Sam Raimi
Réalisateur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.36/10Nombre d'évaluations : 1 753
0 Citations 435 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films

Le film m’a tellement dérouté que je l’ai regardé une seconde fois dans la foulée.
Pas totalement mieux côté dérouté…
Donc, on a une suite qui est en fait un remake mais qui n’est pas un remake puisque c’est la suite, sauf que c’est pareil mais volontairement différent…
Pour une histoire de droits, Sam Raimi ne peut pas faire une suite.
Ok.
Donc il décide de refaire l’exact même film, le chalet, le pont cassé, la cave, les esprits, l’arbre violeur, la tête qui rit. Mais c’est clairement pas le même, dixit réalisateur et comédien.
Donc là, je suis déjà largué.
Bref, ne réfléchissons pas, Evil Dead 2.
Comme le premier mais deux fois plus.
Et là aussi, ça m’a dérouté.
Pendant presque une heure, ça barre dans tous les sens, on ne sait pas si c’est du gore ou du comique avec Ash et sa main qui le frappe, il tue sa copine l’enterre s’en fout hop une bonne chose de faite, il se coupe la main comme s’il se taillait les ongles ça fait pas si mal…
Donc c’est pareil que le premier mais sous cocaïne, ça va dans tous les sens, ça va vite, ça hurle…
Même au second visionnage, j’ai pas réussi à entrer dedans avant une bonne heure.
J’avais adoré Braindead et ses excès.
Là, c’est too much, trop nawak dans tous les sens, une fin totalement n’importe quoi…
Du mal même si c’est rigolo gore.
Afficher en entier
Globalement, j’ai passé un bon moment.
Alors depuis, j’ai pensé à Deadpool sorti après et qui a ce côté ne pas vouloir se montrer, avoir du cynisme, de la force et violence, une femme, etc. Mais sans un paquet de trucs cool dans les excès et le quatrième mur brisé…
Un petit côté « La Mouche », aussi, avec ce type qui fait ses expériences dans son coin pour s’y cacher ensuite…
Donc un film sympa, une base correcte bien qu’avec une originalité modérée, c’est bien tenu et bien traité.
La fin est un peu basico-classique avec le « gentil » qui se bat contre les méchants, ça fait déjà vu mais ça passe bien.
Afficher en entier
Là, on lorgne clairement vers le rigolo.
Evil Dead se transforme en une pochade loufoque usant et abusant du décalage et de l’absurde.
Les effets ont clairement vu leur budget réévalué et on entre dans une quête farfelue où l’excès est de mise, tant dans les situations que les images.
Ça va pas chercher loin, c’est méga basique, mais c’est rigolo.
Afficher en entier
Je fais mon annonce habituelle : je n'aime pas les films d'action. Je n'ai aucune passion pour les super-héros au cinéma. J'ai d'ailleurs complètement lâché l'affaire. J'ai récemment vu Spider Man No way home, mais avant ça, je crois ne plus avoir regardé de Marvel depuis 10 ans. Oui, je ne suis pas le public pour ce film, mais si je dois nécessairement tout rattraper, c'est certain que je ne le ferais pas, donc j'y vais quand même, et on verra bien.
Comme pour Spidey, je suis assez surprise de comprendre aussi facilement l'intrigue, alors même que je n'ai littéralement aucune référence. C'est dire qu'on ne réinvente vraiment pas l'eau tiède... Mais je crois que là, on franchit un cran supplémentaire. Je suis vraiment sidérée par la médiocrité du scénario, je suis désolée, mais des passages sont horriblement mal écrits.
Pour pas spoiler grand-chose, je ne vais prendre que l'amorce en exemple. Docteur Strange discute 30 secondes avec Wanda qui lui dit qu'elle aimerait retrouver l'univers où elle a des enfants, quitte pour cela à voler le pouvoir d'America Chavez. Ma conclusion : "ce n'est pas très gentil, Wanda, de risquer la mort d'America pour régler ton souci perso avec tes gamins, pourquoi tu n'en concevrais pas plutôt dans cet univers aussi, c'est quand même plus simple ?". La conclusion de Docteur Strange : "il ne faut surtout pas la laisser faire ça, si elle y arrive, elle réduira tout le multivers en esclavage". Euh, pardon ?! On peut prendre 10 secondes pour réfléchir au caractère excessif, définitif et binaire de cette affirmation gratuite ? L'enjeu est complètement démesuré et injustifié par rapport à l'annonce initiale...
