Oz : Salut les mecs. Alors on vient m’admirer ?
Jim : Ouais. Je trouve que tu chantes très bien.
Stifler : A ouais très bien. On dirait surtout que t’as perdu tes couilles !

Je suis un robot sexuel ultra perfectionné expédié du futur pour changer l’avenir, d’une petite veinarde !

À partir de ce moment je suis ton prof d'histoire. Nous traîterons de sujets d'actualité. Nous intitulerons ce cours... American History X.

" Je veux ce type. Non, je veux pas ce type, je l'aime et il me le faut. C'est lui, c'est mon arabe. Iqbal non, Omer si."

" Si seulement t'avais pu être là le mois dernier ! J'ai fait une démo pour American Dreamz. J'ai dû demander à Shazzy de filmer. Elle riait tellement que l'image, elle était floue."

Martin : Jessica, mon ange, tu me donnes parfois le sentiment d'être meilleur près de toi. Seulement, je ne le suis pas pour autant. Je suis moi.
Jessica : C'est affligeant. Tu me fais honte.
Martin : T'as tort. Y'a que toi que ça gêne. En fait, je suis carrément raide dingue de moi.

" Je vous le dis. Vous êtes le plus grand compositeur que j'aie jamais connu."

" Sur le papier, ça n'avait l'air de rien. Le début était simple, presque comique. Une pulsation, basson, corps de basset. Un bandonéon rouillé qui miaule. Et ensuite, soudain, haut perché, un hautbois. Une seule note flottant, comme suspendue. Jusqu'à ce que la clarinette vienne la reprendre... et l'adoucir en une phrase de pur délice. Ah ! Ce n'était certes pas un singe savant qui avait pu composer cela. C'était une musique exceptionnelle. Empreinte d'une telle tension, d'un tel inépuisable désir. Il me semblait entendre la voix de Dieu. Mais pourquoi ? Pourquoi Dieu avait-il choisi cet enfant obscène pour instrument ?"

Mon lieutenant, c'est mort ici, j'sais pas ce qui c'est passé mais on a raté la fête.

Burke : Je crois que ça s'fait partout d'avoir un synthétique à bord.
Bishop : Je préfère homme artificiel mais c'est personnel.

Ripley : Chaque fois que Parker dit quelque chose toi tu dis "ouais" Brett tu t'en rends compte ?
Brett : Ouais.
Ripley : Parker ça te plait d'entendre ton équipier passer son temps à dire ouais, comme un vulgaire perroquet ?
Parker : Beh réagit mon petit, tu crois que t'es un vulgaire perroquet ?
Brett : Ouais.

Cette saloperie est en train de bouffer la coque !

On dirait... on dirait un champs clôturé. C'est... c'est plein d'objets de cuir comme... des oeufs ou j'sais pas quoi. Y'a... y'a une couche de brume bleue qui recouvre les oeufs... Ça réagit quand on passe au travers

Henri : Tu peux me raconter tout ce que tu veux mais moi, je sais qu'un homme, c'est un homme. Et une femme, c'est une femme.
Denis : Ah ben, jusque-là, on est d'accord.
Henri : Chacun son sexe, et les vaches seront bien gardées.

Yolande : A quoi ça sert de garder un chien paralysé comme ça ?
Denis : C'est décoratif. C'est comme un tapis, mais vivant, quoi.

Henri : Si ça va bien, t'es content. Si ça va pas, tu patientes. C'est comme ça, la vie.

" Je connais ces eaux mieux que les verrues sur le visage de ma mère."

"Trois frères unis. Trois Licornes de conserve voguant au soleil de midi parleront. Car c'est de la lumière que viendra la lumière et alors resplendira la croix de l'aigle". A quoi correspondent ces signes ? Une sorte de langage secret ? Un code ? Je comprends pas ce que c'est. Mais ça explique pourquoi ils ont saccagé mon appartement. Ils devaient chercher ça et ils ne l'ont pas trouvé. Ce qui veut dire... qu'ils vont revenir !"

Henry : Il est mort.
Tommy : Qu'est-ce tu croyais j'allais pas le rater, ça me connait les flingues !

Pour nous ceux qui vivaient autrement ils étaient fêlés. Tout ces p'tits saints qui se tapaient un boulot de merde pour un salaire de clodo, qui se farcissaient le métro tous les jours pour aller bosser et qui s'angoissaient pour leurs fins de mois c'étaient des zéros, des poires, ils avaient rien dans le froc. Si on voulait quelque chose, on s'servait. Si quelqu'un se plaignait deux fois il morflait tellement qu'croyez-moi ça lui passait l'envie de recommencer. C'était la routine tout ça, on n'y pensait même plus.

Mon père avait toujours un pet de travers. Il l'avait mauvaise d'être payé des clopinettes, il l'avait mauvaise que mon p'tit frère Michaël soit dans une chaise roulante, il l'avait mauvaise qu'on vive à sept dans une si p'tite maison. Mais au bout d'un moment il l'a surtout eu mauvaise de me voir traîner du côté du dépôt, il savait c'qui s'y passait alors une fois de temps en temps fallait qu'j'prenne une trempe.
Mais ça me faisait déjà plus rien, comme je voyais les choses, tout le monde s'en ramasse une un jour ou l'autre.

" Paulie c'était pas le genre à se bouger vite... mais c'était uniquement parce que Paulie n'avait pas besoin de bouger le petit doigt. "

Autant que je me souvienne, j'ai toujours rêvé d'être gangster...

" Miracle de l’amour, ce soir là, D’Artagnan chantait juste. De fait, précurseur de génie, le maître et le valet inaugurait ainsi le premier playback de l’histoire."

" Nous sommes les Mousquetaires
Les Mousquetaires du Roi
Champion de la rapière, l’honneur est notre loi
Si nous faisons la guerre c’est pour servir le bien
Un pour tous et tous pour un
Un pour tous, tous pour un, comme les cinq doigts de la main
Nous sommes les trois Mousquetaires cousins "

"Octave revient de loin. Pour lui la vie sans cocaïne c'est presque une découverte, c'est un peu comme la vie sans télé pour certains, tout est plus lent et on s'ennuie vite. Il se dit que c'est peut être ça le secret qui sauverait le monde, accepter de s'ennuyer. Pas facile..."