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Un groupe de fans de Baker, allant d'anciens associés à d'anciennes femmes et à des enfants, parle de cet homme. Le film de Weber retrace la carrière de cet homme depuis les années 1950, en jouant avec des grands du jazz tels que Charlie Parker, Gerry Mulligan et Russ Freeman, jusqu'aux années 1980, lorsque sa dépendance à l'héroïne et son indifférence domestique le maintenaient en Europe. En juxtaposant ces deux décennies, Weber offre un contraste frappant entre le beau et jeune Baker, l'idole sculpturale qui ressemblait à un mélange de James Dean et de Jack Kerouac, à ce qu'il est devenu «un drole de pharmacien aux allures de cow-boy abandonné», comme J. Hoberman l'a mis dans sa critique de Village Voice.
Let's Get Lost commence vers la fin de la vie de Baker, sur les plages de Santa Monica, et se termine au Festival de Cannes. Weber utilise ces moments dans le présent comme une reliure pour le métrage historique contenu dans la majeure partie du film. La documentation comprend des photographies d'époque de William Claxton en 1953, des apparitions dans The Steve Allen Show et des films italiens kitsch et à petit budget que Baker a réalisés pour de l'argent.
Synopsis
Un groupe de fans de Baker, allant d'anciens associés à d'anciennes femmes et à des enfants, parle de cet homme. Le film de Weber retrace la carrière de cet homme depuis les années 1950, en jouant avec des grands du jazz tels que Charlie Parker, Gerry Mulligan et Russ Freeman, jusqu'aux années 1980, lorsque sa dépendance à l'héroïne et son indifférence domestique le maintenaient en Europe. En juxtaposant ces deux décennies, Weber offre un contraste frappant entre le beau et jeune Baker, l'idole sculpturale qui ressemblait à un mélange de James Dean et de Jack Kerouac, à ce qu'il est devenu «un drole de pharmacien aux allures de cow-boy abandonné», comme J. Hoberman l'a mis dans sa critique de Village Voice.
Let's Get Lost commence vers la fin de la vie de Baker, sur les plages de Santa Monica, et se termine au Festival de Cannes. Weber utilise ces moments dans le présent comme une reliure pour le métrage historique contenu dans la majeure partie du film. La documentation comprend des photographies d'époque de William Claxton en 1953, des apparitions dans The Steve Allen Show et des films italiens kitsch et à petit budget que Baker a réalisés pour de l'argent.
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