Commentaires de films faits par Cellophane
Répliques de films par Cellophane
Commentaires de films appréciés par Cellophane
Répliques de films appréciées par Cellophane
On ajoute à ça la découverte d’une famille, un peu d’amour…
Pas le film dont je me souviendrai dans dix ans parce que ça manque de scènes marquantes mais chacun s’éclate et ça fait bien le job de distraction.
C’est un mec qui veut reconquérir sa femme… Non, qui veut la rendre jalouse… Non, qui veut exister avec sa boîte de Donuts et il veut convaincre sa femme.
Son ex-femme.
Non, sa femme qui ne veut pas de cette boîte. Si, si, elle veut bien…
Bref, pour échapper à son beau-père. Qui ne l’aime pas. Mais s’avère être d’accord avec lui. Ou pas.
Pis la femme trompe son mari parce qu’elle ne l’aime pas. Ah ! Si, elle l’aime plus que tout au monde. Non, elle lui en veut. Rha, je sais plus, ça dépend du moment du film !
Mais le mec, il aide un gamin en stage.
Non, c’est lui qui aide le mec avec sa copine. Ah ! Non, c’est pas sa copine…
Rha, je capte rien à la direction que prend ce film qui, en plus, n’est pas drôle, n’a pas de réplique percutante, de scènes marrantes, qui oscille entre comique, drame…
Et puis ça s’arrête là.
Quinze minutes de film avant que ça ne tourne en rond, répétant les mêmes scènes avec des personnages différents, des situations qui changent d’un iota, mais ça reste la même chose tout du long…
Ça devient plat, sans surprise, ennuyeux.
Ça se réveille sur la fin avec les types qui arrivent parce qu’il y a de l’action et que c’est ce que Besson maîtrise, l’action pure où on réfléchit pas…
Un début, une fin, du vide entre les deux.
Et puis les filles de la sororité ne sont pas particulièrement attachantes ou intéressantes…
Molly qui enquête, on dirait un truc pour ados…
Mais finalement, le groupe se soude et ça devient sympa d’être avec elles.
Et puis la fin est plus dynamique, inventive, même si j’avais tout capté depuis le début, dommage.
Un film distrayant sans être indispensable.
Si celle-ci peut être intéressante, le développement est lent, mou, fade, à peine esquissé.
Ça aurait pu tenir en 30 minutes comme ça ou être exploré plus à fond sur la longueur.
En l’état, ça ne sert à rien.
Après, certes le titre dit tout, mais à quel moment on a envie de voir l’histoire d’un couple qui se sépare pendant 1h45 ?
Surtout que Vaughn joue super bien le type odieux auquel on ne s’attache pas – et donc, on a juste envie qu’Anniston se barre au plus vite… Sauf qu’elle joue à un jeu bizarre à vouloir le quitter pour qu’il reste…
Peu d’intérêt, ça ne fait que traîner sans être super clair comme stratégie…
Au final, un film qui n’apporte pas grand-chose, sans morale particulière…
C’est juste la qualité de jeu qui m’a tenu.
La façon dont chacun gère l’appartenance du corps de l’autre en connaissant ses pensées à lui, est assez amusant.
L’ensemble reste quand même assez sage avec une fin qui s’amène assez facilement – manque un petit peu de folie, de délire, de vivacité…
Si ça peut être un excellent exercice, ici, c’est assez plat, banal.
Rien qui tienne vraiment en haleine, je m’en tapais un peu de cette femme et son évolution.
Peu de scène super drôle ou originale.
C’est long à s’installer, c’est assez gros dans les trames, de la méchante patronne au groupe des rejetés qui ont du talent, le changement de personnalité finale est brusque et ne marche pas…
Reste la gamine qui est assez époustouflante.
On part sur l’idée amusante bien que pas nouvelle de l’histoire qu’on raconte et qu’on modifie selon les commentaires. Principe amusant en soi qui est plus ou moins abandonné au fur et à mesure de l’histoire ; dommage, c’est ça qui tenait l’ensemble…
Pour le reste, on joue de l’anachronisme en parlant d’avion ou autre dans le conte, on s’amuse à changer le soulier en soutif ou faire de la fille une combattante mais sans oser le décalage jusqu’au bout et en revenant à la version d’origine…
C’est donc un petit délire qui n’a pas grandes ambitions et distrait le temps du visionnage mais guère plus.
