Hyvää päivää ! (ce qui signifie
Bonjour en Finlandais. Visiblement, ils ont une petite passion pour les trémas. Je me suis dit qu'un pays nordique serait de circonstance (froid, neige, hiver tout ça). Les finlandais disent aussi
Hei mais j'ai trouvé que ça manquait d'exotisme... et de trémas. Bref, compliquer un simple bonjour et commencer par un HS : check)
Tout d'abord, je tiens à dire que c'est super d'organiser de nouveau un challenge de l'hiver (Il me semble que je n'avais pas bouclé le précédent. Je ne compte pas renouveler cet échec qui continue à me tourmenter nuit après nuit) ! Je m'inscris en mode «
vive le vent ». On pourrait croire que je suis audacieuse mais à côté, je choisis le niveau
petit pain d'épices (pour l'instant), ce qui est tout de suite moins badass.
Consigne 1 : Regarder un film avec « Neige » ou « Snow » dans le titre
Dead snow : La première scène m'a donné des espoirs fous... pour fracasser cet espoir dans la minute suivante. Je pense que son côté trash, pur délire décalé à prendre au 8ème degré, fait qu'il est plus intéressant de le voir entre potes. Sinon, je ne trouve qu'il n'apporte pas grand chose au genre, pas plus mauvais qu'un autre.
liste j'ai vu aussi
Consigne 2 : Voir 4 films dont les premières lettres du titre forment le mot « NOEL »
a. Nouveaux chiens de garde : Utile, le documentaire offre vraiment une vision (certes partielle et partiale) sur les conflits d'intérêt entre médias, pouvoirs politiques et grands patrons, non sans ironie. Peu importe qu'on soit déjà alerté par le problème ou pas, je pense que c'est un film intéressant à visionner et/ou à faire connaître car c'est tellement d'actualité. Après, je trouve que l'argumentation du film n'est peut être pas assez poussé : dénoncer des dysfonctionnements au sein de la presse française (soulevant des problématiques majeurs, notamment pouvoir penser librement par une actualité visant l'objectivité), c'est bien, mais il m'a manqué quelque chose, ayant parfois l'impression que le film usait de grosses ficelles ou ne confrontait pas assez les points de vue.
liste de bronze
b.Only lovers left alive : Ce film mérite qu'on s'y attarde, qu'on le savoure, qu'on le mâche hypnotiquement, le regard captivé et rivé sur ces images envoûtantes, bercées par cette musique transcendante. Les suceurs de sang n'ont jamais été aussi ensorcelant qu'ici. Une atmosphère prenante, du cynisme mordant et des personnages tourmentés, fascinants, joués par des acteurs mémorables, forment le jeu lugubre, funeste, rock'n'roll et amoureux d'un couple plongé dans les méandres de la dépression, par l'appel du vide qui devient de plus en plus pressent. J'ai adoré.
Liste d'or
c.
Extrêmement fort et incroyablement près : Comparé à Billy Elliot et The Reader du même réal, je le trouve très en dessous mais pris seul, cela reste un très bon film. Je dirais que le principal problème, c'est que la psychologie des personnages m'apparait un peu confuse. Il y a plein de choses intéressantes (colère contre la mère, la conclusion finale, son potentiel syndrome d'Asperger) mais les perturbations psychologiques de l'enfant sont présentées de façon brouillonne. Jamais je n'ai
vécu, dans son sens fort, le drame, jamais je n'ai ressenti l'intensité poignante que je m'attendais à éprouver durant le visionnage. J'ai oscillé entre émotion et frustration. Touchant, sensible, le film m'a emporté dans l'aventure du petit garçon mais dans un même temps, les longueurs sont venus me casser dans mon immersion. Je marche mais je ne m'envole pas sur ma balançoire...
liste d'argent
d. Life : aucune magie n'opère, s'installe une intensité presque austère, la mollesse prospère (vive les rimes). Je me suis laissée porter par l'histoire, le film ayant globalement réussi à garder mon attention, mais je suis déçue de la relation entre James Dean et Dennis Stock qui ne transmet que peu d'émotions.
