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Derice Bannock a un rêve dans la vie : aller aux Jeux Olympiques et faire aussi bien que son père, Ben Bannock, célèbre sprinter jamaïcain et champion olympique du 200 mètres à Mexico, en 1968. Pour cela, Derice s'entraîne dur tous les jours et peut compter sur le soutien de sa femme et de son ami de toujours, Sanka Coffie, un bon vivant insouciant, possédant des royales rasta dreadlocks sept fois champion de pushcart (en). Le jour des sélections sur 100 mètres, Derice est considéré comme le favori, mais à mi-course, et alors qu'il est en tête, son poursuivant, Junior Bevil, fils d'un riche bourgeois de Kingston et qui court contre l'avis de son père l'entraîne dans sa chute, ainsi qu'un troisième athlète : Yul Brenner. Malgré les réclamations, le président de la Fédération jamaïcaine refuse de faire recourir la course.
C’est un très beau film, sur le sport, et plus particulièrement les JO d’Hiver. C’est magnifique de voir leur détermination, surtout à la fin. Un film qui dégage beaucoup d’émotion avec une touche d’humour !
Un classique tellement touchant et agréable à regarder pour tous les âges. L'humour, bien qu'un peu lourd, permettra à tous d'esquisser un sourire, l'histoire incroyable vous emportera dans ses hauts et ses bas, et les personnages vous donneront envie de voyager.
En somme, sans être un chef d'oeuvre, Rasta Rockett permet à tous les publics de passer un bon moment sans prise de tête.
On m'avait beaucoup parlé de ce film, tant et si bien que j'ai été déçue quand je l'ai vu, je l'ai trouvé un peu lourd et il ne m'a pas fait rire comme je m'y attendais...
Bon le film date un peu, mais que cela ne vous décourage pas, car il en vaut vraiment la peine.
Les acteurs sont plutôt bons mais rien de plus marquants que ça, l'histoire elle étant inspirer de fait réel, elle ne peut pas vraiment être jugé. Ce qui rend ce film vraiment bon selon moi, c'est ce petit côté humoristique et plein de bonne humeur.
Au final, ça donne un film drôle et touchant que l'on prend plaisir à visionner.
Une comédie amusante à voir en famille, même si le doublage est un peu moyen.
Les acteurs ne sont pas trop mauvais, et l'ambiance du film est agréable.
La trame est assez prévisible, mais j'ai bien aimé le déroulement tranquille et bon enfant, avec humour et émotions.
Le but de l'histoire est emmené simplement, il n'y a pas de grosses révélations ou de vrai drame, ça vient tout seul et j'ai apprécié cette simplicité.
L'atmosphère était vraiment sympa, et la différence entre avant et après leur départ pour les jeux olympique donne vraiment l'impression de deux moment à part, on suit leur évolution et leurs rencontre, mais aussi leur entrée dans les jeux et le vrai début.
La fin a été plutôt surprenante, je m'attendais à plus prévisible, et je l'ai trouvé assez cool. Je dirais que c'est un peu un classique, un incontournable qu'il faut voir au moins une fois dans sa vie, et je suis contente que ça ai été là. Encore assez jeune pour apprécier, mais pas non plus trop, et assez mature pour comprendre certains détails qui que j'aurais pu rater.
Non vraiment, ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais, mais c'est réussi et comique, un bon moment de passé.
Un film à la fois plein d'humour et super émouvant. Quatre jeunes jamaïcains seul se découvrent et deviennent des hommes et de grands sportifs. A voir et à revoir en famille... ou pas
Synopsis
Derice Bannock a un rêve dans la vie : aller aux Jeux Olympiques et faire aussi bien que son père, Ben Bannock, célèbre sprinter jamaïcain et champion olympique du 200 mètres à Mexico, en 1968. Pour cela, Derice s'entraîne dur tous les jours et peut compter sur le soutien de sa femme et de son ami de toujours, Sanka Coffie, un bon vivant insouciant, possédant des royales rasta dreadlocks sept fois champion de pushcart (en). Le jour des sélections sur 100 mètres, Derice est considéré comme le favori, mais à mi-course, et alors qu'il est en tête, son poursuivant, Junior Bevil, fils d'un riche bourgeois de Kingston et qui court contre l'avis de son père l'entraîne dans sa chute, ainsi qu'un troisième athlète : Yul Brenner. Malgré les réclamations, le président de la Fédération jamaïcaine refuse de faire recourir la course.
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