Nikolaj Arcel
Réalisateur
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Note moyenne : 6.95/10Nombre d'évaluations : 146
0 Citations 37 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Après toutes les mauvaises critiques que j'avais pu voir à propos de ce film, je suis agréablement surprise ! Moi j'ai bien aimé !
L'histoire est plutôt sympas, et le jeu des acteurs à la hauteur ...
Je n'ai plus qu'une envie maintenant : me plonger dans les livres que beaucoup encensent !...
Afficher en entierJ'ai adoré l'univers de ce film et l'idée des Shining !
Je regrette juste que l'on est pas plus d'explications sur certains points. Le choix des acteurs est intéressants et ils ne m'ont pas déçues. Les effets spéciaux sont agréables et notamment "l'autre monde". :)
Afficher en entierBon film de sciences fictions où les acteurs sont pas mal dans leurs rôles. Matthew McConaughey est excellent dans son rôle de méchant ténébreux ! J'aime bien le petit gars aussi et sa relation avec le pistolaro donne une note "positive" dans ce film.
Afficher en entierUn film prometteur, avec de bons acteurs et une bonne idée de départ. C'est dommage qu'il s'essouffle lorsqu'on arrive à la moitié du film, comme si on avait exploré toutes les possibilités du scénario. C'est également dommage que certaines questions restent sans réponses (que deviennent les enfants, pourquoi ces bracelets, d'où vient la légende des pistoleros, etc.). Néanmoins, c'est un film de SF qui se laisse regarder.
Afficher en entierJ'ai reculé avant de le voir mais finalement, c'était très bien. Une bonne intrigue, des persos un peu clichés Spoiler(cliquez pour révéler)(le cavalieros seul, l'ado qui le ramène à ses valeurs, le grand méchant en cape noire...)mais ça ne gâche pas l'action.Une bonne surprise.
Afficher en entierUn très beau film malgré le fait qu'il soit extrêmement triste
Afficher en entierLe début avait bien commencé, l'histoire du garçon était intéressante, c'était prometteur, puis ensuite vers la moitié ça a dérivé sur une espèce de film d'action à deux balles avec beaucoup trop d'incohérences,et trop de choses survolés qui auraient mérité d'être approfondie, en même temps comment vouloir résumer huit tomes en un film de 1h35, ça tient de la mission impossible. Pour parler un peu des acteurs, j'ai aimé la prestation de Idris Elba que j'ai trouvé plus que crédible, par contre j'ai été déçue par la prestation de Matthew Mc Conaughey (que pourtant j'aime beaucoup d'habitude) je l'ai trouvé trop superficiel, il en faisait des caisses et moi ça ne m'a pas convaincu plus que ça ! Bref ! Un film avec un énorme potentiel qui a été gâché, dommage !
Afficher en entierJ'ai bien aimé le début. Ca partait plutôt avec l'histoire du garçon et puis après c'est parti dans tous les sens. Je me suis vraiment ennuyé.
Afficher en entierUn film fantastique au scénario bien trop classique et convenu. Quel dommage car il y avait du potentiel et de bons acteurs!
Afficher en entierun bon petit film original, une navigation entre les mondes grâce à des portails, à voir.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Nikolaj Arcel
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Zentropa Entertainments : 1 film
Menfis Film : 1 film
Sony Pictures : 1 film
Nimbus Film Productions : 1 film
Film i Väst : 1 film
Biographie
Nikolaj Arcel est un scénariste et réalisateur danois, né le 25 août 1972 à Copenhague (Danemark).
Ayant débuté sa carrière de réalisateur dans les années 2000, Nikolaj Arcel a connu plusieurs succès au niveau national, mais le film Royal Affair, qu’il produit en 2012, lui attire une audience internationale et plusieurs récompenses : deux Ours d’argent à de la 62e édition du festival du film de Berlin et le Satellite Award des meilleurs costumes (2012).
Nikolaj Arcel est le fils de l’architecte Anne Ancel et du psychologue Libby Arcel. Il est le frère cadet de l’actrice Nastja Arcel, avec laquelle il a eu l’occasion de travailler au début de sa carrière sur les plateaux de tournage, notamment pour Klatretøsen (2002) et Kongekabale (2004). Par ailleurs, depuis 2009, le réalisateur et scénariste entretient une relation avec l’actrice danoise Rosalinde Mynster (1988), qui est aussi à l’affiche dans son film Royal Affair (2012).
Enfant, Nikolaj Arcel est d’un tempérament introverti et pensif si bien que ses premières réflexions cinématographiques portent sur Star Wars ; il réalise seul ses premières scènes caméra en main en reprenant les personnages de la saga sur une étagère de sa bibliothèque. Sorti en 1982 alors qu’il n’a que 10 ans, le film E.T. l’extra-terrestre marque pour lui la prise de conscience de sa vocation : le cinéma. Il commence à écrire des romans et des nouvelles à partir de l’âge de 12 ans. Au gymnase, Arcel réalise avec ses camarades un long métrage tourné d’après La Cité de verre, premier opus de Trilogie new-yorkaise de Paul Auster. L’Américain John Irving devient à l’époque une de ses lectures favorites, et le jeune Ancel rêve déjà d’une collaboration avec l’auteur.
Après le gymnase, qui correspond à la fin de l’enseignement secondaire dans le système éducatif danois, Nikolaj Arcel s’offre une année sabbatique. L’industrie du cinéma l’intimide alors et il semble que la profession soit peu ouverte aux plus jeunes talents. En effet, le cinéma danois est dans les années 1990 un « pays fermé », et ce depuis Bille August.
Nikolaj Arcel poursuit ses études à la Den Danske Filmskole (l’« École nationale danoise du film »), mais aussi au Collège européen du film à Ebeltoft, dans le Jutland. Il s’y fait un cercle de relation, et tisse notamment des liens avec un scénariste avec lequel il travaille dans plusieurs de ses films, Rasmus Heisterberg. Alors que Woyzecks sidste symfoni, un court métrage qui est en réalité son film de thèse, est présenté en 2001 pour la DDF, Nikolaj Arcel reçoit la même année son diplôme. Le film reçoit en 2002 le grand-prix du Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand.
Les années 2000 marquent le début de sa carrière. Le premier film qu’il réalise en 2004 est le long métrage Kongekabale. Le succès de ce film à la fois au Danemark et dans le monde anglo-saxon l’encourage à réaliser un film fantastique en hommage à Spielberg et au film E.T., qui a marqué toute sa génération. Il passe les trois années suivantes à réaliser le film fantastique L’île aux sorciers, qui connaît lui aussi une petite reconnaissance internationale. En 2010, il réalise Sandheden om mænd ou Truth about Men à l’international.
En 2012, le film Royal Affair reçoit un véritable succès auprès du public. Pour son quatrième long métrage, Nikolaj Arcel retrace une periode l’histoire du Danemark qui se déroule dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Le film à la fois historique et dramatique relate la relation amoureuse du médecin du « roi fou » Christian VII, Johann Friedrich Struensee et de la reine Caroline-Mathilde, couple politique qui, à la tête de l’État danois, mis en pratique les idées des Lumières. Récompensé à la Berlinale de 2012, le film est aussi nominé en 2013 à la 85e cérémonie des Oscars (meilleur film en langue étrangère).
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