Tout est prévisible (comme dans les films américains), il y a des scènes un peu molle (contrairement aux films américains)…
Mais il y a un petit charme en plus, une tendresse qui nous fait nous attacher aux personnages et même si tout est gros, au final, ça fait du bien.
Léger, charmant, sympa.
Si, au début, le quiproquo fonctionne bien, il arrive assez vite à ses limites et finit par méchamment tourner en rond…
Ça fait le job de la comédie familiale à voir le dimanche aprem dans les années 60 à 80 mais maintenant, si le début marche bien, l’ensemble paraît un peu poussif…
A voir pour connaître la filmo de Raynaud…
Bon, je ne sais pas comment c’est fait, mais le coup de l’enterrement, j’avais compris direct ce qui s’était tramé, ça doit manquer de subtilité...
La suite est amusante… Un temps.
J’aurais presque pu être pris dans le braquage, même si on se borne à déconnecter 50 alarmes à la suite… Mais rapidement, il y a trop de chance qui entre en jeu, comme le mec qui vient justement sortir ce qu’on cherchait, comme ça, hop, c’est plus facile, abracadabra…
Le duo Banks/ aurait pu être meilleur aussi, il tourne assez vite en rond…
Un film qui aurait pu être bien meilleur avec quelques idées en plus et des dialogues un peu plus soignés mais qui fait son job de distraction.
Mais tous se donnent à fond et les scènes clichés sont efficaces : on adore détester Bateman, on a envie que Braff s’en sorte…
Facile dans le déroulé mais efficace ! Avec quelques scènes gentiment politiquement incorrectes sur les handicapés en fauteuil…
Et pourtant, ils ont réussi à faire un beau dépoussiérage du conte !
Les chansons sont un peu too much en bons sentiments mais ça passe et les chorégraphies sont excellentes !
Ferrel et Reynolds sont réjouissants à s’amuser dans leur rôle !
Je ne m’attendais pas à passer un aussi bon moment !
On commence avec une intro très drôle où j’ai pensé qu’on allait avoir un nouveau Pierre Richard maladroit.
Et puis non, on part dans la recherche d’une mère.
Si le côté maladroit est un peu exploité, on est loin d’un The Party avec Peter Sellers…
Et puis on part sur un truc un peu familial émouvant mais on oublie la maladresse.
Et puis une révélation mais on oublie le côté retrouvailles familiales…
Avec une histoire d’amour improbable et biscornue…
La ligne directrice n’est pas évidente, l’ensemble manque d’enjeu, mais les comédiens rendent le tout plutôt sympathique.
Parce que ça a quand même un peu le luc entre deux chaises…
Ni totalement une love story puisque c’est torché vers le milieu pour laisser plus de place à la politique mais pas totalement film politique parce que si c’est amplement abordé, ça reste simplifié pour laisser de la place à la love story…
Un entre-deux qui ne m’a pas convaincu puisqu’on a déjà vu mieux dans les deux catégories.
Le tout faisant plus que largement penser à Pretty Woman, qui avait l’avantage de se baser uniquement sur le charme, la romance et l’humour (si tout m’y a fait penser, le summum en revient au président qui veut aller retrouver la belle en voiture avant de lui offrir un bouquet de fleur – je voyais Richard Gere…).
Donc pas désagréable mais pas convaincu.
D’abord, une bombe comme Katherine Heigl a besoin de conseils pour séduire un homme. Ahaha…
Ensuite, elle a besoin des conseils d’un mec entre macho et misogyne. Aha.
Après quoi, on passe sur un truc assez réducteur, les hommes, sauf le voisin de l’héroïne, sont des mecs qui ont un sexe mais pas d’émotion et c’est tutafé la vérité.
On parsème ici et là d’une scène un peu érotico-amusante, du nettoyage du pantalon en public et la culotte vibrante…
Et pis on finit comme c’est prévisible depuis le début, il la décoince, elle l’assagit, hop.
Heureusement que Butler a un côté exagéré un poil amusant pour donner un peu de piment à cette comédie romantique un peu fade…
C’est à peu près tout.