liste de bronze
Consigne 3 : Voir un film d'un réalisateur ou avec un acteur/actrice principal(e) originaire d'un pays Nordique / froid
Submarino (danois) : Une émotion contenue, enfouie, qui reste bloquée jusqu’à la fin. Je ne vois pas cela véritablement comme un point négatif. C’est une autre manière de vivre le film. Là où Festen et La Chaste m’ont frappé de coups de poing, Submarino m’a anesthésié l’esprit sans anesthésier vraiment la douleur, restant dans la torpeur passive. Les regards sont magistralement filmés, captant un regard empli de solitude, un corps enfermé par sa propre vie, un espace vide où vient s’immiscer la violence, une existence meurtrie psychologiquement. Par les effusions rares et éphémères, le film donne une lueur d’espoir, un sens à la vie, une envie de persister, malgré cette existence d’abandon, de souffrance et de cruauté. Des cœurs fêlés et grisâtres mais qui continuent à battre.
liste de bronze (hésitation avec argent)
Consigne 4 : Regarder une romance
Casanova : Sans être extraordinaire, c'est franchement sympa. J'espère n'offenser personne en osant dire que ça fait un peu
Commedia dell'Arte, avec ces masques, ces quiproquos burlesques, ce duo comique, où séduction devient farce. Bref, le tout est très théâtral et orchestré dans des décors somptueux de Venise. Le film est rythmé et se laisse regarder jusqu'à la fin, alors même qu'il ne propose rien de neuf, ne semble pas avoir beaucoup d'ambition, ni même être fin dans son humour. Ça reste
charmant.
liste j'ai vu aussi
Consigne 5 : Participer au Ciné-Club de Décembre, Janvier ou Février
Dernier train pour Busan : Captivée, je le fus. Efficace, il se montra. Subversivité, il manquera.
liste d'argent
Consigne 6: Voir un film traitant de retrouvailles (remarque : familiales ou amicales)
Belle et sébastien : Autant le dire tout de suite, le film n'a rien d'original, il utilise des grosses ficelles qu'ils tirent et retirent, il est plus que difficile de jouer les surpris devant. Mais c'est
familial et le tableau qu'il forme m'a ému. J'ai été touché car cela me rappelle un plaisir tout enfantin et des souvenirs nostalgiques de mon passé. La simplicité du film, l'émotion qu'il m'a procuré et cette aventure prenante font que j'ai passé un bon moment. J'ai néanmoins préféré le premier.
liste de bronze
Consigne 7 : Avec un (ou plusieurs) autre(s) participant(s) au challenge, regarder le même film dans la même quinzaine de jours
La défense Lincoln avec Moridiin : Ce n’est ni un mauvais film ni une œuvre exceptionnelle. Simple, efficace, il a réussi à me captiver de bout en bout. Comme la plupart des films que j’ai vu de Matthew McConaughey, il dégage un certain charme, avec ici le rôle d’un avocat brillant et faussement désinvolte. Ce fut un bon moment sans prétention mais qui manquait d'une ambiance plus noire, plus intense dans sa noirceur. Il tient la route quoi...
liste de bronze
Consigne 8 : Voir cinq films primés (
alias la Boss des Consignes) :
a. le César du meilleur acteur ou actrice (principal(e) ou second rôle)
La Môme : je dois bien avouer que la personnalité complexe de Piaf m’a assez fasciné. J’ai vu l'histoire d'une femme, ravagée par la vie, l'alcool, la drogue et l'amour. J’ai vu un tic de langage, un Montmartre bordé de bordel, un bar populaire, un goût pour le spectacle. Ce fut plaisant. Par contre, j’ai peur que si j’en avais un peu plus connue sur la vie d’Edith Piaf, je n’aurais peut-être pas autant apprécié de le regarder.
liste d'argent
b. l'Independant Spirit Award de la meilleure photo
Good night and Good luck : L’esthétique noir, le thème du maccarthisme, l’incrustation d’images d’archives formaient des éléments qui contribuait à ce que le film m’attire. Mais j’ai trouvé ça lent, mou, confus, sur un ton didactique, bavard mais peu attrayant. Bref gros déception.
