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Le patron d'une teinturerie chinoise engage des contremaîtres chinois pour faire régner la terreur parmi ses ouvriers et, par la même occasion, réduire leur salaire. Pour intimider les tyrans, les travailleurs exploités font appel au jeune Chun Jen-Chieh, un imposteur se faisant passer pour le célèbre moine San Te du temple de Shaolin. Mais malheureusement, la supercherie est rapidement découverte. Battu et humilié, Jen-Chieh décide d'apprendre les arts martiaux auprès du véritable San Te.
Ce second volet change beaucoup du premier, avec un humour pas toujours des plus fins mais qui finit par se rattraper un peu lorsque Jen-Cheh commence à monter son échafaudage.
Son apprentissage commence enfin vraiment et mène à un combat final vraiment bon.
Le film déroute un peu par rapport au premier et l'humour n'est pas toujours bon mais les scènes de combat restent bonnes et rapides.
Beaucoup plus léger que le premier volet de la trilogie de la 36ème chambre, le film conserve tout son attrait avec ses magnifiques chorégraphies.
Côté humour, il suffit d'abord de voir le visage de Ho Chiao avec ses fausses dents bien en évidence pour montrer que c'est le comique de service. Ensuite, le film se permet une autodérision avec la technique de l'échafaudage et l'utilisation des fils pour montrer la supercherie lorsque Chun Jen-Chieh se fait passer pour la première fois pour San Te. D'ailleurs, il est amusant de voir que l'acteur jouant San Te dans le premier film joue ici son imposteur.
Bref, ce film est différent dans le ton par rapport à son aîné, mais reste toujours aussi agréable à visionner.
Synopsis
Le patron d'une teinturerie chinoise engage des contremaîtres chinois pour faire régner la terreur parmi ses ouvriers et, par la même occasion, réduire leur salaire. Pour intimider les tyrans, les travailleurs exploités font appel au jeune Chun Jen-Chieh, un imposteur se faisant passer pour le célèbre moine San Te du temple de Shaolin. Mais malheureusement, la supercherie est rapidement découverte. Battu et humilié, Jen-Chieh décide d'apprendre les arts martiaux auprès du véritable San Te.
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