Joseph McGinty Nichol
Réalisateur
Activité et points forts
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Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.87/10Nombre d'évaluations : 618
0 Citations 154 Commentaires sur ses films
Alias et noms de plume
- McG
Les derniers commentaires sur ses films

Bof... ce film ne casse pas trois pattes à un canard. C'est du réchauffé de Divergente je trouve...
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Dans un monde dystopique, les gens sont divisés en deux classes : Les Pretty et les Uglies. Les seconds, surnommées les moches, n'ont pas encore subit l'opération destiné à les rendre beau. Et Tally n'attend que ça, devenir une Pretty pour retrouver Peris, son ami d'enfance !
Evidemment, tout cela ne va pas être aussi simple et, se faisant une nouvelle ami en l'absence de Peris, elle va découvrir que ce monde tout beau ne l'est pas tant que ça. Le probléme, c'est que le lien entre l'histoire des Uglies et des Pretty n'est finalement pas évident, et semble surtout là comme excuse, bien qu'une vague explication scientifique soit donné. Alors en plus d'être relativement banal dans le style, et réalisé par un McG en manque d'inspiration, saupoudré d'effets visuels pas géniaux, Uglies ne convainc pas vraiment et semble retourner à l'époque des "dystopie" de trop qui n'ont jamais eu de suites... A surveiller...
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Un film dystopique dans la même trempe que Divergente : le monde d'après a été complètement repensé suite aux agissements irresponsables des habitants du IIIe siècle.
Seulement ce monde n'est pas aussi parfait qu'il en a l'air, et cette aventure compte nous le prouver. L'idée n'est pas très originale mais toujours aussi efficace. Seulement les personnages sont assez superficiels et peu originaux, l'histoire est bien menée mais elle aussi assez superficielle, les images sont jolies mais les effets spéciaux sont assez questionnables (notamment sur les scènes à grande vitesse).
En somme, un film qui se laisse regarder et permet de passer un bon moment, sans être la réussite de l'année. Je regarderai tout de même le deuxième opus, dont l'existence ne fait aucun doute à la fin de ce premier film de la saga.
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Je ne suis absolument pas convaincu.
C'est sans grand intérêt, tout se passe à une vitesse folle dans prendre le temps de développer quoi que ce soit (situation, personnages etc), on ne ressent aucune émotion surtout que le jeu des acteurs n'aide en rien à en ressentir, c'est très plat.
Je n'ai jamais vu des personnages changer d'avis aussi vite et sans aucune cohérence.
Esthétiquement ce n'est pas une réussite et au niveau du son ce n'est pas mieux.
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Bon film qui sert à passer le temps ! Avec le côté comic c vraiment un film à ne pas prendre au sérieux. Bee est juste 🤩(l'actrice purée) et le petit Cole se démerde franchement pas mal pour survivre finalement mdr, la petite bande de Bee m'a aussi bien fait rire même si y'a des moments on s'en sera bien passé 💀
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Cette suite est nul 🧍
Malgré quelques points forts Spoiler(cliquez pour révéler)du genre le développement du perso principal le film est trop long pour rien et la fin Spoiler(cliquez pour révéler)ou Bee est enft "gentille" et où elle meurt 2sec après genre juste non c un scénario nul guys 😭
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A une époque où le physique a plus d'importance que l'intelligence, tirer la sonnette sur les dérives qu'une telle société pourrait engendrer me semble approprié. Alors oui, la cible de ce film, ce sont les adolescents, mais j'ai tout de même aimé suivre l'aventure de Bigleuse. Le casting est réussi, le scénario se tient, les effets spéciaux sont de bonne qualité et le suspens est au rendez-vous. Vivement une éventuelle suite venir.
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Ayant lu le livre quand j'étais au collège ce qui fait maintenant ~12 ans j'ai été très étonné de voir ce film et c'est avec hâte que je me suis empressée de le regarder ! Et que de souvenirs ! Je trouve ce film très bien et ça m'avait manqué les dystopies à l'ancienne comme on pouvait en voir avant
Je ne pense pas que j'avais lu le reste donc hâte de découvrir les autres films et peut être relire la saga !
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L’adaptation du roman *Uglies* en film m’a vraiment déçue. Le livre est génial, avec une histoire captivante et des thèmes profonds sur la beauté, la société et l’identité, mais le film ne lui rend vraiment pas justice. L’adaptation ne capture pas la complexité de l’histoire et ne parvient pas à retranscrire l’intensité émotionnelle et les enjeux du roman. Les personnages, que j’avais adorés dans le livre, semblent ici beaucoup moins profonds et leurs motivations ne sont pas aussi bien explorées. Franchement, c’est une grosse déception, surtout parce que j’attendais beaucoup plus d’un film qui avait un tel potentiel.
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Science fiction comme je les aime. Le film met en avant le concept d'esthétique, le fait que les gens voient et vient que par la beauté. En soit l'avancé scientifique était bien mais pour le film fallait la transformer en quelque chose de mauvais. Cela apprend la confiance en soi et à apprendre à voir à travers et dans le vrai.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Joseph McGinty Nichol
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Overbrook Entertainment, The Robert Simonds Company : 1 film
The Halcyon Company : 1 film
Sony Pictures Entertainment : 1 film
Columbia TriStar Films : 1 film
EuropaCorp : 1 film
New Line Cinema : 1 film
Netflix : 1 film
Biographie
Après des études de psychologie à l'Université de California-Irvine, Joseph McGinty Nichol fonde en 1993 le label musical G Recordings. Dès la fin des années 90, McG conjugue l'image et la musique en réalisant un court documentaire sur le groupe Korn (Korn : Who Then Now ?), puis de nombreux vidéo-clips pour des artistes tels que The Offspring (The Offspring Complete Music Video Collection), Cypress Hill (Cypress Hill : Still Smokin') ou Sugar Ray. A cette activité, qu'il poursuit même après avoir percé au cinéma, s'ajoute la réalisation de spots publicitaires pour de grandes marques (Coca-Cola, Gap...).
C'est grâce à ses films dans les milieux musicaux et publicitaires et aux prix qu'il remporte que McG est repéré par l'actrice Drew Barrymore. En 2000, il est donc engagé pour mettre en scène Charlie et ses drôles de dames, version cinématographique de la série télévisée des années 70, portée par Cameron Diaz, Drew Barrymore et Lucy Liu. Trois ans plus tard, il retrouve les trois comédiennes pour de nouvelles aventures dans Charlie's angels - les anges se déchaînent.
S'il se distingue également dans le domaine des séries télévisées - il est l'un des créateurs de Chuck, Newport Beach ou encore Supernatural -, McG s'essaye au drame en mettant en scène We Are Marshall (2006). Inspiré d'un fait divers sur le crash aérien d'une équipe de football américain, le film, porté par Matthew McConaughey, n'est toutefois pas distribué en France.
McG retrouve le chemin des blockbusters avec Terminator Renaissance (2009), où il dirige notamment Christian Bale et Sam Worthington. Chargé de ressusciter la saga Terminator, McG plonge les spectateurs dans la guerre qui oppose le chef humain John Connor aux robots de Skynet. Ce nouvel opus, très attendu des fans, ne remporte toutefois pas le succès escompté et ne connait donc pas de suite. Dans un tout autre registre, le réalisateur passe à la comédie romantique sur fond d'action et d'espionnage avec Target (2012), un long métrage dans lequel deux agents de la CIA (les très en vogue Tom Hardy et Chris Pine) se disputent la même "cible" (Reese Witherspoon).
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