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c. le Golden Globe du meilleur scénario
Larry Flynt : un Larry Flynt ne battera jamais Un vol au-dessus d’un nid de coucou mais qui le peut ? A ta mesure, tu m’as plu. Ta provoc’, ton cynisme, ton sourire, ta folie, oui Larry, tu as réussi à donner de l’intérêt aux journaux pornographiques. Ta déchéance et ta surmédiatisation, ton fauteuil roulant et ton avocat et le fait que tu vas vite me le présenter parce que c’est Edward Norton, contribuent à faire de toi un portrait touchant et drôle, décalé et pas puritain pour un sou. Du « méchant » magnat de la presse érotique, tu es devenu un héros. Peu importe que tu sois un connard de riche individualiste qui incarne le « rags-to-riches » stories américains qui part de rien et construit un building à son nom, hein ? Audacieux et immoral, ton mépris pour les institutions américains n’en est que plus délicieux.
liste d'argent
d. l'Oscar de la meilleure musique de film
Boulevard du crépuscule : Je ne serais jamais aussi dithyrambique que les autres. J’ai bien apprécié et je suis prête à reconnaitre un nombre incalculable de qualités au « chef d’œuvre » de Billy Wilder mais la question est : qu’est-ce qu’il aurait fallu pour que je l’apprécie encore plus, pour que l’éloge soit la seule conduite possible ? Honnêtement, je ne sais pas revoir. Mystère à poursuivre, donc.
liste de bronze
e. le BAFTA du meilleur réalisateur
Les Affranchis : avec ses vannes audacieuses côtoyant les froides détonations d’un flingue souillé par le sang, l’humour tranché par le fil de rasoir, le film m’a fait passer un bon moment. De façon crue et classe, il nous dépeint l’univers mafieux des années 90, avec une insouciance presque perverse, sans jamais tomber dans le caricatural. Totalement maîtrisé et dépourvu de cliché, il est en quelque sorte pour moi l’annonce, le premier jet, l’avant-goût de Casino et je dis ça en toute subjectivité.
liste d'argent
Consigne 9 : Voir un film de Noël
Le père noël : Cela reste un bon divertissement qui raconte une jolie histoire, sans surprise mais avec beaucoup de naïveté joyeuse. Avec un soupçon de politiquement incorrecte, il donne dans la comédie mignonne (mais guère transcendante).
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Consigne 10 : Voir un film qui se déroule dans un futur proche réaliste
Soleil vert = je combine avec le challenge SF : j’ai beaucoup aimé. Prenant, intelligent, il a un vieilli mais reste un superbe film de science-fiction pour l’époque. Un peu kitch, très pessimiste, il marque la prise de conscience d’un monde aux ressources limitées, d’un système qui ne profite qu’à une partie de la population, d’un environnement menacé par l’activité industrielle, d’une population toujours en augmentation… bref de sujets toujours d’actualité.
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Consigne 11 : Voir un film avec de la magie
Le Château ambulant : Comme chaque Miyasaki, le film n'est pas sans être dénué de charme, à la fois enchanteur et poétique. Seulement, les personnages manquent d'une certaine force et le scénario apparaît un peu faible étant donné qu'il n'y a pas de véritable fil clair, que la narration se perd un peu et que la fin reste décevante. A cause de cela, je n'ai pas vibré comme j'ai pu le faire avec d'autres Miyasaki. Inégale mais agréable.
liste de bronze
Consigne 12 : Voir un film adapté d'un livre
American Psycho : Un thriller dans lequel j'ai tout de suite embarqué, par son ambiance calculée et épurée, son climat malsain, sa mise en scène soignée et l'interprétation magique de Christian Bale qui nous plonge dans l'esprit d'un psychopathe portant un masque de golden boy dans une société moderne où tout est apparence. Les ruptures de ton sont bien amenées, entre ironie, cynisme, réalisme, absurdité, crudité, violence. Néanmoins, j'aurais aimé que ça aille un peu plus loin dans le délire : il n'y a pas d'énormes frissons. Je m'attendais vraiment à encore plus de psychose et de complexité psychologique. Par contre, le monde élitiste et superficiel dans lequel gravite le glaçant serial killer est bien retranscrit, on sent vraiment le regard critique sur la haute finance américaine.
