Tony Gatlif
Réalisateur
Activité et points forts
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Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 5.65/10Nombre d'évaluations : 17
0 Citations 5 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Le seul intérêt de ce film : Céline Sallette, actrice d'une justesse incroyable, juste magnifique.
Afficher en entierTony Gatlif nous propose un documentaire mais malheureusement convainc guère.Il s'agit plus d'une suite de plans un peu fourre-tout où le spectateur s'égare et trouve le temps long.
Afficher en entierUn film intéressant sur un épisode bien méconnu de la seconde guerre mondiale : le sort réservé au gens du voyage (comme on dit aujourd'hui). Malheureusement on ressent un certain manque de moyens et les scènes s'enchainent sans vraiment d'unité. Les personnages sont attachants mais peu appronfondis, certaines trouvailles, une certaine poésie et de très bons acteurs rendent, toutefois, cette oeuvre attachante. A voir, ne serait-ce que pour les premières images de ces fils barbelés vibrant comme des cordes de guitare...
Afficher en entierTony Gatlif revisite "Roméo et Juliette" à sa façon, c'est à dire avec son cinéma énergique plein de fougue et de fureur où la musique y joue un rôle majeur. Le scénario ne nous est donc pas inconnu, ou presque puisqu'il y ajoute, au centre du classique duel, une Céline Salette encore une fois stupéfiante et touchante. Elle est l'atout majeur de ce film revigorant.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Tony Gatlif
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Pyramide Films : 2 films
AFMD : 2 films
Les Films Du Losange : 2 films
UGC Distribution : 1 film
TF1 Films Production : 1 film
Soprofilms : 1 film
Films Merry Lines : 1 film
Les Films Plain Chant : 1 film
Biographie
Source : allo ciné
Tony Gatlif passe son enfance à Alger avant de se rendre en France dans les années 60. Il y connaît un parcours chaotique et finit par atterrir dans une maison de redressement (une expérience qui va lui servir pour l'écriture de son premier scénario : La Rage au poing). La journée, il passe son temps au cinéma. En 1966, il fait une rencontre déterminante : il se rend dans la loge de Michel Simon après l'une de ses représentations. L'acteur lui écrit une recommandation pour son imprésario. Le jeune homme suit ensuite des cours d'art dramatique à Saint-Germain-en-Laye où il apprend ses textes en phonétique. Après avoir joué dans des pièces de théâtre, il réalise son premier film en 1975, La Tête en ruine. Il enchaîne avec La Terre au ventre qui a pour toile de fond la guerre d'Algérie.
A partir de 1981, le cinéaste commence à traiter son thème de prédilection : il tourne en Espagne Corre gitano, le premier film qui revendique la condition gitane. Il réalise ensuite une trilogie sur ce peuple au destin mouvementé. Le premier volet évoque un groupe de gitans sédentarisés en banlieue parisienne : Les Princes (1983), titre qu'il reprendra pour fonder sa propre société de production Princes films. Il enchaîne avec un voyage à travers l'Andalousie, l'Egypte, la Roumanie, la Hongrie et la France, Latcho Drom, un hymne à la musique tsigane très remarqué à Cannes. Le dernier film de sa trilogie est Gadjo Dilo avec Romain Duris et Rona Hartner, révélée par le film. Le couple se retrouve en 1998 pour Je suis né d'une cigogne.
Tony Gatlif retrouve Romain Duris avec Exils, un retour sur la terre de son enfance, l'Algérie. Le film a par ailleurs remporté le Prix de la mise en scène au festival de Cannes 2004. Il revient sur la Croisette en 2006 avec Transylvania, présenté en clôture du festival. Il faut ensuite patienter quatre ans avant de voir Tony Gatlif présenter un nouveau film : Liberté, qui offre à Marc Lavoine le rôle d'un "Juste" qui s'évertue à protéger un groupe de tziganes durant la Seconde Guerre mondiale. En 2012, le réalisateur abandonne le monde des gitans pour se consacrer à Indignados, un film documentaire sur l'Europe des Indignés, ces manifestants qui se rassemblent contre les injustices de la société.
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