Commentaires de films faits par wind-of-river
Répliques de films par wind-of-river
Commentaires de films appréciés par wind-of-river
Répliques de films appréciées par wind-of-river
Tu t'en souviens, mon chéri?
Là où tu te sens bien, se trouve ton foyer.
Nous trouverons un endroit à nous, promis.
Garde tout ceci dans ton cœur.
Range-le bien et tu l'y trouveras à jamais.>>
_Peut-être que nous sommes tous des fantômes maintenant, sans le savoir.
_Peut-être.
Tu as vécu plus de vies que nous tous.
_Je n'ai pas vécu du tout.
_Tu es en train de changer les choses, et ils disent que vous n'avez pas le droit de vivre, que vous ne vivrez pas. Si ça se réalise, ils gagnent.
_Ils ont gagné jusqu'à présent.
_Ils ne gagnerons jamais, c'est le pouvoir que tu as. Tant qu'il y a quelqu'un de vivant, quelque part, ils perdent. Ils ne t'ont pas eu hier ou aujourd'hui, et tu feras de demain la même chose.
Hé! Demain ça doit être pareil.
_Vous tourneriez le dos à l'Allemagne pour toujours?
_Elle m'a tourné le dos en premier.
_Et bien, nous n'avons pas besoin de vous. Toi et ton stupide petit ami pouvez vous taire et allez vivre à débile-fromage-escargot-baguette-land.
_Tu dis ça juste parce que tu n'as pas de petite amie.
_Je suis bien trop occupé pour avoir une copine.
_Un jour tu trouveras le temps. Tu ne penseras plus à rien d'autres. Tu rencontreras quelqu'un et tu passeras tes journées à rêver des moments ou tu pourras à nouveau la serrer dans tes bras. C'est l'amour.
_Ridicule.
_Fini.
_J'ai dit de dessiner ou vivent les juifs. Ça c'est juste un dessin débile de ma tête.
_Oui, c'est là que nous vivons.
_Conditions?
_Oui. Raconte-moi tout à propos de la race juive.
_D'accord.
Nous sommes comme toi, mais humains.
_S'il te plait, prend ça au sérieux.
Considère ça comme un exposé. Je veux connaitre tous vos secrets.
S'il te plait, évite de t'asseoir sur le lit de ma sœur.
_Pourquoi? Elle n'en a pas besoin.
_Tu ne sais rien de ma sœur.
_Inga et moi étions amis. Je me souviens de toi. Un drôle de petit garçon.
_Assez discuté. Parle-moi de ton espèce.
_De toute évidence, nous somme des démons, qui aiment l'argent, non?
_Évidemment, tout le monde le sait.
_Mais ce que vous ignorez, c'est que nous sommes également allergiques à la nourritures. Fromage, pain, viande. Tout ça nous tuera instantanément. Donc, si tu songes à mettre fin à mes jours, c'est le moyen le plus rapide. Et les biscuits, mortels.
_Très drôle.
_Et bien, je ne danserais pas. La danse, c'est pour les gens qui n'ont pas de travail.
_La danse, c'est pour les gens qui sont libres. C'est une échappatoire à tout ça.
_Et bien, tu es libre de danser sur le chemin de la maison. Je vais rouler.
_Oh, non. Personne ne peut m’arrêter!
_"Patet, ibimus illi."
"Nul doute, le ciel nous est ouvert.
Allons-y."
_Le ciel est ouvert.
La lune pleure toutes ses larmes
Les enfants vivent dans l'obscurité
Ils n'ont ni mère ni foyer
Les arbres à thé au sud du royaume
Voient leur feuilles pousser
Dans les larmes et la sueur
Ô Grand Dragon
Entends-tu nos pleurs ?
Les démons détruisent
Nos foyers sans pitié
Nous t'appelons à l'aide
Sauve-nous de l'oppression
Je ne supporterai pas qu'il finisse enfermé entre quatre murs.
Je préfère me foutre en l'air avec lui tout de suite.
_Alors là, je préfère quand même goûter le gâteau. Hein?
En plus c'est celui à l'ananas, c'est ça? Hein?
- Que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, oui je voudrais savoir pour la b-b...
- La batte de base-ball…
- Non, la b-b...
- La boule de bowling ?
- Non, la b-b...
- Le banjo ?
- Non, la b-b...
- La bestiole ?
- La b-bécane, putain !
- Si vous voulez utiliser ce genre de vocabulaire, vous n'avez rien à faire ici.
- Excusez-moi, désolé. Vous croyez qu'on pourrait faire comme si je venais d'entrer ?
- Que puis-je faire pour vous ?
- Oui, merci. J'aimerai acheter la bécane.
- Vous seriez pas William Denbrough, l'écrivain ?
- Oui, c'est moi… Cette bécane, c'était la mienne.
- Maintenant, c'est la mienne. Mais vous êtes célèbre, vous avez les moyens de vous l'offrir.
- D'accord. Combien ?
- 300 dollars. Vous avez les moyens. Je vous la descend.
- D'accord. Marché conclu.
Vous voulez une dédicace ?
- Non, j'ai détesté la fin.
- Trois billets de cent.
- Elle est à vous.
Je vous garanti pas qu'elle ira très vite.
Ça fait pas mal d'années qu'elle est là.
- Vous savez quoi, monsieur ?
Elle allait assez vite pour battre le diable !
_Tu as parlé de cet endroit à Lewis et maintenant on va souffrir pour l'éternité. »
Ce livre décrit la voie :
Un, deux, trois, quatre, cinq, six.>>
Ensemble pour toujours, non ?
_ Oui. >>
_ Je sais pas.
_ Pourquoi as-tu changé de morceau ?
_ Je voulais la battre.
_Sa technique n'est pas meilleure.
_ Non...
_ C'est un compliment.
Elle n'est pas meilleure.
Son rendement est moins bon.
Alors pourquoi Vivian est la star, et tu es... ce que tu es ?
Elle joue comme si le Diable était à la porte.
_ Et Moira ?
_ Moira ?
_ Elle a battu Vi, la première fois.
Elle jouait comme ça ?
_ Elle jouait comme si le Diable était dans la pièce.
La musique, c'est compétitif.
Si tu veux vraiment le devant de la scène,
rien ne devrait t'en empêcher.
Même pas Vivian.>>
Je sais que vous la protégez.
Je sais que c'est Kayla.
Je sais qu'elle l'a tuée !
Je sais. >>
_ Je sais pas courir...
J'ai pas envie de me casser la gueule. >>
Ô grand guerrier,
qui a su rester en vie
sans même lever le petit doigt,
qui a insufflé sa force et sa passion aux autres,
j'aimerais te laisser partir, mais...
_ Oui ?
_ Ne préférez-vous pas voir cet homme défendre l'Empire ?
_ Non.
_ Terrasser nos ennemis ?
Et devenir notre héros ?
_ Non, pas du tout. Pas du tout.
Baissez, c'est mieux. On préfère la liberté, comme les autres.
On préfère ça.
_ Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.
J'ai décidé de t'envoyer là où on aura le plus besoin de ton courage.
En Gaule.
Aider nos forces à terrasser ces sauvages Gaulois.
_ César, je t'en supplie, pas en Gaule.>>
_J'en suis pas complètement sûr. >>