liste d'argent
Consigne 13 : Voir un film choisi par un autre participant au challenge (dans votre PAV ou non)
A Near Death Experience (choisi par Pwachevski) : Flou, existentiel, apathique, lymphitique… mais bordel, qu’est-ce que je viens de regarder ? Et pourquoi je ne ressens pas la même sorte de désintérêt que pour Le Scaphandre et le papillon et Johnny s’en va-t-on la guerre, que je trouve pourtant du même style ? Pourquoi lorsqu’il marmonne sa poésie incongrue, je me retrouve fascinée ? Bon je ne vais pas non plus mentir : apparemment, c’est long de mourir et le film te le fait bien comprendre. Cependant, il y a quelque chose de brut, de sincère, de bourru, de renfrogné, dans la tronche de ce paumé d’Houllebecq qui fait que j’ai eu envie de le suivre dans son trip philosophique, dans son ambition poétique anti-académique. Il est attachant et quelque part, il est aisé de s’identifier à lui. Il est néant et vie à la fois.
liste d'argent
Consigne 14 : Voir un film sorti (au cinéma ou en DVD) l'hiver dernier (entre le 01 décembre 2015 et le 29 février 2016)
Carol: Les échanges de regard sont puissants, explorant la profondeur des sentiments de deux femmes qui ont le coup de foudre l'une pour l'autre, à une époque où le puritanisme pèse sur la conscience des gens. Ce film élégant, tout en douceur, est surtout magnifiquement interprété, tout en sensibilité et en pudeur. La dernière séquence m'a énormément touché mais je regrette que la "froideur" du film m'ait empêché de chavirer et de complètement rentrer dedans.
liste d'argent
Consigne 15 : Regarder un film qui se déroule dans un pays froid (réel ou imaginaire)
Quand passent les cigognes (Russie) : L'utilisation de cette forme de lyrisme stylisée a eu du mal à me toucher. Pourtant, j'avais tellement envie que ce film me plaise. Il y a des scènes poignantes ainsi que des cadres étonnants, des plans séquences magnifiques, qui témoignent d'une maîtrise virtuose de la caméra... mais le tout reste trop calme. Je m'attendais à voir du
brut et j'ai eu l'impression de voir du doux, restant dans un certain conventionnalisme... je n'irais pas jusqu'à dire fade car ce n'est pas du tout ce que je ressens mais il y l'idée d'une histoire un peu faiblarde. Malheureusement, la beauté visuelle du film n'a pas réussi à totalement capturer mon attention. Il m'a vraiment manqué une puissance narrative, une étincelle vibrante qui animerait tout cette esthétique afin d'achever le tableau. En tout cas, il m'a quand même laissé une forte impression. Il a aussi confirmé mon nouveau goût pour les films en noir et blanc, je trouve ça tellement beau.
liste j'ai vu aussi (hésitation avec liste de bronze)
Consigne 16 : Finir une saga
Sexy Dance 5 : C'est tonique, dynamique mais.. c'est tellement vu, revu et rerevu. Stop. On reprend les mêmes et ça recommence. Pris seul, le film est certainement agréable à regarder mais pris avec les autres, je n'ai juste trouvé aucun intérêt au film. Réalisation ? Scénario ? Intrigue ? Acteur ? Mise en scène ? Chorégraphie ? Musique ? C'est juste une composition de tous les autres opus, mixée à Vegas.
