aux souffrance de ses fidèles vécu en son nom. Ce qui permet de jauger la foi de chacun.
Les ( -) oui il y en as !
-Des longueurs...Prie, confession, il aurait fallut en retirer 10 bonnes minutes.
-Les tortures plus que réalistes, c’est ...bref sa ma choquer.
-Peu de bande originale.
-Liam Nelson peu présent.
-Intrigue qui démarre vite puis s’essouffle pendant 40min avant de reprendre.
-Adam Driver ( C’est décidément pas fait pour toi le cinéma )
-Les noms japonais ! On ne s’y retrouve plus au bout d’un certains temps.
-L’injustice de ce film
-L’accélération dans le temps qui est passer presque trop vite, donc négliger.
Silence
Hugo Cabret
Taxi Driver
Je conseille vivement !
Taxi Driver
Les acteurs, principaux comme secondaires, sont tous parfaits. Dicaprio joue vraiment comme un Dieu et je ne comprend pas comment il a pu passer à côté de l'oscar avant 2016 !
Vraiment j'ai adoré. Ca vous tient en haleine et vous plonge dans l'ambiance.
Shutter Island
Ce pays avait les moyens de faire plier cette minorité.
J'ai adoré ce film et son sujet.
Silence