Puis ça choque que moi qu'en 2022, année de sortie du film, on puisse encore écrire sans aucune pression ce genre de personnage féminin hystérique, dont toutes les actions sont dictées par leur système hormonal et leur envie bébé ? C'est juste moyenâgeux comme vision de la femme ! C'est quoi la suite "Wanda, tu as t'es règles pour être d'aussi mauvaise humeur, c'est pour ça qu'on t'appelle la sorcière rouge" ?! Certains ont trouvé ce film progressif, parce que oui, on a effectivement enfin des minorités ethniques visibles à l'écran, ainsi qu'un personnage homosexuel (pas les héros du film, cela dit). Mais serait-il possible de ne pas se laisser aveugler par des opportunistes effets de manche, et avoir une vision globale des choses ? Ce film chie sur la gueule de la moitié de l'humanité, mais comme America est une hispanique qui aime les filles, tout va bien.
Au niveau de la technique, c'est un Marvel, on y a mis des millions et ça se voit. Les effets numériques sont globalement une référence. On a aussi quelques scènes un peu arty qui sont une agréable surprise, comme cet espèce de brouillard rouge dans un décor tout blanc, franchement ça avait de la gueule. Par contre, c'est dommage que dès qu'on ait un effet un peu moins bien fignolé, bah, il nous agresse un peu. Je pense notamment au maquillage de Docteur Strange sur la fin (je n'en dis pas plus pour pas spoiler) qui est absolument dégueulasse, alors qu'on sait pourtant faire des merveilles avec du simple maquillage.
Aussi, si Spider Man No Way Home fonctionnait, c'est parce qu'on avait réussi à faire rappliquer une bonne partie du casting des anciennes générations de Spider Man, y compris les têtes d'affiche. Sauf qu'on voit déjà les limites de ce pari, qui ne va pas fonctionner à chaque fois. Franchement, quand les "Illuminatis" (je passe sur ce nom, on dirait déjà une blague) débarquent, on a envie de rire tellement ils font peine. Spoiler(cliquez pour révéler) Alors on a donc réussi à faire rappliquer Hayley Atwell pour représenter les Avengers, parce que Chris Evans et Robert Downey Jr avaient poney. Une Capitaine Marvel pas jouée par Brie Larson, qui avait poney elle aussi. John Krasinski pour représenter les 4 fantastiques, soit la franchise Marvel la plus pathétique. Et un gars, on ne sait même pas qui c'est, jamais vu dans les films Marvel. Mais quelle bande de branquignols ! Puis enfin le boss final, quoi doit nous faire dire WAOUUUUH : Patrick Stewart. Patrick Stewart. Je n'ai rien contre ce monsieur, les X-men sont même les super-héros pour lesquels j'ai le plus de sympathie. Mais Patrick Stewart quoi. Le gars à 85 ans, laissez-lui profiter de sa retraite, il n'en a rien à battre de votre saga, il ne comprend même pas les dialogues qu'il récite...
Afficher en entier
Film plutôt bon, quelques passages qui surprennent
Afficher en entier
... Je me suis fais violence pour regarder ce film jusqu'au bout. C'est débile à souhait, les effets spéciaux sont affreux, surexploités et très mal fait, les acteurs sont mauvais. Il n'y a que la petite fille en porcelaine qui est bien faite... Quelle perte de temps de voir ce film.
Afficher en entier
Un film culte. Pour ma part je le regarderais pas
Afficher en entier
une bonne suite mais pas pour moi
Afficher en entier
Ce film est le meilleur que la trilogie. Il y a un peu plus d'action par rapport au 2 autres. je le regarderais
Afficher en entier
Ohhhh la fin wow c'était effrayant
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Sam Raimi
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Columbia TriStar Films : 3 films
Universal Pictures : 3 films
Renaissance Pictures : 3 films
Gaumont Columbia Tristar Films : 1 film
De Laurentiis Entertainment Group (DEG) : 1 film
Dino De Laurentiis Company : 1 film
MARS FILMS : 1 film
UFD : 1 film
Biographie
Très jeune, Sam Raimi se passionne pour le cinéma, et commence à tourner des films en 8mm avec l'aide de ses amis. Durant ses études, il rencontre Bruce Campbell, qui deviendra son acteur fétiche. Avec Ivan Raimi, son frère, ils fondent la Society for Creative Filmmaking de l'Université du Michigan et réalisent leurs premiers vrais films.
A leur sortie de l'université, Sam Raimi et Robert Tapert fondent Renaissance Pictures avec Bruce Campbell. Leurs premières réalisations, en 1977 et 1978, sont trois courts métrages, qui leur serviront pour monter le financement de Evil Dead en 1982, pour un budget de 350.000 dollars. Projeté dans une section parallèle au Festival de Cannes en 1983, ce film devient une oeuvre culte. Il obtient le grand prix du Festival de Paris du Film Fantastique (Grand Rex).
Afficher en entier