j'ai vu aussi
Consigne 17 : Regarder une comédie
La chèvre : Une comédie drôle, divertissante, assez savoureuse avec un duo qui fonctionne. Que demande le peuple ? Liste de bronze
Consigne 18 : Voir un film où le héros subit un changement brutal
(remarque : au niveau de sa situation familiale, professionnelle, ou physique par exemple)
Docteur frankestein : Je ne suis pas forcément fan du mythe mais j'adore les ambiances un peu baroques, gothiques, qui créent des atmosphères prenantes. Ici, 'ai bien aimé l'ambiance, les décors, les acteurs. C'est pas mal mais en même temps, sans plus. Je regrette le manque de prise de risques. j'ai vu aussi
Consigne 19 : Voir un film dont l'affiche a une dominante de rouge, de blanc ou de vert
Le voyager d'Arlo : Premier film de l'année 2017 ! Par sa simplicité toute bête, j'ai particulièrement bien aimé. Le petit dinosaure tout candide, peureux, est attachant et nous entraîne dans son aventure, avec sensibilité et innocence. Le film souffre peut être d'une certaine mollesse au niveau de son scénario mais il reste très sympa à regarder. liste de bronze
Consigne 20 : Voir un film d'un réalisateur ou avec un acteur/actrice né(e) ou décédé(e) en hiver (01 décembre – 28/29 février)
Encore heureux avec Sandrine Kiberlain (née le 25 février 1968) : C'est une comédie sans prétention et plutôt sympathique, pas toujours crédible mais qui reste prenante et grinçante. Sous des abords un peu bordéliques, le film donne la bonne humeur et sort des sentiers battus. Son cadre de départ est intéressant avec le chômage, le décrochage social, les combines pour sortir la tête hors de l'eau. liste de bronze
Consigne 21 : Regarder un film qui porte sur un chef d'état
La Chute : En déplaise à certains, on y voit des nazis sous un aspect humain, pris dans le culte du chef, désemparés par la tombée du IIIe Reich et par la vision de leur maître affaibli qui préfère se donner la mort. Ce film qui se veut réaliste est très intéressant. Bruno Ganz est d'ailleurs saisissant et montre un Hitler qui séduit, terrifie, vit comme un homme sur le déclin. Je trouve seulement dommage que le film tombe parfois dans une certaine monotonie, dans le sens où il se disperse. De plus, le style est assez froid, rigide et épuré, ce qui ne permet pas forcément de ressentir beaucoup d'émotions. Mon intérêt s'est donc parfois effrité. Il reste intelligent par son refus du manichéisme mais un peu mou du genou. liste d'argent
Consigne 22 : Regarder un film traitant d'un nouveau départ
Boy don't cry : C'est un phénomène d’émotion qui nous raconte une histoire tragique inspirée de faits réels, sordides et horribles. Plongée dans les années 90 et dans une Amérique rurale et paumée, j'ai été profondément émue par cette lutte d'existence. Puissamment fort, traité intelligemment, le film évoque le droit d'être soi-même. Hilary Swank fait une prestation énorme et n'a pas volé son oscar de la meilleure interprétation. L'ambiance s'apparente à du rock industriel, indépendant, garage, à la fois direct, rebelle et violent, tout en étant ardemment intense. liste d'or
Consigne 23 : Voir un film dont le titre contient un nombre entre un et vingt-cinq
Nos 18 ans : Une comédie sympa mais sans plus car l'intrigue reste faible et les personnages trop clichés. Cette version édulcorée de ce que peut être la jeunesse des années 90 est néanmoins accompagnée d'une bo cool entre The Cure, Telephone et Wham. Puis voir ces ado galérés pour obtenir leur bac me ramène forcément à ce qui va m'attendre cette année... j'ai vu aussi
Consigne 24 : Voir un film d'animation ou un dessin animé
Zootopie : Zootopie est cool, Zootopie est captivant, Zootopie est un film d'animation à voir. Il présente frontalement la discrimination, les classes sociales, le sexisme, en un seul métrage et quoi de mieux de le faire qu'avec des animaux ? Il est moderne, coloré, intelligent, rythmé, inventif, mature. Il fait même une référence au Parrain ! Dans un film pour môme. Je ne m'attendais pas à être éblouie par un film comme celui-ci : c'est une belle surprise ! J'adore. Vraiment. liste d'or
Consigne 25 : Voir le film de votre choix
Beginnners : Ce film est attachant, parfois drôle, souvent original, émouvant, simple et si sincère. Seulement, je suis un peu déçue. Si c'est clairement une réussite au niveau de sa justesse, de la sensibilité qu'il dégage, je trouve qui lui manque une certaine puissance. L'ensemble m'a paru parfois trop lent. Il m'a touché le cœur, il m'a 'étonné mais dans un même temps, il m'a parfois laissé sur le carreau. Il m'a manqué une véritable accroche, d'un petit quelque chose pour me transcender. Dommage car cet OVNI a clairement du charme. Liste d'argent
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