Le scénario assez classique bien que précurseur, sur une trame reprise de Tootsie à Mme Doubtfire entre autres, est ici assez plat.
Ça s’agite, on fait se changer 50 fois Fernand Raynaud pour pas grand-chose, dans des scènes un poil insipides et des dialogues plats, jusqu’à un final banal…
Très passable.
Rencontre improbable de deux ennemis qui deviennent amis, classique.
Mais le monde du patinage change, les idées sont amusantes, le rythme est bon…
Et surtout, on est dans un côté burlesco-fantaisisto-nawak qui va au bout de ses envies et qui fait de ce film un très bon divertissement.
Les filles décomplexées sont forcées d’être en sous-vêtements, de se déhancher vulgairement et faire croire qu’elles font des trucs dans leur voiture ?
On doit se tripoter la poitrine et celle des autres femmes, se claquer le fessier à longueur de temps et agiter régulièrement sa langue dans des situations évocatrices ?
Le summum du vulgaire improbable, la fille coincée en fellation avec 50 personnes qui viennent aider…
Comment ces femmes ont pu accepter un tel scénario débile ?
Nulnulnul…
Alors on a beau mettre Aniston, Roberts, Hudson, Sudeikis et tous les autres, quand il n’y a pas de scénario, ça ne sauve de rien du tout…
Plusieurs mères, plusieurs trames, pas folichonnes les unes et les autres, pas d’histoire globale ou presque pas, ça s’éparpille, ça bavasse, c’est pas drôle, c’est mou…
Ennuyeux.
On ne peut pas s’empêcher d’y penser ici… et de trouver ça moins bien.
Les scènes sont moins drôles, moins intéressantes, les problématiques moins fines, moins prenantes, les personnages sont plus banal, fade…
C’est un peu mou…
Ça passe vite fait mais c’est d’un intérêt moindre…
Principe éculé qui fonctionne quand la trame est bonne, que les soucis et découvertes sont intéressants.
Là, passé la découverte des corps de l’autre, de quelques situations amusantes, on tombe assez vite dans la platitude.
C’est pas très inventif, les comédiens ne sont pas plus que ça exubérants ou attachants…
C’est classique et pas fou.
Ça passe mais sans plus.
Une comédie romantique, ok, pourquoi pas…
Sauf que c’est pas la première à être tourné ; il faut quelque chose en plus pour se différencier des films avec Meg Ryan, Sandra Bullock et autres…
Et là, on ne l’a pas.
J’ai pas mal pensé à Quand Harry Rencontre Sally, Vous Avez Un Nouveau Message (ou Nuits Blanches à Seattle, je sais plus…).
Mais il n’y a pas l’inventivité, c’est mou, les répliques tombent à plat, les situations sont banales, ça n’avance pas…
Très moyen.
L’idée de départ, la fille rencontrée au hasard qu’on fait passer pour sa copine n’est pas mauvaise mais finalement, très rapidement, on s’en tape, elle est intégrée comme la copine et il n’y a aucune utilité à l’histoire à part la rencontre – il aurait pu la rencontrer normalement, elle aurait tout autant découvert le zoo.
La sœur un peu chelou, c’est un personnage original… et puis ça s’arrête là. Alors oui, elle a des réactions bizarres tout du long, mais ça fait pas une histoire…
Le frère, le zoo, le père, tout est assez plat, fade, sans enjeu ni saveur à mon goût…
Oui, oui, tout est assez décalé, c’est plutôt frais, mais ça ne m’a pas du tout intéressé.
Evidemment, ayant adoré Michael J Fox dans Retour vers le futur (et à peu près tout ce qu’il fait), j’attendais un peu de ce film.
Hélas, si l’acteur a la même énergie, la même souplesse corporelle, le scénario est ultra loin d’être à la hauteur !
Postulant que tout le monde est content d’avoir un loup-garou dans le coin, tout va bien.
Aucun effort du jeune pour devenir une star – base de tous les films de ce genre ou le pauvre garçon finit par réussir grâce à son talent.
Juste, il est loup-garou et tout le monde est content, hop.
Particulièrement ennuyeux et sans charme.